La Légende Arthurienne

Les premières légendes du roi Arthur Le Roi Arthur apparaît pour la première fois dans la littérature galloise. Dans le premier poème gallois retrouvé, le Gododdin, Aneirin (vers 575-600) écrit au sujet d'un de ses personnages qu'« il nourrissait des corbeaux noirs sur les remparts, alors qu'il n'était pas Arthur » (« he fed black ravens on the ramparts, although he was not Arthur », en gallois : « Gochorai brain du fur caer/ Cyn ni bai ef Arthur. »). Mais ce poème peut être interprété de bien

chevaliers, il s’est alors inspiré de plusieurs romans médiévaux notamment la version de Chrétien de Troyes pour écrire cette œuvre. La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. L'aventure reste l'élément essentiel de ce grand mythe et continue encore aujourd’hui à fasciner notre imaginaire. Les romans arthuriens sont nombreux, et chaque auteur, au fil des siècles a modifié le mythe initial. I. RESUME DU ROMAN II. PRESENTATION DES PERSONNAGES

quête du Sangreal, ou « Graal ». Ils devaient également assurer la paix du royaume. La toute première trace écrite de la Légende des Chevaliers de la Table Ronde se trouve dans le Roman de Brut ,écrit par le poète normand Wace en 1155. Dans la littérature française, les œuvres de Chrétien de Troyes à la fin du XIIe siècle auront une réelle influence sur la diffusion de cette légende. La symbolique de la Table ronde a évolué aux cours des siècles avec notamment l'incorporation de thèmes chrétiens comme

de part et d'autre de la Manche, avec un probable retour de la matière de Bretagne. La légende arthurienne est fortement diffusée dans le duché de Bretagne au Moyen Âge, à travers notamment les poèmes de Marie de France. Les grandes familles nobles des Laval et des Rohan revendiquent la possession de terres arthuriennes en Bretagne à la fin du xve siècle, époque où figure la première trace écrite de la légende de la ville d'Ys. Après une longue période de désintérêt pour les croyances bretonnes

Les Chevaliers de la Table Ronde I. La Table Ronde La Table ronde est, dans la légende arthurienne, la table légendaire autour de laquelle se réunissent le roi Arthur et ses chevaliers, dits « Chevaliers de la Table ronde ». Les différents chevaliers appelés à s’installer autour de cette table ont leur nom inscrit sur le siège. Seul un siège à la droite du seigneur ne porte aucune inscription et reste inoccupé en souvenir de Judas. C’est le « siège périlleux » sur lequel seul pourra

Lumière sur La Fuite du roi Gradlon selon Évariste-Vital Luminais, vers 1884, conservé au musée des beaux-arts de Quimper. Cette peinture représente une célèbre scène de la légende de la ville d'Ys. La mythologie bretonne constitue le fonds des croyances de la Bretagne. Les peuples celtes d'Armorique connaissent probablement avec leur mythologie celtique plusieurs divinités et créatures spécifiques associées à des cultes de la nature, dont on retrouve quelques traces chez certains saints bretons

que ce dernier a chargé de mener la quête du Graal et d'assurer la paix du royaume. La première trace écrite de la légende des chevaliers de la Table ronde se trouve dans le Roman de Brut écrit par le poète normand Wace en 1155. Dans la littérature française, les œuvres de Chrétien de Troyes à la fin du XIIe siècle auront une influence majeure sur la diffusion de la légende arthurienne. La symbolique de la Table ronde a évolué aux cours des siècles avec notamment l'incorporation de thèmes chrétiens

en vers octosyllabiques ou en prose. Ils ne sont pas aux chansons de geste, qui elles sont essentiellement inspirées par des faits héroïques de l’histoire de France. A la fin du XIème siècle, des copistes retravaillent au goût de l’époque les légendes antiques ou bretonnes, ces œuvres font le lien entre chanson de geste et roman courtois. La littérature courtoise utilisée au XIIème siècle par les nobles témoigne des principes de l’époque des valeurs courtoises : force, culte, générosité et élégance

de part et d'autre de la Manche, avec un probable retour de la matière de Bretagne. La légende arthurienne est fortement diffusée dans le duché de Bretagne au Moyen Âge, à travers notamment les poèmes de Marie de France. Les grandes familles nobles des Laval et des Rohan revendiquent la possession de terres arthuriennes en Bretagne à la fin du xve siècle, époque où figure la première trace écrite de la légende de la ville d'Ys.Après une longue période de désintérêt pour les croyances bretonnes, au xixe siècle

qu'il n'existe pas de hiérarchie entre ces chevaliers qui siègent à la table du roi. La première trace écrite de la légende des chevaliers de la Table ronde se trouve dans le Roman de Brut écrit par le poète normand Wace en 1155. Dans la littérature française, les œuvres de Chrétien de Troyes à la fin du xxiie siècle auront une influence majeure sur la diffusion de la légende arthurienne. La symbolique de la Table ronde a évolué aux cours des siècles avec notamment l'incorporation de thèmes chrétiens