La Machine Infernale

| | | |7. Une tragédie moderne : La Machine |La machine infernale texte intégral |la tragédie moderne |mars - avril |travail d’écriture en module : une |débat | |infernale |(cf. manuel, p.96-113) |la reprise du mythe |12 h |tragédie

soir » v5 , « éternellement » v6 ; champs lexical de la répétition « le même mvt » v6 , « jamais on ne s’arrête » v11. 5e temps : Les enfants paraissent tels des condamnées innocents dans une prison infernale : champs lexical de l’enfer et rimes suivies « sombre » , « ombre » , « enfer » , « fer » , « dans la même prison » v6 , « innocents […] enfer » v7 Axe 2 : la condamnation de l’absurdité et de la cruauté de l’Homme1er

Corpus : Texte 1 : « Antigone » J. Anouilh, 1944, p.296, manuel. Texte 2 : « La machine infernale »,1934, p. 280 manuel Texte 3 : « Tirade de l'inconstance », Molière, XVIIè photocopie Images mobiles : « 2 séquences de garde à vue » C. Miller XXème, learning apps Lectures analytiques : la dimension tragique 1. Texte 1 : « Antigone » J. Anouilh, 1944, p.296, manuel. Scène d'exposition atypique 2. Texte 2 : « La machine infernale »,1934, p. 280 manuel Des rôles atypiques Séquence 4 : Problématique : Comment

aucun livre » + il faut soulever la violence des termes « perniceux » « stupidité » etc Thèse de Joussuff clairement exprimée dès le début « il a semblé bon à Mahomet de condamner, proscrire, anathématiser ladite infernale machine » => ici allégorie de l'imprimerie « infernale machine » + gradation (condamner, proscrire, anathématiser) champ lexical de l'apprentissage, de la culture : « dissiper l'ignorance » « réveiller le génie » « éclairer les hommes ». Nombreuses sont les antiphrases à cette

son nom, le vrai sujet est plutôt celui de la tragédie du pouvoir, incarné par Néron et sa mère. Britannicus n'est que la victime de cette lutte politique acharnée. Mais il incarne bien le héros racinien, pathétique et victime du mal. La Machine Infernale de Jean Cocteau : ACTE I : Deux soldats montent la garde sur le mur de ronde quand arrivent la reine Jocaste et son fidèle Tisérias. La reine ne gravit pas les marches du mur de ronde en pleine nuit par simple plaisir : les soldats qu'elle

Antihéros Expose sa vision du monde moderne Problèmatique ► Comment Céline dénonce-t-il le travail moderne ? Plan I La description d'un univers infernale II L'alienation : nouvelle condition de l'homme III Invention d'une nouvelle littérature (moderne) Développement I La description d'un univers infernal a) L'usine : un monstre infernal ► Monstruosité → démesure Hyperbole Référence à l'infini « mille » Pluriel ► Usine aux multiples natures → dévore tous les éléments

Cocteau, La Machine Infernale, acte I, 1934 Texte B : Jean Giraudoux, La Guerre de Troie n’aura pas lieu, acte I scène 9, 1935 Texte C : Jean Anouilh, Antigone, acte scène , 1944 En quoi les textes du corpus renouvellent-ils le genre de la tragédie ? Le corpus proposé à notre étude est composé de trois extraits de pièces de théâtre écrites dans l’entre-deux-guerres. Elles reprennent des légendes grecques qui ont fourni la matière de tragédies antiques. Ainsi, dans La Machine Infernale, de 1934

fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ? Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont de l’aube au soir faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer. Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! La cendre est

dessus. Cette pièce de théâtre est en un acte composé de cinq scènes, dont la dernière est hypertrophiée. Scène 1[modifier] Garcin entre accompagné du garçon d'étage dans un salon, style second Empire. Garcin demande au garçon d'étage où sont les machines de torture, il n'y en a pas, mais le garçon d'étage prétend que tous ses "clients" sont pareils : ils veulent tous les pals et leurs objets de toilette. Garcin prétend ne pas avoir peur. Le garçon s'en va. Cette scène d'exposition étonne car elle

propose une réflexion sur la condition humaine. ème  Georges Feydeau (1862-1921), La Puce à l’oreille (1907). Paul Claudel (1868-1955), L’Annonce faite à Marie (1912). Jules Romains (1885-1972), Knock (1923). Jean Cocteau (1889-1963), La Machine infernale (1933). Jean Giraudoux (1882-1944), La Guerre de Troie n’aura pas lieu (1935). Henri de Montherlant (1895-1972), La Reine morte (1942). Jean-Paul Sartre (1905-1980), Les Mouches (1943). Jean Anouilh (1910-1987), Antigone (1944). Albert Camus