La Mainbour Royale

franque qui se poursuit avec les branches des Valois et des Bourbons à partir de Henri IV où l'on instaure une monarchie de type absolue avec un état fortement centralisé qui deviendra un état de type bureaucratique impersonnelle. naissance de l’État royal centralisé que l'on appelle état patrimoniale (= bien propre du roi). Crise de la monarchie absolue avec chute de la royauté le 10 août 1792 qui s'explique par une crise économique, institutionnelle et de reproduction qui déstabilise la monarchie absolue

Clovis. C'est ainsi que l'on vit, par exemple peu après la mort de Clodomir, l'assassinat des fils de ce dernier par leurs oncles, Childebert Ier et Clotaire Ier. Aussi, la pratique de la vengeance germanique (faide), ensanglanta bientôt la famille royale mérovingienne. Une querelle familiale opposa pendant près de cinquante ans les deux frères Chilpéric Ier et Sigebert Ier, et leurs femmes et maitresse respectives, Frédégonde (maitresse de Chilpéric Ier, qui a fait assassiner Galswinthe sa femme

pouvoir La conception du pouvoir à l’époque franque est extrêmement conditionnée par les traditions germaniques, qui placent le roi en tant que chef absolu du pouvoir. Une importance très grande est accordée à l’hérédité, avec ce qu’on appelle la race royale. A. La royauté mérovingienne C’est le pouvoir de l’individu, et non de l’Etat. C'est-à-dire que le roi exerce le pouvoir pour sa satisfaction, dans son intérêt propre, et non pour la collectivité. Bien qu’il y ait chez les mérovingiens une

une construction récente, contemporaine -ces divisions sont centrées sur l’Histoire européenne. ANNONCE DE PLAN PARTIE préliminaire. Héritage antique PARTIE 1. Epoque Franque PARTIE 2. Epoque féodale PARTIE 3. La genèse de l’Etat royal PARTIE PRÉLIMINAIRE. L’HÉRITAGE ANTIQUE Le terme « gaulois » désigne plusieurs peuples. Ce sont des connaissances protohistoriques. Il n’y a pas de documents écrits sur les gaulois. Ce sont d’autres civilisations qui ont écrit sur eux. La source

communauté. La condamnation, c’est l’acte qui l’entraine. Contrôle par des mgts des ass populaires. Fin IIe, apparaissent des tribunaux spécialisés. Les anciennes structures à Rome ne sont jamais abrogées. I) Le droit pénal archaïque ( durant l’époque royale) Il faut essayer de comprendre ce qu’était le droit pour un romain. Le ius ( ordonner) et le fas, (le droit religieux, ce qu’autorisent les dieux.) cette distinction suppose que ces deux domaines soient distincts. Au début, ce n’était pas clairement

de façon très classique comme une guerre seigneuriale de ces seigneurs qui viennent en renfort de l’armée royale, qui est une armée limitée et sur la capacité de proposer leur homme pour les armées du roi. Elle commence comme une guerre de roi, avec une prétention de la couronne du roi. Un roi qui est trop faible qui serait une armée que royale. Apres plus d’un siècle, c’est une guerre royale et nationale, en plus de cent ans, ce qui a été démontré ce sont les limites du modèle seigneurial. Un le

ministre de l’époque. Ils parviennent même à rendre leur fonction héréditaire à tel point qu’une dynastie va ce constitué qui va chercher à s'emparer du pouvoir, donnée un fondement juridique à une situation de faits. Une dynastie double de la dynastie royale proprement dite. Ces maires du palais vont s’employer a faire reconnaître, à donner un caractère officielle à leur autorité. Les invasions ext vont précipités les choses. En effet, les troupes musulmanes avancent en Europe, le prophète appel à la

plus générales, autant que cela se put faire sans blesser les intérêts des particuliers, qui furent réservés. Ainsi nos coutumes prirent trois caractères : elles furent écrites, elles furent plus générales, elles reçurent le sceau de l’autorité royale. Texte 5 Jean Bodin, De la République, 1576, édition de 1756 (extrait) (Orth. modernisée) Autant la loi et la coutume diffèrent par rapport à leur origine, autant elles se rapprochent peu par rapport à leur autorité : le joug de la coutume s’appesantit

individuellement à ne pas porter atteinte au roi et à l’aider au combat. Le pouvoir est donc une chose concrète, d’homme à homme, au cas par cas. Ces rapports de proximité sont très puissants, presque sacrés. L’autorité s’exerce verbalement, par le mainbour (= prérogative du roi à ses sujets). Le roi exerce aussi le ban, l’ensemble des pouvoirs de commander et de contraindre, c.-à-d. de donner des ordres et de les faire exécuter. (2) Les traditions de l’Empire chrétien : Le roi a toujours le titre

individuellement à ne pas porter atteinte au roi et à l’aider au combat. Le pouvoir est donc une chose concrète, d’homme à homme, au cas par cas. Ces rapports de proximité sont très puissants, presque sacrés. L’autorité s’exerce verbalement, par le mainbour (= prérogative du roi à ses sujets). Le roi exerce aussi le ban, l’ensemble des pouvoirs de commander et de contraindre, c-à-d de donner des ordres et de les faire exécuter. (2) Les traditions de l’Empire chrétien : Le roi a toujours le titre de