La Maison Assassinée

| |Fallait-il refuser à Saint-Arnaud le droit de faire sa profession de foi barbare : | |« On ravage, on brûle, on pille, on détruit les maisons et les arbres. » | |Fallait-il empêcher le maréchal Bugeaud de systématiser tout cela dans une théorie audacieuse et de se revendiquer des grands

paragraphes suivants attirèrent notre attention : « DOUBLE ASSASSINAT DES PLUS SINGULIERS. – Ce matin, vers trois heures, les habitants du quartier Saint-Roch furent réveillés par une suite de cris effrayants, qui semblaient venir du quatrième étage d’une maison de la rue Morgue, que l’on savait occupée en totalité par une dame l’Espanaye et sa fille, Mlle Camille l’Espanaye. Après quelques retards causés par des efforts infructueux pour se faire ouvrir à l’amiable, la grande porte fut forcée avec une pince

 SOMMAIRE INTRODUCTION.....................................................................p.3 à 4 I. Les explications à la fermeture des maisons closes .…............p. 5 à 12 1) Les filles de joie, différentes selon leur milieu social 2) Le fonctionnement des maisons closes 3)Les dérives liées à cette fermeture II. Les conséquences.......................................................................p.13 à 19 1) Les conséquences positives 2) Les conséquences négatives 3) Les

maison bernard F o n d s d e d otat io n INTERVIEW A N T T I L O VA G , L ’ A R C H I T E C T E né en 1920, hongrie archi t ect e & h a bi tologu e Antti Lovag explique ses conceptions et raconte sa vie d’aventures et de créations dans une interview réalisée par François Chaslin, diffusé sur France Culture 1. On va maintenant rencontrer Antti Lovag. C’est un personnage très étrange. Après une vie tumultueuse et aventureuse (l’armée allemande, l’aviation russe, Stalingrad...) après avoir travaillé

salle de bain ! (...) et il a pris le câble et il a commencé à me taper avec. Kasia, elle voulait l'arrêter, mais il m'a tapé comme un fou. (...) le sang était déjà partout, mais je ne pouvais pas lui donner d'argent parce que je n'avais rien à la maison (...) Et il me presse et presse et je ne peux plus respirer et je pense, mon Dieu, je vais avoir des marques sur mon cou et ça ne va pas disparaître si vite et lundi je vais chez le médecin et quand il me demandera de me déshabiller il va tout

les deux pour bavarder un peu... Ça te dit? AUDREY (hésitante) Mais il y a papa qui est là... HELENE (elle se retourne vers Alex) Ah... Très bien, je vais lui dire. Après on ira faire un tour sur le lac, si tu veux, et puis je te ramènerai à la maison... AUDREY Mais après, tu vas encore t'en aller... Moi, je veux pas.. Chérie.. HELENE Hélène ne répond pas. Alex les rejoint à grands pas. ALEX (glacé) Hélène? Qu'est-ce qu'il se passe? HELENE Je veux juste passer un bout d'après-midi avec Audrey

paragraphes suivants attirèrent notre attention : « Double assassinat des plus singuliers. — Ce matin, vers trois heures, les habitants du quartier Saint-Roch furent réveillés par une suite de cris effrayants, qui semblaient venir du quatrième étage d’une maison de la rue Morgue, que l’on savait occupée en totalité par une dame l’Espanaye et sa fille, mademoiselle Camille l’Espanaye. Après quelques retards causés par des efforts infructueux pour se faire ouvrir à l’amiable, la grande porte fut forcée avec

âge ». Analyse du Roman Roman : La Maison De La Sorcière, paru en janvier 1932 Auteur : Howard Phillips Lovecraft Image : Résumé : Walter Gilman est étudiant en mathématique et en folklore à l'université Miskatonic de la petite ville d'Arkham. Exceptionnellement doué dans des matières relevant de la physique quantique et des lois dimensionnelles, il est également fiévreux et souffrant depuis plusieurs semaines. Il vit en effet dans une vieille maison du quartier pauvre de la ville, aux côtés

avec la même angoisse. Une fuite paradoxale car il est lucide (sait qu’il ne fera rien de nouveau) mais il part toujours, est toujours déçu. Plus il fuit, plus il descend au plus profond de la nuit. Tout lieu stable lui semble une prison (cf. la Maison-Prison, noms de lieux : Noirceur sur Lys, Rancy) : donner une essence au paysage dans la mesure où on passe du réalisme à un onirisme le plus brut. Transposition artistique : le fleuve (motif) est l’image de la destinée. - L’espace de la narration

fuir avec la même angoisse. Une fuite paradoxale car il est lucide (sait qu’il ne fera rien de nouveau) mais il part toujours, est toujours déçu. Plus il fuit, plus il descend au plus profond de la nuit. Tout lieu stable lui semble une prison (cf. la Maison-Prison, noms de lieux : Noirceur sur Lys, Rancy) : donner une essence au paysage dans la mesure où on passe du réalisme à un onirisme le plus brut. Transposition artistique : le fleuve (motif) est l’image de la destinée. L’espace de la narration