La Maison au bout du monde

EXP COLETTE & LA CELEBRATION DU MONDE/ EXPOSESLa maison du bonheur Rappel du fil conducteur de l’étude d’ensemble: Quel monde Colette célèbre-t-elle dans Sido et Les Vrilles de la vigne  ? Question : De quels rêves la maison est-elle l’écrin dans les textes du corpus ?NB : vous répondrez à la question en vous appuyant sur les tx du corpus et ceux de Bachelard et Vircondelet

pouvoir central, délocalisent le panopticon et transfèrent le panoptisme à l’ensemble de la société », ajoute François JOST 31 . 31 « Autrefois, les écrans de télévision étaient plus petits, mais les autres programmes étaient ouverts sur le monde. Maintenant, c’est l’inverse : on a de grands écrans plats, mais la télé regarde surtout par le trou de la serrure 34 ». 34 « Les courses au supermarché deviennent une véritable expédition qui consiste à bien remplir intégralement la voiture

civilisations du monde entier. À l’âge de 28 ans, après avoir parcouru la Russie, l’Europe, l’Asie et l’Amérique, je décidai de m’aventurer dans la région montagneuse de l’Afrique. Au XXIème siècle, bien des chercheurs y avaient mit les pieds, sans jamais revenir. Mais aujourd’hui, mercredi 21 mai 2236 je suis enfin prêt pour de nouvelles péripéties. Après avoir pris un avion jusqu’au nord de l’Afrique et marché plus de 12 jours, j’atteignis dans une province exclue et reculée. Étant au bout de mes forces

son frère Jem. Rythmée par l'école et les voisins, cette douce vie ne demande qu'à rester paisible. Les yeux des enfants semblent toujours mener à un autre monde, à la sensibilité exacerbée : la maison maudite des Radley, la vieille et hargneuse Mrs Dubose, Miss Maudie complice, le mystérieux Mr Ardley, la commère Mrs Crawford... un micro-monde se forme sous nos yeux. J'ai bien aimé les descriptions de Scout, réalistes mais quelquefois fantaisistes, précises et captivantes. Ce livre a un dynamisme

L’anathème A. Panoramique sur l’île « Au bout du petit matin… Va-t’en, lui disais-je gueule de flic, gueule de vache, va-t’en je déteste les larbins de l’ordre et les hannetons de l’espérance. » « […] j’entendais monter de l’autre côté du désastre un fleuve de tourterelles et de trèfles de la savane que je porte toujours dans mes profondeurs […] » « […] des ambiances crépusculaires, arpentée nuit et jour d’un sacré soleil vénérien » « Au bout du petit matin bourgeonnant d’anses frêles les

les animaux avaient fui. Il revenait donc a chaque soir depuis maintenant 5 soirs les mains vident. Moi, ma mère et mes deux soeurs étions affamés et on commençait à manquer de réserves à la maison. Je suis donc sorti ce soir-là lui donner un coup de main pour espérer mettre la main sur quelque chose. Au bout d’une heure de chasse en vain, il s’arrêta et me dit «Il ne nous reste qu’une solution si on ne veut pas crever de faim, mais ne le dit surtout pas à ta mère et tes soeurs!». J’étais encore

l'homme qu'elle aimait, à celui qui signifiait le monde pour elle. Elle ne pleurait pas, non, les larmes refusaient de couler même si elles étaient bien présentes. Elle ressentait simplement un vide énorme dans son c½ur, comme si quelqu'un venait de le lui arracher à mains nues, sans pitié, sans égard, avec une froideur et un sens incommensurable de cruauté. June rentra chez elle, ou du moins, dans cette gigantesque et pourtant modeste maison qui lui servait d'endroit pour dormir, trainant des

elle ne meurt pas toujours avec lui. » La Rochefoucauld Il était une fois une île près des Caraïbes. Cette île avait la particularité d’être toute petite et elle s’appelait  Soleado et comme l’indiquait son nom elle était très ensoleillée. Tout le monde sur ce morceau de terre isolé s’aimait et se respectait. Un jour, au Sud de l’île, naquit une petite fille du nom d’Avana. Ses parents la trouvaient très belle et elle ressemblait à toute les petites filles de son âge : aimable, gentille, serviable

de l'Hôtel-de-Ville; et, par toutes les rues voisines, l'armée allemande arrivait, déroulant ses bataillons qui faisaient sonner les pavés sous leur pas dur et rythmé. Des commandements criés d'une voix inconnue et gutturale montaient le long des maisons qui semblaient mortes et désertes, tandis que, derrière les volets fermés, des yeux guettaient ces hommes victorieux, maîtres de la cité, des fortunes et des vies, de par le . Les habitants, dans leurs chambres assombries, avaient l'affolement que

À quoi bon les descriptions ? Documents A – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. B – Émile Zola, L’Assommoir, chapitre 1, 1877. C – Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. D – Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Ces quatre descriptions mettent-elles en valeur les mêmes aspects de la ville ? (3 points) m 2. Quels sentiments des personnages ces descriptions reflètent-elles ? (3 points) Après avoir répondu à ces questions, les candidats devront traiter au