La Maison de la sorcière

d’un sentiment de panique. La population avait une telle peur de la contagion, que les maisons des malades étaient barricadées, et une grande croix noire est tracée sur la porte de ces maisons. Lorsqu’un pauvre citoyen découvrait des bubons sur lui, il était abandonné de tous, même de ses proches. En réaction à la terrible situation, les citoyens vont cherchés des coupables. Les juifs, les lépreux, les sorcières étaient accusés d’empoisonnés des puits et de jetés des sorts. On les jetait au feu. Toutes

pas déterminé, chaque possibilité est admise, pourtant, le plus souvent, il a trois ou deux filles ou trois fils. Il se distingue du roi avant tout par sa faiblesse et son ignorance : 1. Dans sa frayeur l’homme accepta et quand l’enfant naquît, la sorcière apparut aussitôt (...).107 2. Elle n’eut de cesse qu’il n’acceptât ce qu’elle proposait. « Mais j’ai quand même pitié de ces pauvres enfants », dit le bûcheron.108 3. – Non, répondit le père. Je l’aime et pour tout l’or du monde il ne serait pas

cambrioleurs. Il se rend compte qu'il s'agit de ses anciens compagnons d'usine et sympathise avec eux. Se réveillant le lendemain matin dans un tas de tissus, il est arrêté une fois de plus. Dix jours plus tard, la gamine l'emmène dans une nouvelle maison au bord d'un étang, une cabane délabrée qu'elle admet « ne pas être Buckingham Palace », mais qui fera l'affaire. Le matin suivant, Charlot apprend l'ouverture d'une nouvelle usine et se rend immédiatement sur les lieux. Par sa faute, son patron est

le personnage, ou le « quartier ». Zola a recopié des listes de mots tirés de l’argot dont il s’est servi ; Il possédait une connaissance de la langue populaire, son origine très modeste de sa mère et de son épouse, son expérience prolongée des maisons où s’entassaient les petits artisans, les petits employés. Ce qui caractérise la langue populaire, autre que ses tournures orales et son rythme, sont les nombreuses images, en particuliers les images animales explicites ou implicites, l’assommoir

lycanthropie et aux sorcières. Ces deux éléments contribuent à favoriser un sentiment de frayeur concernant la nuit. Après avoir abordé la conception de la nuit selon les aspects de la violence et des fantasmes, l’auteur aborde des techniques employées pour contrer l’obscurité et traite des loisirs nocturnes occupés par l’homme médiéval. Ainsi, on apprend que l’homme apprécie la lumière et les couleurs vives et que la luminosité est source de joie. Par contre, les maisons sont souvent peu éclairées

donc la corde qu’il tenait dans les mains et le couvercle ferma immédiatement la fosse. C’était sa première créature qu’il avait emprisonnée sans l’aide de Gregory. P.50 à 65 Tom retourna alors à Chipenden pour retrouver son maître. Rendu dans la maison, son maître lui demanda de lui raconter tout en détail. Quelques jours plus tard, la cloche du village sonna, ce qui signifiait que quelqu’un voulait parler à l’épouvanteur. Gregory envoya Tom aller voir quel est le problème car il était encore un

référence et de projection, et par voie de conséquence, une possible baisse de l’estime de soi. Qualitativement, les albums illustrés véhiculent bon nombre de clichés, surtout du côté du féminin. Plutôt passives, les filles sont surtout à la maison, en compagnie familiale – père, mère, jeunes frères et sœurs – avec lesquels elles peuvent à loisir jouer le rôle de « petite maman ». Les femmes sont présentées essentiellement à travers leur rôle de mère, avec deux activités principales :

travailler. Un jour, l’impatience et la colère de la mère allèrent si loin, qu’elle en vint à battre sa fille, qui se mit à pousser des cris. Dans le même moment, la reine passa devant la porte ; émue de ces cris, elle fit arrêter sa voiture, entra dans la maison et demanda à la mère pourquoi elle battait son enfant, au point qu’on l’entendait de la rue. La bonne femme eut honte d’avouer la paresse de sa fille, et dit : « Je ne peux lui faire quitter le rouet ; elle veut toujours filer, je suis pauvre, et

mystère. Le terme fantastique vient du latin « fantasticus », c'est-à-dire qui concerne l’imagination. Il fut inspiré par la littérature et le roman gothique anglais. « C'est principalement au Moyen Age, avec le développement de la peur des sorcières, du diable et de ses démons qu'est née cette littérature » tout comme on la retrouve implicitement dans la Bible et dans les mythologies .Le fantastique s’initia dans le monde littéraire vers 1770 grâce à l’auteur français, Jacques Cazotte, et son

anglo-saxons (Irlande, Royaume-Uni, Australie et Etats-Unis entre autres). C’est une fête au cours de laquelle les enfants se déguisent en squelette, en fantômes et autres personnages plus effrayants les uns que les autres pour aller frapper aux portes des maisons accueillis par des adultes eux-mêmes déguisés pour récolter bonbons, fruits, légumes ou argent. (Arrivée en France En France, cette fête fait son chemin à la fin des années 90 pour atteindre son apogée au début des années 2000. En 2000, Halloween