La Maison des ombres

Cinéma d’animation. Commencement : « jouets d’optiques ». Apparus après le jeu des ombres chinoises ou images projetées (notamment grâce à la lanterne magique), les « jouets d’optiques » sont basés sur le phénomène de persistances rétiniennes : - 1832 : Joseph Plateau : phénakistiscope : disque de carton perforé de pls fentes où ya des images. L’appareil ne peut qu’animer que des cycles. - 1878 (1892 dans mon livre..) : Emile Reynaud : théâtre optique : invention du praxinoscope, adieu

trouve une épée. Au second plan, on peut apercevoir une fumée épaisse ou un brouillard laissant apparaitre des ombres d’armes. Pour les écriteaux, Le CID Corneille sont écrit au-dessus de Don Sanche, et en-dessous de biblio lycée. 3) Biographie de l’auteur. Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille », né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris, dans une maison de la rue de la Pie, devenue depuis le musée Corneille. Il est un dramaturge et poète français, et sans conteste

1826 - 13 mars 1871) ; François–Victor (28 octobre 1828 - 26 décembre 1873) ; Adèle (28 juillet 1830 - 21 avril 1915), la seule qui survivra à son illustre père, mais dont l’état mental, très tôt défaillant, lui vaudra de longues années en maison de santé. Élevé par sa mère bretonne (Sophie Trébuchet) dans l'esprit du royalisme, il se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la démocratie. Selon Pascal Melka, Victor Hugo a la volonté de conquérir le régime pour avoir de l'influence et

grêle et des vents, Pour honorer les morts font mourir les vivants. Encor je bénirais la bonté souveraine, Si le ciel à ces maux avait borné ma peine ; Mais si, seul en mon lit, je peste avec raison, C'est encor pis vingt fois en quittant la maison ; En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là, d'un enterrement la funèbre

Une voix attirante La nuit était singulièrement obscure, la contrée sauvage, l’heure déserte.  Mon moteur ronflait. Les phares poussaient devant eux du jour de conserve, sans vie et figé. Dans leur clarté crue, les ombres se découpaient comme à la surface de la lune.  Paysage de studio, un carrefour surgit, au sortir d’un défilé.  Je stoppai. Le moteur mourut. Il avait laché là en plein milieu d’un bois .Je descendis assez lourdement. Le silence opprimait les ténèbres J’étais saupoudré d’humidité

1816 à 1828, Victor Hugo apprend son métier d’écrivain » 4. 1830 : Hernani 5. 1831 : Notre Dame de Paris 6. 1832 Préface du Dernier jour d’un condamné 7. 1831-1840 Les Feuilles d’automne/Les Chants du crépuscule/Les Voix intérieures/Les Rayons et les ombres 8. Théâtre 9. Défense du patrimoine 10. 1853 : Châtiments 11. Châtiments 12. 1856 : Les Contemplations 13. 1856 : Les Contemplations 14. 1856 : Les Contemplations 15. « Je récuse tous mes portraits, gravés, dessinés ou peints, et j’accepte, comme

La Mort aux Trousses (1959) Les grandes thématiques : Innocence culpabilité Thornhill : C’est un homme innocent mais coupable dans le film pour les autres Sa mère, les flics, Vandamn et sa bande. Frontière entre innocence et culpabilité (La maison, le poignard…) => devient coupable en devenant Kaplan. Eve : Thornhill la voit comme innocente à ses yeux. Elle devient coupable car elle ment à la police (complice de Kaplan). Et elle le trahie en l’envoyant vers la mort. L’état : L’état veut révéler

et Mme Ferret, 15 ans ½, amoureuse de Phil, surnommée la Pervenche) * Philipe (fils de Marthe et M. Audebert, 16 ans ½, surnommé Phil, il « possède » Vinca) * Camille Dalleray (34 ans, amante de Phil) * Lisette (sœur de Vinca) * Les Ombres (pâles) (les parents). Quoi ? Une histoire d’amour Où ? A la mer, en Bretagne Quand ? Pendant les vacances d’été. Événements : I : * Vinca va à la pêche avec Philipe qui compare la Vinca d’avant et celle de maintenant. Ils ont passaient leur

adolescents parisiens — Philippe (Phil pour les intimes), 16 ans, et Vinca, 15 ans, amis depuis leur plus tendre enfance — en vacances au bord de la mer en Bretagne (près de Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine), dans une maison louée par les deux familles (Phil, ne voyant que Vinca, les surnomme « les ombres »). Pendant qu'elle, sorte de verte Lolita, prend conscience dans le cercle des amitiés familiales du pouvoir de séduction des femmes, il noue une véritable relation d'amour charnel avec une dame pleine de

par l’observation de quelques traces de pas en bas de l’oeuvre. Celles-ci sont peu nombreuses et laisse deviner également que cet endroit est peu visité. La Pie sur sa barrière en bois et le seul être vivant que l’on voit contempler cette vue. Une maison apparait derrière des arbres encore un peu feuillu. Cette bâtisse paraît être abandonné car pour cette période hivernale, et le siècle où le tableau est peint, nous n’observons pas de fumée sortant des cheminées. Ce tableau, est produit avec une