La Maison Hantée

la nouvelle objectivité . Il est né près de Gera le 2 décembre 1891 et mort a Singen le 25 juillet 1959 en Allemagne. Il est entré à l'École des arts appliqués de Dresde de 1909 à 1914. Il a été soldat volontaire . Ce qu’il voit chaque jour le hante alors lors d’’un entretien il dit : « C'est que la guerre est quelque chose de bestial : la faim, les poux, la boue, tous ces bruits déments. C'est que c'est tout autre chose. Tenez, avant mes premiers tableaux, j'ai eu l’impression que tout un aspect

les motifs baudelairiens (c’est rompre avec l’esthétique classique par la modernité) pour exprimer la douleur d’un idéal inaccessible. Il écrivit :   * « L’Azur » qui exprime le découragement de l'artiste redoutant la stérilité poétique, et hanté par l'obsession de la beauté et de l'idéal. * «Brise marine» qui exprime le dégoût du présent et l'appel irrésistible du large, des orages et de l'azur. Mallarmé collabora avec diverses revues, publiant des traductions d’Edgar Allan Poe comme

terre, au pays qui vous a vu naître et dont vous êtes chassé, aux rapports charnels qui unissent l'homme et le sol qu'il cultive et auquel il s'accroche. C'est le chantre de ce temps solide où la femme aime son mari, où la famille s'abrite sous une maison, vit sur une terre, aime cette terre " tout ce bonheur qui va se trouver bouleversé, écorché à même l'écran : des paysans des RAISINS DE LA COLÈRE expulsés par la sécheresse et les banques aux mormons CONVOI DES BRAVES, le petit monde de Ford est

quelque chose de pointu me picora la peau du crâne, comme si j'avais eu des poux, ce qui n'était plus le cas depuis janvier dernier. Ensuite, un bruit très tendre et régulier me caressa le tympan, comme l'aller-retour d'un balai fatigué sur le sol d'une maison, comme le voyage obstiné d'une râpe sur la tranche d'un fromage. Enfin, un fumet frais me parcourut les narines, une odeur de sel et de terre mouillée. Dans ma tête embrumée, je posai l'addition : une peau vivante + une oreille vivante + un nez vivant

DRANSART Jeudi 17 février Pauline 1eS Devoir maison de Français Question : Le texte 1, extrait du recueil de poèmes Les Contemplations de Victor Hugo, s’adresse à une personne dont on ne connaît pas l’identité : « Vois-tu » v.2, « tu m’attends » v.2, « loin de toi » v.4. Jusqu’au vers 10 on pense que cette personne est présente, cependant

des désirs sont la clé que possède Johnny qui lui donne accès au appartements de Ballin et qu'il lui rend lorsqu'il apprend son mariage avec Gilda, car maintenant que Ballin est marié, Johnny n'a plus besoin d'avoir la possibilité de rentrer dans sa maison. Le terme de linge sale de Ballin employé pour parler de Gilda est quant a lui très parlant sur la manière dont il va la traitée. Cette "dérive" homosexuelle sera rattrapé à la fin par un retour à l'ordre hétérosexuel où Johnny choisi la femme

immeubles et le ciel immuablement gris, la clarté est faible et le jour mat. Mais "les boutiques doivent contenir des drames assez sombre" ajoute à l'angoisse des villes et donne l'impression que c'est un spectacle de mort qui semble s'y jouer. Toujours hanté et traumatisé par son arrestation et son séjour en prison, Rimbaud se pose la question de sa sécurité, de la police et des aventuriers. 3-La place de l'homme dans les villes modernes Dans toutes les villes modernes, on assiste à une stratification

L’élixir du Trompe-l’oeil est le premier d’Anne Jutras, publier en 2004 il fait partie de la collection ado de la maison d’édition Vents d’Ouest du genre très fantastique. Depuis qu’elle était adolescente, Anne Jutras rêvait du jour où elle serait écrivaine, pourtant elle a œuvré dans le milieu de la photographie pendant plusieurs années et s’est engagée dans toutes sortes de projets artistiques tel que l’art autochtone, le théâtre, les ateliers de lecture et l’animation thématique auprès des

présente sous la forme d’un journal intime écrit à la première personne du singulier, celui d’un homme hanté par son double, invisible, un être surnaturel qui agit à son insu ; le Horla , dont il perçoit chaque jour la présence de plus en plus obsédante. Cette folie le conduira à de nombreuses actions insensées, lui-même ne comprend pas ce qui lui arrive. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison afin de se débarrasser de son double et laissera brûler vif ses domestiques. Le héros habite dans un

C’est le récit d’un jeune condamné à mort. Celui-ci est doublement captif. D’une part, enfermé physiquement dans une cellule et d’autre part, prisonnier d’une seule idée qui le hante depuis cinq semaines : « condamné à mort ». Il est dans l’incapacité de penser à autre chose. Celui-ci repense alors aux évènements du jour d’avant la proclamation de sa condamnation, il décrit la salle, les juges, les jurés, l’atmosphère qui régnait,… Il est alors en admiration devant les couleurs, les lumières, la