La Maison Hantée

se cacher pendant la guerre. Ayant six ans et sa petite sœur à peine deux, ils sont envoyés en prison puis dans le camp d’internement de Drancy. Après la guerre, lui et sa sœur retrouvent leur mère. Ensemble, ils reprennent une existence normale, hantée par les souvenirs de cette guerre. Depuis 1972, Jean-Claude Moscovici exerce la pédiatrie à Paris. II/ Résumé de l’ouvrage : Avant la guerre, l’auteur, qui est aussi le narrateur et le personnage central de l’histoire, vit à la campagne avec

l’identité des hôtes : « le père avait tué un braconnier […] il semblait sombre, comme hanté d’un souvenir […] ses deux fils, mariés, vivaient avec lui». L’article indéfini « un » précédent « souvenir » alimente cette ambiance assez étrange. En effet, le souvenir ne semble pas être celui de la mort du braconnier mais peut être des évènements qui ont suivi cet acte. Le fait que toute la famille vive dans la même maison et coupée du monde (« les ténèbres étaient profondes […] enfin, j’aperçus une lumière »)

acteur, il est près à s'ignorer totalement pour jouer un personnage qui n'est pas lui, mais s'il se rend compte de son erreur, tout est différent. Son mensonge dévoilé peut le hanté et lui faire prendre conscience de son incontenance. II. Un mensonge bien rodé 1. Ignorer son existence et sa contenance 2. Un personnage hanté de maux 3. Nous mentir à nous même Quand nous cherchons à voir clair dans nous-mêmes et le reste du monde, nous respirons une atmosphère déplaisante de feintes ridicules

aussi adapté au cinéma par Harry Kümel. On va étudier successivement la structure du texte, le temps et l´espace, l´analyse de l´oeuvre entière ainsi que le style appliqué par l´auteur. Structure du texte: Ce livre est sous-titré « Histoire d’une maison fantastique ». Les mots qui composent ce sous-titre sont destinés à séduire le lecteur potentiel dans un univers fantastique. Ce roman de Jean Ray présente une structure très travaillée. Il y a deux parties précédées d'un prologue et terminées par

rend manifeste le retour du fantôme dans des paroles, des actes étranges ou des symptômes d�’un mal être. Croire aux fantômes s�’impose donc, ici, non comme un acte de foi, mais comme un défi théorique à relever. Certes, le fantôme comme trope hante la littérature depuis des siècles, mais il ne devient véritablement objet de récit que dans la littérature fantastique et le gothique, au tournant du XIXème siècle et leurs effets de doubles, masques et inquiétante étrangeté. La peur du revenant

sa misère avaient tendance à le rendre parfois méchant. Il se prénommait Lucas et il avait conscience que son état ne pouvait que s’améliorer. Sa vie de souffrance, il ne la voulait plus et se refusait à subir les problèmes chez lui. Quant à sa maison, elle était si petite qu’il devait dormir à même le sol. Lucas n’était habillé que misérablement et son regard porté sur le modeste verger ne comportant que peu d’arbres ne l’encourageait pas à croire en un avenir meilleur. Cependant, le jeune garçon

Guy de Maupassant Epoque et/ou mouvement littéraire : XIX ° siècle Genre de l’œuvre : nouvelle fantastique | 1°) Résumé de l’action principale : Le narrateur vit seul avec ses domestiques dans une maison près de Rouen. Soudainement, il est pris de fièvre et de malaises dont il ignore l’origine et qui augmentent jour après jour. Différents voyages le soulagent, mais dès son retour ses malaises reprennent. Il ressent peu à peu une présence invisible

une mélancolie inexplicable. L’angoisse d’un danger imminent l’étreint, il devient insomniaque. Il va consulter un médecin qui lui prescrit un traitement. Nullement soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur

il s'embarque avec sa famille pour l'Orient et visite la Grèce, la Turquie, Jérusalem. Au cours de ces voyages, il prend des notes pour sa prochaine oeuvre, les Martyrs ou le triomphe de la religion chrétienne, publiée en 1809. Il se retire dans sa maison près de Sceaux, et commence les Mémoires d'outre-tombe dont la rédaction allait durer une trentaine d'années. Il est élu à l'Académie française en 1811, année de la publication de son Itinéraire de Paris à Jérusalem . Il est ensuite nommé ambassadeur

par une mélancolie inexplicable. L’angoisse d’un danger imminent l’étreint, il devient insomniaque. Il va consulter un médecin qui lui prescrit un traitement. Nullement soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur