La Maîtresse

informations aux instituteurs concernant la vie scolaire. Il emmena la maîtresse dans le couloir afin de s’entretenir discrètement et ordonna aux élèves de continuer à travailler. Ils revinrent dix minutes plus tard, l’enfant leva la tête car il avait fini son devoir, il fut étonné par le teinte pâle de sa maîtresse et surtout de son regard triste qu’elle lui adressa. Pourquoi, alors qu’elle sourit toujours, c’était la maîtresse la plus gentille que l’enfant avait eu. Celle-ci alla vers l’enfant et

(du début de la sc. jusqu’à « que vous êtes bien aise d’être mariée ») donne à lire, à travers l’opposition fondamentale qui sépare Silvia et Lisette sur les questions du mariage, du sentiment et du naturel, la perte de contrôle progressive de la maîtresse sur sa servante. Une perte significativement notée par le glissement énonciatif qui fait passer Silvia du vouvoiement au tutoiement lorsqu’elle s’adresse à Lisette. Les deux autres mouvements s’organisent quant à eux autour d’un autre pronom, indéfini

air de "garce ronde" qui séduit l'homme à femmes, une main qui se pose "sur son bras" et le trouble. Victoire facile pour l'homme, transporté de joie, et qui pourra désormais compter sur la permanence d'un désir jamais assouvi. 1. Une charmante maitresse : Cette brutalité de la pulsion amoureuse chez la bourgeoise mal mariée - un statut commun à beaucoup de femmes de l'époque - se nuance de quelques traits de caractères sympathiques : "un esprit drôle, gentil, inattendu [...]", un scepticisme léger

un ami de Georges qui l'as aider à monter la première marche de son ascension. Au cours de ce mariage Georges Duroy a deux maîtresses ; Mme de Marelle et Mme Walter. Cette première est sa préférée cette seconde a deux filles, Rose et Suzanne. Après avoir surpris sa femme en plein adultère Georges demande le divorce et décide d'épouser Suzanne, la fille de son ancienne maîtresse car elle est belle et riche. Notre passage débute à la fin de la cérémonie de noces de Georges et de Suzanne. 1. Trouver

être rapportés dans le résumé)   En restituant ce qui est essentiel Plusieurs étapes        Lecture globale Lecture détaillée ou analytique Recherche des articulations logiques Recherche du plan Élaboration de l’idée maitresse du texte Rédaction Relecture Lecture globale   But : de faire un idée globale et synthétique Doit émerger : La problématique, objet de la publication: pourquoi les auteurs ont réalisé ce travail  Les buts que se sont fixés les auteurs

leur condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique.  b)présentation du texte : deux domestiques, Claire et Solange qui sont également sœurs jouent une pièce de théâtre dans le théâtre : Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire.  c)Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ?  d)Plan

..............................................................................................3 « A Meline »...............................................................................................................................4 « Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi ».....................................6 « L'Amour et la Folie »......................................................................................................8 « Chant d'amour (I) »...............

simuler une aventure amoureuse avec Elsa qui était partie lorsqu'elle avait entendu la nouvelle du mariage. Raymond, lui, est irrité de voir Elsa se tourner vers un homme plus jeune que lui et il se retrouve bientôt dans les bras de son ancienne maîtresse. Quand Anne les surprend (c’était exactement ce que Cécile voulait), elle voit toute sa vie, tous ses rêves se briser. Désespérée elle quitte la villa et se tue dans un accident de voiture. D’abord, Cécile et son père sont inconsolables, la fille

rudes combats ! Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maitresse. L'un m'anime le coeur, l'autre retient mon bras. Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vire en infâme, Des deux côtés mon mal est infini. Ô Dieu, l'étrange peine ! Paut-il laisser un affront impuni ? Faut-il punir le père de Chimène ? Père, maitresse, honneur, amour, Noble et dure contrainte, aimable tyrannie, Tous mes plaisirs sont morts, ou ma gloire

quittent pas leurs maîtres quelque soit les circonstances et leur sont souvent attachés depuis de très nombreuses années. Cléanthis connaît tout de sa maîtresse, jusqu’à pouvoir en faire un portrait, elle la connaît dans tous les moments « partout, à toute heure, en tous lieux », « Vaine, minaudière et coquette, si cela la regarde ? Eh ! Voilà ma chère maîtresse ; cela lui ressemble comme son visage». Sganarelle, lui, se soumet aux moindres désirs de Dom Juan et répond à toutes ses questions « Qu’as-tu