La Maltraitance Et La Bientraitance

sa vie si ses capacités le lui permettent ». Mais alors, cela signifierait simplement que le fait de forcer Monsieur D. à bénéficier de ces soins, en s'opposant à ses volontés, ferait de nous des soignants maltraitants. D'après mes cours, « la maltraitance est une violence se caractérisant par tout acte ou omission commis par une personne, s'il porte atteinte à la vie, à l'intégrité corporelle ou psychique ou à la liberté d'une autre personne, ou compromet gravement le développement de sa personnalité

suivants visant à identifier les risques et à assurer le confort et la sécurité de la personne et de son environnement y compris son information et celle de son entourage: […] dépistage et évaluation des risques de maltraitance"18 l'infirmier doit donc être apte à prévenir les risques de maltraitance et à réagir en informant son équipe. Néanmoins l'infirmière est soumise au secret professionnel, et la divulgation d'informations concernant la personne est donc couverte par l'article 226-13 du nouveau code

des personnes agées mais entrainent des soins lourds concentrées sur la fin de vie. Le gouvernement a donc mis en place différents dispositifs : - le plan solidarité grands age 2007-2012 - le plan Alzheimer 2008 2013 - le plan lutte contre la maltraitance 2008 2013 II Les conséquences du vieillissement - Survenue des maladies plus importantes, l'importance de certaines pathologies(mcv, maldie osteo articulaire, cancers, toutes pathologies liées à la baisse des sens) augmentent avec l'âge et

environ la moitié de ces décès seraient évitables. Le risque de mortalité augmente avec l’âge, lorsqu’une césarienne est réalisée, mais il existe aussi des disparités géographiques posant la question de la la Maltraitance au cœur de la qualité publique une étude sur la maltraitance « ordinaire » dans les établissements de santé, marquant ainsi son souhait de lutter contre cette réalité trop souvent oubliée des démarches de qualité de la prise en charge. Basé sur des témoignages de malades

ARNOULT Sophie Master MAE/EESS 2014/2015 LES GRANDS ENJEUX DE LA SANTE PUBLIQUE EXCERCICE 1 Citez deux lois concernant la bientraitance : • Loi n°20002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité d’un système de santé : Cette loi d’importance - tant sur la forme (126 articles, 8 codes modifiés) que le fond est aussi appelée loi « Kouchner » (nom du ministre de la santé lors de la promulgation de cette dernière par Jacques Chirac, Président de la République de l’époque)

d’éthique médicale et hospitalière Adresse mail : Bertrand.Quentin@ac-paris.fr CONCEPTS ou IDEES PRINCIPALES : La dignité chez la personne âgée La personne âgée est un être humain L’intimité Sécurité, intimité et maltraitance La société d’aujourd’hui « La personne âgée, elle-même, peut se sentir moins digne parce qu’elle n’arrive plus à faire ce qu’elle arrivait à faire avant, parce qu’elle a besoin d’aide, […]Alors la personne âgée peut croire perdre

EHPAD. Cependant certaines questions d’importance notable ne font pas l’objet d’un encadrement législatif et représentent des faiblesses, c’est le cas notamment des effectifs de personnel pour lesquels il n’y a pas de norme, ou le problème de la maltraitance pour lequel il n’y a aucun protocole. Par ailleurs certaines mesures législatives sont difficiles à mettre en application, c’est le cas des conseils de la vie sociale institués par la loi 2002-2 pour lesquels on a du mal à trouver des candidats

transmissions écrites «  prélèvement fait malgré le refus du patient ».J’ ai exprimée mon mal être à l’équipe, car en effet, je pense que le résident doit être un acteur dans son projet de santé et en lui imposant le soin, je l’ai ressenti comme de la maltraitance et moi le résident n’a pas refuser le soin mais à préférer le reporter à plus tard. L’infirmière semblait d’accord avec mes propos mais se justifiait en disant «  qu’elle n’a pas toujours le choix, elle est souvent seule le matin donc elle ne

très dépendants dans tous les actes de leur vie quotidienne. Ce guide pratique nous informe sur l’organisation, le droit institutionnel et l’accompagnement qui en découle. Tout au long du développement, il amène une réflexion sur les risques et la maltraitance inconsciente dans certain domaine tel que le langage. Pour pallier à tous ces risques d’inadaptation, Catherine Derouette nous préconise l’observation : « Il nous semble essentiel de toujours nous interroger sur le risque de la toute puissance

du corps. Le problème a été, le non-respect de Madame A par la contre attitude négative des aides-soignantes, en parlant mal d’elle en sa présence, ce qui est une forme de maltraitance car ces attitudes ne sont pas propice à la bonne production d’une qualité de soin, et peuvent être des sources potentielles à la maltraitance. Pour conclure, je dirais que les causes du problème du fait du non-respect de Madame A sont : la méconnaissance, le manque d’information et de formation sur la prise en