La Mère confidente

mort de sa grand-mère. Emma, qui était proche de cette dernière se sentait perdue. Sa grand-mère, elle l’admirait, elle était une merveilleuse musicienne, elle avait étudié le violon très jeune à Varsovie, sa ville natale et l’avait enseigné pendant le plus grande partie de sa vie. Elle se mit au piano sur le tard, juste après sa naissance, dans le seul but de l’apprendre à Emma. Mais l’arthrose a fait qu’à la fin de sa vie elle ne pouvait plus jouer. Emma surnommait sa grand-mère Mamouchka, elle

trouve dans les appartements de son fils, lieu habituels des tragédies. Mise en place du décors, du moment, du lieu de l'action. Racine donne d'abord les pensées des personnages. Il rappelle comment Néron est arrivé au pouvoir, qu'Agrippine est la mère de Néron, et qu’elle a fait déshérité Britannicus pour son fils. Il y a deux périphrases qui s’opposent : -Le fils de Claudius, Britannicus. Son père était l'empereur. -L'heureux Domitius, père de Néron qui est arrivé par chance au trône

INTRO Ce commentaire composé concerne la scène d’exposition de Phèdre, une œuvre très connue de Jean RACINE (1639-1699). Orphelin, il est recueillit par sa grand-mère, où il reçoit une solide formation intellectuelle avant de rentrer en classe de philosophie au collège d’Harcourt. Quelques années plus tard, il rentre à l’Académie française. Il a écrit de nombreuses œuvres telles que La Thébaïde (1665), Andromaque (1667), Les Plaideurs (1668), Britannicus (1669), et d’autres encore, cependant Phèdre

Rosemonde : Tante du vicomte, elle connaît les torts de son neveu mais l’aime tout de même. Elle est la confidente de Mme de Tourvel qu’elle soutiendra et guidera avec ses conseils avisés. C’est « grâce à elle » que le livre voit le jour car elle récupère toute la correspondance des différents protagonistes grâce à Danceny à qui elle pardonne le meurtre de son neveu. Madame de Volanges : c’est la mère de Cécile. Elle veut que sa fille fasse un bon mariage mais n’est pas insensible et pense pendant un

d’Agamemnon et de Clytemnestre, frère d’Electre et d’Iphigénie. Il tua sa mère et Egiste, l’amant de celle-ci, pour venger le meurtre de son père. Ménélas : roi légendaire de Sparte qu’il fonda et dont il développa la puissance par ses expéditions des pirateries dans l’Iliade. Il est le frère d’Agamemnon et l’époux d’Hélène dont l’enlèvement par Pâris déclencha la guerre de Troie. Andromaque : princesse troyenne, épouse d’Hector et mère d’Astyanax ; elle fut la captive puis l’épouse de Pyrrhus, fils d’Achille

choisit un sujet déjà traité par les poètes tragiques grecs et romains. Le roi Thésée étant absent, Phèdre finit par avouer son amour à Hippolyte, fils de Thésée et d'Antiope, une amante amazone. Dans la scène I de l’acte I Hippolyte annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène. La scène étudiée se situe à l’ouverture de la pièce, et consiste paradoxalement en une sortie, ou un désir de fuite. -I- a-Situation dans le temps et dans l’espace : La scène se situe à Trézène une

roi d'Athènes est accablée par un problème passionnel et doit choisir entre la raison et la passion: avouer son amour au fils de Thésée, Hippolyte, ou continuer avec sa vie et son rôle de reine. Dans l'extrait étudié, Phèdre est interrogée par sa confidente, Oenone, qui veut savoir quel est le problème qui l'accable. De quelle manière est organisé l'aveu dans cette scène et quel est le rôle d'Oenone par rapport à celui-ci? Pour cela, nous verrons dans un premier temps la complicité existante

alors qu’Andromaque est en pleurs, Pyrrhus se retrouve face à elle et sa détresse. Se sentant touché, il accepte de ne pas livrer son fils à une seule condition : que celle-ci l’épouse. Andromaque, après mûres réflexions, accepte, mais elle dit à sa confidente, qu’après le mariage et étant sûre de la sécurité de son fils elle se donnera la mort par fidélité envers Hector. Hermione, folle de rage à l’idée de se voir remplacer par Andromaque, demande à Oreste de la venger en tuant Pyrrhus. S’il accepte

d’Athènes et de Antiope reine des Amazones. Thésée a disparu depuis 6 mois et Hippolyte annonce a sont confident, Théramène, son intention de partir a la recherche de son père. Il veut quitter Trézène pour fuir sa belle mère Phèdre qu’il déteste, et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, seconde épouse de Thésée, avoue à OEnone , sa confidente et nourrice , la passion coupable qu’elle ressent pour Hippolyte , son beau fils . Juste après son aveu

laisse Phèdre seule avec sa confidente. C’est l’occasion pour l’héroïne de faire le point sur sa situation et de faire des aveux auprès d’Œnone, qui semble rentrer en communion avec les souffrances de Phèdre. Cette scène est par ailleurs une opportunité inouïe pour Racine, de dresser la fatalité des passions, auxquelles fait face l’héroïne tragique, ainsi que de ses conséquences physiques sur cette dernière. Ce type de scène entre une héroïne tragique et sa confidente, fréquent dans la tragédie