La Mesure Imparfaite Du Pib

économiques B Les limites de la croissance La mesure de la croissance : un indicateur imparfait Les retombées négatives de la croissance C L’impératif de développement durable Genèse du concept Définition Des propositions aux limites Faut-il envisager une décroissance ? Chapitre 2 > L’investissement A .......................................................................................................... 41 Définitions et mesure L’investissement est un détour de production

biens, des services, des capitaux. Conditions du marché: Libre circulation des marchandises, des ventes des capitaux. 2) Les indicateurs de mesure du CM: a- Le PIB mondial: ∑ des PIB des espaces économiques nationaux (ou tout simplement PAYS PUTAIN, PAYS). b- Le taux d'ouverture: ((Export+Import/2)/(PIB)) x 100 c) Le coefficient d'ouverture: Export/PIB x100 d) Le taux de pénétration: Import/marché intérieur x100 3) Les aspects de la mondialisation des économies: a) 1er aspect: intensification

Économie: La croissance économique La mesure de la croissance Articles détaillés : Indicateur économique, produit intérieur brut et parité de pouvoir d'achat. La croissance économique est généralement mesurée par l'utilisation d'indicateurs économiques dont le plus courant est le produit intérieur brut (PIB). Il offre une certaine mesure quantitative du volume de la production. Afin d'effectuer des comparaisons internationales, on utilise également la parité de pouvoir d'achat, qui permet d'exprimer

CHAPITRE 1 : INDICATEURS ET DEVELOPPEMENT Dans ce chapitre, l’auteur traite l’étude des différents indicateurs de développement qui permet de mesurer les évolutions et d’effectuer des comparaisons entre pays. Pour cela, l’auteur a procédé à l’analyse statique de revenu/tête, par les indicateurs de mesure du sous-développement, selon le Produit Intérieur Brut (PIB) et le Produit National Brut (PNB), afin de déterminer la typologie des pays en quatre catégories : les pays à faible revenu ; les pays à revenu

------------------------------------------------- Chapitre 16&17 : Oligopole et concurrence monopolistique. Concurrence imparfaite : * Structures de marché entre concurrence parfaite et monopole. * Industries dans lesquelles les entreprises font face à de la concurrence, mais pas assez pour être preneurs de prix. 2 types de marchés en concurrence imparfaite : 1. Oligopole : un petit nombre de vendeurs, offrant chacun un produit identique ou similaire à celui qu’offrent les autres

économique Envisagée du point de vue économique, l’éducation est un investissement. Elle représente, aujourd’hui, une dépense qui doit produire, demain, un supplément de richesse et de bienêtre. La dépense est élevée : elle constitue en France 6 à 7% du PIB, à quoi il convient d’ajouter le coût d’opportunité du temps passé à l’école ou à l’université, au cours duquel la société renonce au produit du travail productif des élèves et des étudiants et ceux-ci aux revenus correspondants. Certains effets de

de produire aboutit à un résultat nommé : le produit. La production résulte de la combinaison des facteurs de production. Y= F(T,L,K) Productivité: ça équivaut à la notion de rendement. La productivité apparente du travail = (Y/L). On peut donc mesurer le produit par tête dans toute l’économie. Quand la productivité s’élève on appelle ça un gain de productivité. Cela est du au progrès technique, à une organisation différente et à l’amélioration de la qualité du travail due à la formation des travailleurs

 ?.    (Durée  indicative  3  semaines  -­‐>  27/09)   «  En  s’appuyant  sur  le  programme  de  première,  on  s’interrogera  sur  l’intérêt  et  les  limites  du  PIB.  On  soulignera  à  ce  propos   que  le  PIB  n’a  pas  été  conçu  pour  évaluer  la  soutenabilité  de  la  croissance.  L’étude  de  séries  longues  permettra  de  procéder  à   des   comparaisons   internationales

performances économiques, sociales et environnementales sont assez différentes : modèle social-démocratie des pays scandinaves, modèle euro continental (Allemagne et France), capitalisme fondé sur le marché des pays anglo-saxons. Conclusion : Dans la mesure où elle entraîne une interdépendance sans précédent des économies nationales, la mondialisation contemporaine joue comme une force convergence. Pour autant, cette évolution ne fait pas disparaître la diversité des modèles internationaux, fondés sur

— et aux obstacles à la participation — à l’économie mondiale un rôle prépondérant dans la promotion de la convergence économique entre les régions pauvres et les régions riches. Bien entendu, le débat sur la mondialisation concerne dans une large mesure les mérites de cette théorie de l’intégration. Enfin, une troisième théorie met l’accent sur les institutions — en particulier le rôle des droits de propriété et l’état de droit. Ce qui importe, selon cette théorie, ce sont les règles du jeu d’une