La Misanthrope Expression Du Comique Le Comique Du Caractere Dans Le Misanthrope

d’Henri Bergson, chapitre I.1, I.2 et chapitre III Notions du programme en jeu : la société, la liberté, la raison et le réel, la matière et l’esprit, la vérité, l’art, le langage, le vivant, le désir Chapitre I – Du comique en général. Le comique des formes et le comique des mouvements. I.a) §1 - Position du problème et enjeux . Qu’est-ce que le rire ? Un mouvement spontané et incontrôlé du corps manifestant une sorte de plaisir - mouvement qui contraste avec le sérieux de la vie ordinaire

LE MISANTHROPE de Molière ACTE I SCENE 1 [v. 118-166] Très longue scène d'exposition (+200v). L'expo présente l'intrigue « judiciaire » avec le procès d'Al et l'intrigue amoureuse : la relation problématique avc Cél est évoquée ainsi que la séduction d'Al sur Arsinoé & Eliante, l'inclinaison de Phi pour Eliante. 1er échange donne le ton : Phi évalue les humeurs d'Al et a l'habitude des caprices de son ami. Al tient des propos excessifs, inadaptés à la situation, il ne veut pas rentrer dans

(1l de présentation) dont est tiré l’extrais datemouvement littéraireépoque*utilisé tous ce qui est autour du texte en gras ou en italique comme aide.Annoncé des pistes :-thème : Amour GuerreTorture…-genre :RomanThéâtrePoésie…-registre littéraire :comique drôle, qui suscite le rire ou le sourire pathétique qui suscite l’indignation/la révolte, vise a réfuter un point de vue opposé.polémiqueengendre des débatslyrique écrit en « je », anaphores/hyperboles/métaphores, cherche à faire vibrer le cœur du

série des pièces qui vont se succéder d’année en année : Sganarelle, 1660, Don Garcie de Navarre, L’École des maris, Les Fâcheux, 1661, L’École des femmes, 1662, La Critique de l’École des femmes, L’Impromptu de Versailles, 1663, Don Juan, 1665, Le Misanthrope, Le Médecin malgré lui, 1666, Amphitryon, L’Avare, 1668, Tartuffe, 1669, les trois premiers actes avaient été joués en 1664, et la pièce interdite, Le Bourgeois gentilhomme, 1670, Les Fourberies de Scapin, 1671, Les Femmes savantes, 1672, Le Malade

rien d’autre que son magot. Tout peut y être sacrifié. On assiste sidéré à cette destruction. Il n’y a pas d’issue ; l’argent est enterré et le manque précipite toute cette petite société dans une urgence panique. Molière nous montre la vie nue. Le comique, au lieu d’éviter le pire, aggrave encore plus profondément ce portrait tragique. Cette pièce culte a été jouée plus de deux mille fois par la Comédie-Française depuis 1680, on la connaît aussi interprétée par de Funès quatre siècles plus tard. Elle

d’Hugo propose une leçon explicite ; le portrait de La Bruyère et le poème de Prévert se contentent d’une morale implicite. C’est surtout par leur recours à des genres différents que ces textes cherchent à persuader le lecteur. La Bruyère dans Les Caractères « De l’homme » a recourt au genre du portrait, avec beaucoup de description d’incivilités de Gnathon. Il fait œuvre de moraliste et cherche à corriger l’égoïsme et la goinfrerie en les ridiculisant. Hugo dans Choses vues utilise le récit, comme

vocabulaire critique et outils spécifiques. Lectures analytiques a)L'exposition : La tirade du Nez (I, 4, v. 311-365), Une tirade comique, l’ « humeur bataillarde », la double énonciation et la raison d’être de ce morceau de bravoure. b)Le nœud : La tirade des « Non, merci ! » (II, 8, v. 965-1005), Cyrano « moraliste classique », à la manière du Misanthrope de Molière ? La scène du baiser (III, 7), vers 1441 à 1480. Une déclaration à double voix, du lyrisme à l’émergence du pathétique (lecture

investigation en disant que le rire mérite que nous cherchions à le comprendre parce qu’il est une expression de la Vie.     S’interroger sur le rire, c’est s’interroger en réalité sur ce qu’est la Vie et dans tout le texte de Bergson, nous allons en effet retrouver ce qu’il a écrit auparavant sur le sens de l’élan vital, sur l’interprétation qu’il propose du phénomène vivant. Il écrit dès le début de la fantaisie comique que nous devoir voir « avant en elle quelque chose de vivant. Nous la traiterons, si légère

Livres V à X, Caractères , 1688, Jean de La Bruyère : La comédie sociale. Jean de la Bruyère (1645-1696), est né dans une famille de juristes. Après des études de droits, et l’obtention d’un héritage qui va l’anoblir, il devient le précepteur du Duc de Bourbon. Sacrifiant à l’esthétique classique, en 1688, il fait paraître, seul, les Caractères ou les Mœurs de ce siècle , de manière anonyme

évidence que cette évolution peut être généralisée pour le théâtre comique dans sa généralité. II°/ L'évolution de la comédie antique grecque jusqu'au XXe siècle. Aristote associe étroitement la comédie avec le comique et même si les théoriciens du XVIe et du XVIIe siècle protestent contre cette idée: la comédie cherche à faire rire, ou du moins à faire sourire le spectateur. Cette définition englobe donc les formes les plus comiques (farce, commedia dell'arte) et les plus fines (comédie romantique