La Misanthrope Expression Du Comique Le Comique Du Caractere Dans Le Misanthrope

Sujet pour l’option théâtre : Le comique à travers les siècles Pb : Comment la littérature du théâtre comique a-t-elle contribué à l’évolution de la société ? Le théâtre participe à la cérémonie religieuse dans l’Antiquité et serait né vers avant Jésus-Christ. C’est devenue au fil des siècles un genre littéraire et le dramaturge un créateur conscient de son art. Il y a différents genres de théâtre, celui sur lequel nous allons nous pencher est le théâtre comique. Plus libre dans sa forme et ancrée

une esthétique, une vision du monde, un comportement, une manière de réagir à une crise. Auteurs baroques : - D’Aubigné : Les Tragiques (1616) - Viau : Elégie à une Dame (1621) - Corneille : L’illusion comique (1636) - Cyrano de Bergerac : Histoire comique des Etats et empires de la Lune Artistes humanistes : - Le Bernin - Rubens Contexte historique : Règne d’Henri IV, puis régence de Catherine de Médicis, puis règne de Louis XIV - Les grandes découvertes[pic]

 Les conflits de la comédie classique 1. La comédie comme genre a) Les conventions théâtrales comiques : lire L’Illusion comique de Corneille Cette comédie permet de travailler dès l’analyse du titre sur la définition de la théâtralité comme art de l’illusion et celle de la comédie, en tant que genre. Oeuvre baroque, elle permet aussi d’aborder l’histoire littéraire du début du XVIIe siècle. Les élèves de 2e connaissant au moins une comédie de Molière, il sera possible en fin de séquence

sensualité, des extrêmes, de l’ornementation, du langage à effets. Les genres privilégiés du baroque sont la poésie avec Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf ou Saint-Amant, et le théâtre, influencé par les auteurs espagnols (par exemple L'illusion comique de Pierre Corneille). Durant la période de transition qui va de 1630 à 1660, le baroque, bien que peu à peu supplanté déjà par le classicisme, continue encore à jouer son rôle. Il est présent dans le courant précieux, le courant burlesque et le courant

artificiel. Les scènes d’exposition peuvent être statiques : deux personnages parlent et l’un d’eux fait un récit (cf. Dom Juan), ou dynamiques : les personnages sont en action. Souvent chez Molière, nous avons des expositions d’idées (Dom Juan ou Le Misanthrope : discussion sur l’amitié et la sincérité). Dans Tartuffe, c’est une exposition réellement originale par le nombre des personnages sur scène, c’est une scène de groupe I. Une réunion de famille II. Le jeu des forces en présence Une réunion

annonce aussi le futur conflit cornélien : l’héros souffre d’aimer car l’amour aliène sa liberté. Enfin, dans La Veuve aparaissent des stances pour la première fois dans l’oeuvre de Corneille. Puis il s’éloigne du genre comique avec Médée, mais il y revient avec L’Illusion comique. Avec le Cid, Corneille n’épiloque plus la magie du théâtre, il la met en action. Il prend conscience de son véritable génie au contact du drame espagnol. Corneille doit beaucoup à l’Espagne et aux écrivains d’origine espagnole

judicieux du siècle, donna à Racine de précieux conseils et lui enseigna, selon son expression, à faire difficilement des vers faciles. Telle fut l'origine de l'amitié intime qui unit ces deux poëtes pendant quarante ans, et qui est un événement important dans notre histoire littéraire. Vers la même époque, Racine fut présenté à Molière par La Fontaine, avec qui il était depuis longtemps lié. Le grand poëte comique l'accueillit avec bienveillance et encouragea ses premiers travaux. Racine lui ayant

de Molière : La comédie est une pièce de théâtre ayant pour but de divertir le public en représentant le ridicule des caractères et des mœurs (habitudes relatives à la pratique du bien et du mal), d'une société. Elle met généralement en scène des personnages de bas niveau social, contrairement à la tragédie. Malgré les apparences, la comédie n'est pas systématiquement comique, même si la plupart des comédies le sont. La comédie larmoyante, par exemple, n'a rien d'humoristique mais fonctionne comme

ce sont des objets supposés comiques par nature ; on ne peut pas faire rire sans parler des gens ordinaires (puisque les rois, princes, héros sont essentiellement tragiques). Le genre paraît donc à la fois bas par son public et frivole par ses effets : indigne à double titre. Ce n’est pas tout : le genre de la comédie est en quelque sorte tiré vers le bas par un cousin mal famé, la farce. La farce : voir déf. plus loin, quelques mots pour le moment : genre comique de la fin du Moyen-Age, XVe-XVIe

la critique thématique crée à son usage une psychologie déduite d'une métaphysique. L'auteur admet, pour sa part, que les réseaux associatifs tiennent leur cohérence d'un phantasme latent. La relative autonomie de cette formation constitue son caractère essentiel. Dans l'exemple adopté, il se révèle indépendant de Méry, de Marie, ou de toute femme réelle et reflète plutôt l'état affectif du créateur, ainsi que le suggère la forme qu'il prend dans L'Assaut ou Les Fenêtres, L'Après-Midi d'un Faune