La Mondialisation Favorise T Elle Les Libertés Individuelles

Introduction Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, le capitalisme, ou néolibéralisme économique, vit un triomphe mondial et se répand à une vitesse vertigineuse. Ce système repose grosso modo sur la liberté personnelle, la maximisation des profits (la formation d'un capital) et la primauté des droits de l'entreprise. Nous croyons que ce système, par ses valeurs, compromet par définition le principe d'égalité. Ce principe est un idéal qui fait que la société a pour but perpétuel de considérer

sociale : égalité de quoi ? " Les différentes dimensions de l’égalité. Le concept d’égalité peut recouvrir des significations très différentes. égalité Définition Exemple L'égalité des droits, Egalité de tous les citoyens devant la Droit de vote, liberté = l'égalité devant la loi (même droits pour tous) d’expression, droit à l’image loi (égalité formelle). 2 L'égalité des chances. L'égalité des situations, ou égalité réelle * Au sens large : possibilité pour tous Un fils d’ouvrier a les mêmes

marchande comme outil de résistance à la mondialisation : le cas du marché des colas PhILIPPE roBErT-DEMonTronD IGR - Université de Rennes 1 AnnE JoyEAu ChrISTInE BouGEArD-DELfoSSE IGR - Université de Rennes 1 IGR - Université de Rennes 1 Résumé Le monde continue chaque jour de se globaliser davantage. Les mouvements de capitaux, les transports, les moyens de communication favorisent l’émergence de ce phénomène. Pourtant, la mondialisation n’est pas sans conséquences sur les

Perspective Monde Économie de marché: système dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux. Chacun agit alors en fonction de ses intérêts; le profit, considéré positivement, y figure comme la récompense du risque. Les défenseurs de l'économie de marché estiment qu'un tel "laissez faire" favorise la croissance économique. Une économie de marché s'oppose à une économie planifiée dans laquelle toutes les grandes

deux capitales, Moscou et New-York, qui de plus n’appartiennent pas au continent européen. Suite à la chute de L’URSS, une seule ‘’superpuissance’’ persiste (les Etats-Unis), d’où la volonté de créer une Europe unie. Nous aborderons également la mondialisation. PARTIE 1 DE 1914 A 1945 La Première guerre mondiale a une originalité : elle est mondiale. En plusieurs occasions, l’Europe a côtoyé la guerre mais le conflit de 1914 est véritablement le premier à basculer dans la conflagration mondiale

ce qui est à vendre. o Le caractère exclusif de la consommation d’un bien : on ne peut le consommer qu’en l’achetant. o Le caractère rival de la consommation dudit bien. ▪ Concernant la transparence, on pourra croire qu’Internet la favorise mais les usages ne savent pas forcément ce qu’ils achètent en souscrivant à un abonnement. ▪ L’essentiel des coûts sont fixes d’où des monopoles naturels et des biens publics, anti-concurrentiels. ▪ La firme cherche à différencier sont produits

qui regroupe, certains fermiers et agriculteurs. La particularité de ce nouveau groupe, vient du fait que ses membres n'exploitent plus les individus, mais la nature. De plus, ceux sont les seuls, avec la noblesse, qui ont acquis une certaine liberté individuelle, car excepté les impôts qu'ils doivent payer aux dirigeants, le reste de leur production, de leur richesse, leur appartient. Saint-Simon démontre ensuite, que c'est cette nouvelle classe sociale, qui, à travers le développement de son travail

revenu des agriculteurs. Il faut donc réduire les impôts et assurer la liberté économique. Les physiocrates sont les premiers libéraux : il ne faut pas que l’Etat intervienne dans l’économie ; les intérêts individuels (surtout ceux des agriculteurs) sont conformes à l’intérêt général ; il faut respecter la propriété privée. Les physiocrates sont libre-échangistes et s’opposent au Colbertisme. Ils pensent qu’il faut favoriser l’exportation de blé et l’augmentation de produits agricoles. Ils sont

Croissance économique, mondialisation et mutation des sociétés depuis le milieu du 19ème siècle Introduction : A partir du milieu du 19ème siècle, l'accroissement de la production économique mondiale connait une accélération du fait de la diffusion de l'industrialisation. Cette croissance nouvelle bénéficie d'abord à l'Europe occidentale avant de se généraliser petit à petit au reste de l'Europe puis à la majeur partie du Monde. Toute fois la croissance économique s'accompagne de crises plus

systémique où le centre reste le centre et la périphérie la périphérie, avec l’économie de comptoir, l’esclavagisme, le colonialisme, le néo-colonialisme (les indépendances politiques mais non économiques dénoncées par Patrice Lumumba 2 ), enfin la mondialisation. La plupart des auteurs constatent que le centre est autocentré, c’est-à-dire qu’il se développe pour son propre profit ; il possède une petite périphérie en son sein, composée d’exclus, hommes ou territoires. La périphérie est extravertie : elle