La Monnaie Est Elle Un Voile

% • la monnaie constituait tradi8 tionnellement un autre instru6 ment de la politique économique; 4 2 par exemple en favorisant l’octroi Taux Solde des 0 4 6 8 10 0 de chômage transactions de crédits bonifiés à tel acteur ou 10 -3 -2 -1 0 1 2 en % de la courantes tel autre, l’État pouvait orienter 8 population en % du PIB 6 les moyens de financement vers active 4 France 2001 une activité plutôt qu’une autre. 2 De nos jours, la vision dominante 0 de la monnaie correspond

privilèges et leurs propres juridictions codifiés selon un statut officiellement reconnu. Parmi ceux-ci, figuraient la fixation des prix, celle des poids et mesures et le monopole commercial. Certaines guildes obtinrent le droit de frapper leur propre monnaie, mais ces cas étaient cependant rares et de courte durée. Dans le contexte de l'époque, la guilde passa pour être une authentique association de marchands et de transporteurs sur une même voie d'eau, de clients attirés d'un même centre commercial

QUANTITATIVE DE LA MONNAIE Extraits wikipédia La théorie quantitative de la monnaie est une théorie économique fondée sur la relation de causalité entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau général des prix. Cette théorie a été développée par différents auteurs dans différents pays. Les théories monétaires s’opposent sur le rôle de la monnaie dans l’économie. Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre, les keynésiens affirment que la monnaie est active et qu’elle

débouchés et loi de l'offre de la demande. Selon cette dernière l'offre crée sa propre demande. On peut apporter deux critiques : l'économie s'équilibre globalement mais pas sectoriellement et le rôle de la monnaie est négligé - ne considérer que comme un voile. On définit trois fonctions à la monnaie : unité de compte, intermédiaire d'échange et fonction de réserve de valeur. 3. La théorie de l'échange international. Les classiques s'opposent au protectionnisme des mercantilistes. Ils sont favorables

société où existe une division sociale du travail, la formation de marchés est presque inévitable, de même que l'utilisation d'un équivalent universel – l'argent ou la monnaie – qui permet de rendre commensurables les marchandises. Sur un marché, le prix d'une marchandise, c'est-à-dire la proportion, exprimée en quantité de monnaie, dans laquelle elle peut s'échanger avec d'autres marchandises, est fonction de la concurrence que se font entre eux les vendeurs d'un côté, les acheteurs de l'autre, elle

monétaire : I La monnaie 1. la monnaie sait régler les échanges 2. Mais pas seulement … 3. Elle revêt différentes formes 4. Elle constitue une masse 5. Elle est plurielle 6. Elle peut être crée … donc détruite 7. Elle est appréhender de manière différentes selon les économistes II La politique monétaire 1. Le SMI 2. 3. la masse monétaire doit être gérer : les outils 4. l'objectif de lutte contre l'inflation I La monnaie 1. La monnaie sert a régler les échanges

DE L’ÉCONOMIE p. 2 I - Monnaie et finance : de quoi parle-t-on ? p. 2 II - Les fonctions de la monnaie p. 3 III - Les formes de la monnaie p. 9 IV - La création monétaire p. 15 SECTION II - LES MUTATIONS RÉCENTES DU SYSTÈME p. 19 FINANCIER A - D’une économie d’endettement à une économie de marchés de p. 19 Capitaux B - Le sens de ces mutations : émergence d’un capitalisme p. 22 Financier de type « patrimonial » et nouveaux rapports de pouvoir. La monnaie et la finance ont

XIXe siècle. La monnaie Pour les Classiques, la monnaie est fondamentalement un instrument d’échange. Ses autres fonctions d'expression de la valeur et de réserve de valeur sont des aspects particuliers de sa fonction primaire. In fine les produits s’échangent toujours contre des produits (définition de Jean Baptiste Say, loi des débouchés). La quantité de monnaie en circulation n’a pas d’importance : les prix s’ajustent à la quantité de monnaie disponible. Créer de la monnaie n’augmente pas la

ou ils disposent des meilleurs moyens. ( Th.R. Maltus (1776-1834) Lois sur la population===> la population augmente selon une suite arithmétique. (J-B. Say (1767 -1832) Lois des débouchés «  Les produits achètent les produits ». La monnaie n’est qu’un simple voile et n’a aucun effet. (D. Ricardo (1772-1823) Il publie en 1817 « principes de n’économie politique et de l’impôt » - La théorie de la valeur travail -Biens reproductibles dont la valeur dépend du travail direct et

les moyens de l'acheter. Certes, le vendeur considère que c'est de la monnaie qu'il demande en contrepartie de son produit. Mais, si l'acquéreur peut le payer en monnaie, c'est parce qu'il lui-même vendu des produits. « L'argent ne remplit qu'un office passager dans ce double échange; et, les échanges terminés, il se trouve toujours qu'on a payé des produits avec des produits. » Pour acheter, il faut donc produire, et la monnaie reçue n'est désirée que parce qu'elle permet d'obtenir des produits.