La Monotonie Du Travail

l'encrier du poète est la mer, qu'il y puise son inspiration et non pas dans le quotidien. De plus, l'auteur utilise un présent de vérité générale « est » et un rythme classique en coupant les vers à la sixième syllabe ce qui met l'accent sur la monotonie à laquelle il est contraint et la lassitude qu'il ressent à son égard. Le passé composé « j'ai lu » renvoie à l'aspect accompli des choses, il a déjà tout fait, il n'y a plus de surprises dans sa vie. Par la suite, l'écrivain insiste sur son côté

mettant les formes : il est difficile de lui résister. Une éducation stricte est conseillée, dès le berceau, insistant sur les notions d'ordre, de ponctualité, de travail, d'obéissance. La danse ainsi que le sport sont à favoriser Qu'aime-t-elle ? Elle aime la liberté, l'indépendance, la nouveauté. Laura est ennemie de la monotonie et de la routine. Fantaisiste, elle aime l'aventure, ou les aventures, et est souvent tentée par les voyages. En amour, c'est une passionnée qui a besoin d'être entourée

qui en fait encore. Sujet : C’est l’histoire d’un ouvrier s’appelant Charlot, qui travaille dans une usine, un jour devient fou, car il ne supporte pas le rythme imposé par le travail à la chaine ; il est donc envoyé dans un Hôpital puis en prison. Libéré il rencontre « la Gamine », une jeune orpheline recherché par la police pour avoir volé du pain. Il la retrouve par la suite dans un restaurant où il travaille comme serveur. Quand la police vient chercher la jeune femme, ils s’échappent tous les

Rivera doit réaliser deux fresques murales sur le thème de « l'industrie et la machine » pour orner la cour centrale de l'institute of Arts de la ville de Détroit. Il doit y rendre hommage à l'industrie automobile et notamment a l'entreprise Ford. Il travaille sur cette freque entre 1932 et 1933, a cette époque les Etats Unis sont en période de crise economique et sociale, celle de la « Grande Dépression ». Description de l'oeuvre Cette fresque fait partie d'un ensemble beacoup plus vaste et s'étend

réalité des industries parisiennes est évoquée à travers les horaires : la répétition et la monotonie de ce rythme apparaît aux vers 18 à 20 avec les indices temporels : « Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour »/ « le matin par trois fois » et l'emploi du présent d'habitude « passent, gémit, aboie ». Ces vers ne créent pas un sentiment de désespoir ou d'ennui (qui seraient liés à l'impression de monotonie) mais rendent compte du mouvement incessant et de l'activité qui animent la rue : cette

violence des hommes… Dans sa Conclusion il propose une solution de mal pratique: la retraite du paysan turque et sourtout le travail, source de progrès matériels et moraux. En outre l’intention polémique y est plus sensible que dans Zadig. Mais par l’animation du récit, la diversité des narations Voltaire sait voiler sous la variété et le burlesque de la narration la monotonie de la thèse. Il nous présente des personnages avec un caracrère plus riche au point de vue psychologique. Enfin dans Candide

Français : Travail n°2 Roman et liberté au 20e siècle Les motifs de lire l'étranger de Camus sont multiples, mais on en retiendra ici trois qui sont d'ailleurs complémentaires : la personnalité " étrange" du héros, le choix de l'écriture du romancier et l'illustration de sa philosophie qu'il développe notamment dans le mythe de Sisyphe. En premier lieu, je vous parlerai du personnage principal de ce roman, Meursault. C'est un "héros"

langage réduit, révélé par ces répétitions mais aussi mécanique de leur vie * Même mot repris : mère, fils, père, affaire, guerre... Même expressions : la mère fait du tricot, le fils fait la guerre... => Aucun terme unique ce qui renforce la monotonie ! * La faille : Vers qui se distingue par la rime : vers 18 = « le fils est tué il ne continue plus » -> seul rime en [u.] 3 destins tout tracés, 1 s'arrête : à cause de la mort Mais tout continu comme avant : les affaires, le tricot... =>

ciller » (Page 32). Les premières journées de son nouvel état se passèrent en allées et venues incessantes : il retournait inlassablement à l’endroit où s’est passé le rendez-vous. Panégyotis semble avoir oublié jusqu’au visage de sa fiancée. Il ne travaille plus; il ne s’inquiète plus ni des mois ni des jours. « Il s’est fait mendiant et il vagabonde dans le pays, évitant les grandes routes » (Page 33). Son visage est devenu pâle tout en gardant un sourire timide sur ses lèvres. Ses vieux habits laissent

de lui. * Comme a dit Etienne de la Boétie : ‘’ la première raison de la servitude volontaire est la coutume’’, dit Joud. avec leurs bourrages de cranes , leurs règles et leurs limites strictes ils les ont entraîner dans une routine, une monotonie ce qui coupe les relations sociales naturelles entre les Hommes et ils ont poussé ces humains à arrêter de chercher plus loin, à avoir des ambitions et à devenir une personne meilleure ce qui est censé être le but de la vie. * Ces limites