La Montée Des Fanatismes

davantage d’une forme de “punition” infligée aux Parisiens que le reste de la France accuse d’avoir fait durer inutilement le conflit mais aussi d’une mesure de prudence face à la colère qui monte dans une capitale réputée révolutionnaire). D’autres mesures, moins importantes, contribuent également à faire monter la colère (abrogation du moratoire sur les loyers par exemple).

L’évolution future des différences de contrôle de l’incertitude : Quand le niveau d’anxiété monte dans un pays, le contrôle de l’incertitude augmente ; cela se traduit par une montée de la xénophobie, de l’intolérance des fanatismes religieux et politiques. Le gouvernement passe aux mains de fanatiques qui peuvent entraîner le pays dans la guerre qui va concerner d’autres pays qui n’avaient peut-être pas le même fanatisme mais où le degré d’anxiété va monter du fait de la guerre. Après la guerre le degré

despotisme, de persécution, d'anéantissement de toute liberté et de toute dignité humaine ne sont pas imputables au fanatisme religieux mais à des fanatismes tout autres qui se posaient en pourfendeurs de la religion — c'est le cas du stalinisme —, ou qui lui tournaient le dos - c'est le cas du nazisme et de quelques autres doctrines nationalistes. Il est vrai qu'à partir des années 1970 le fanatisme religieux semble avoir mis les bouchées doubles pour combler, si j'ose dire, son déficit d'horreurs; mais il

Ionesco y tournait en dérision l’« hugolâtrie » de l’establishment français. En 1982, l’œuvre fut traduite en français et publiée sous le titre ‘’Hugoliade’’. ____________________________________________________________ _____________________ La montée du fascisme décida Ionesco à émigrer. En 1938, ayant obtenu une bourse de doctorat pour préparer une thèse sur « le péché et la mort dans la poésie française depuis Baudelaire » (qu’il n’acheva jamais), il vint à Paris. Il y resta jusqu'au début de

Société des sciences, future Académie de Berlin, et propose à Pierre le Grand une société semblable avec un plan d’organisation culturelle. - 1712 : le tsar Pierre le Grand le nomme « conseiller intime de justice ». - 1714 : l’Électeur de Hanovre monte sur le trône d’Angleterre devenant George Ier. Leibniz attendra vainement des princes qu’il servit naguère une nomination d’historien de la Cour ou un appui dans sa querelle avec Newton. - 1716 : il meurt dans une totale solitude. Seule l’Académie

de la justice ; "superstition" : croyance puérile et fanatique. Voltaire, au prix d'une campagne très vigoureuse dont le "traité" fut l'arme principale, obtint la réhabilitation du supplicié). 27.Le fanatisme : "Une maladie de l'esprit qui se gagne comme la petite vérole… Lorsqu'une fois le fanatisme a gangrené un cerveau, la maladie est presque incurable" (1771 ; notez le "presque" ; Voltaire propose, comme remède, "l'esprit philosophique" qui "adoucit les mœurs des hommes" ; mais on peut se demander

les groupes de critique de masse de l'Université de Pékin et de l'Université Tsinghoua - 1974 Récemment, des farces ayant pour objet de rendre un culte à Confucius ont été jouées dans quelques sombres recoins du monde. La plus maladroite fut celle montée et dirigée sur la scène de Moscou par les nouveaux tsars révisionnistes soviétiques pour encenser Confucius et dénigrer l'école légaliste. [L'école légaliste, dont les principaux représentants furent Chang Yang (?-338 av. J.-C.), Siun Tse (313-238

des rares écrivains de son temps à pouvoir lire dans leur langue les tragiques grecs, sa principale source d'inspiration. C'est grâce à Molière, alors directeur du théâtre du Palais-Royal que sa première pièce 'La Thébaïde ou les frères ennemis' est montée à Paris. A 27 ans, l'auteur triomphe avec 'Andromaque', un modèle de rigueur classique et de poésie tragique bientôt égalé par 'Phèdre' en 1677. Successeur et surtout rival de Corneille, Racine s'attaque aux sujets romains qui font la renommée du

Lumières. Rousseau, on le sait, dès ses deux Discours, critique les Lumières pour leur confiance orgueilleuse dans l’œuvre de la raison et leur assurance d’un bonheur privé et public conquis sur terre par l’homme libéré de la superstition et du fanatisme. En substituant à cet optimisme historique la chute de l’homme dans le malheur, suite à son éloignement de l’état de nature, Rousseau, comme le remarquera Châteaubriand, ne se rapprochait-il pas alors du christianisme? Et ce, d’autant plus que, de

givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.  C'était le vieux qui vit dans une niche au bas  De la montée, et rêve, attendant, solitaire, Un rayon du ciel triste, un liard de la terre, Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu. Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu. Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme Le pauvre