La Montée Du Fascisme

communisme d'un côté, les « fascismes » de l'autre) ; celle du régime économique (le libéralisme), par le recours au dirigisme et à l'interventionnisme étatique. Le début des années 1920 inaugure en effet, en Europe, une crise des idéologies politiques traditionnelles. Partout, la démocratie recule alors que les dictatures progressent et se lancent dans une politique extérieure expansionniste. C'est pourquoi on a parlé pour désigner cette période d'une « époque du fascisme » (Ernst Nolte), d'une

Fachoda en 1898), aux Allemands au Maroc (crises de 1905 et 1910), aux Italiens en Tunisie ; les Anglais s’opposent aux Hollandais en Afrique du Sud, aux Allemands en Afrique de l’Est, aux Russes en Asie. En Europe, la concurrence économique et la montée des nationalismes. L’appétit de puissance engendre la course aux armements. Pour assurer leur sécurité, les États nouent des systèmes d’alliances : la Triple Entente (France, Russie, Angleterre ; la Triple Alliance (Autriche-Hongrie, Allemagne, Italie)

longs mois s’écoulent. N fait, le 9 février, le parti communiste a appelé à manifester pour montrer qu’il est seul à combattre sérieusement le fascisme. Le 12, il manifeste sur le même parcours que les socialistes pour pouvoir haranguer leurs militants, les attirer, les absorber, toujours en se présentant comme le seul adversaire du fascisme. La base socialiste a résisté au chant des sirènes et ce sont les militants communistes qui ont emboîté le pas aux socialistes : il y a bien une aspiration

sont diminuées, pour un pouvoir entièrement détenu dans les mains de l’Assemblée * Une tendance à la droitisation de la politique (Bloc National) * Mais toujours une instabilité parlementaire 2) La Réforme, une réponse face à la montée des extrêmes ? * Montée de l’antiparlementarisme * Des divisions politiques fortes * Un nouveau facteur : la politisation des masses B. Qui sont les acteurs de ces réformes ? Et de quels types de réformes s’agit-il ? 1) Quand la volonté de réformer est

Le contexte international, marqué par la montée du communisme et la crainte d'une révolution, a également contribué à la mobilisation des segments conservateurs de la société italienne en faveur du parti fasciste de Mussolini. En conclusion, l'arrivée au pouvoir de Mussolini et des fascistes en Italie en 1922 est le résultat d'une conjonction de facteurs contextuels, tels que la crise économique et politique, l'instabilité politique chronique, la montée du sentiment nationaliste et la crainte d'une

donc esquissé une partie des fondements du théâtre brechtien. [pic] BRECHT & PISCATOR Experimental Theatre in Berlin Bertold Brecht (1898 – 1956) a vécu les désordres de la République de Weimar, observé la montée du fascisme, rêvé à une société nouvelle pacifiste). Exilé aux Etats-Unis, il ne revient en Allemagne, à Berlin-Est qu’en 1948 où il dirigea le Berliner Ensemble. Son théâtre a fait l’objet d’admiration et de critiques. On a dit que son théâtre était « engagé »

idéologie d’Etat, l’encadrement des masses et la terreur comme mode de gouvernement. Dans l’entre-deux-guerres, les totalitarismes italien, allemand, et soviétique s’imposent face aux démocraties européennes. Quelles comparaisons peut-on faire entre le fascisme italien, le nazisme allemand, et le stalinisme soviétique ? I. Ce qui rapproche les totalitarismes : Leur arrivée au pouvoir résulte de la 1WW à cause des difficultés économiques et sociales (révolutions fev-oct 1917), de la brutalisation

film très long donc pourquoi pas arreter le film après que le capitaine et Maria se marrient? 1. La montée du nazisme Le capitaine, protagoniste de la deuxième histoire. Mais c'est ce que le deuxième étage est tout au sujet. Au lieu de prendre un regard objectivé dans les efforts visant à créer une famille, cette histoire prend un regard objectivé sur la façon dont les personnages face à la montée du nazisme. Ils traitent avec une mentalité très spécifique, fondée sur certaines attentes quant à la

premier temps, il s'agira de constater le lien résidant entre puissance et sécurité durant la guerre. Au lendemain de celle-ci, la priorité sera alors donnée à la sécurité et il convient d'étudier les intentions des puissances pour l'assurer face à la montée de mouvements nationalistes et fascistes pour en dernier lieu évoquer un certain retour à l'ordre et à l'équilibre avec une paix qui se consolide. Il ne s'agit pas dans cette partie de faire une chronologie des évènements clés de la guerre ou d'en

l’URSS en sont exclus. En France, c’est le ministère des affaires étrangères qui dirige la politique sportive. II) Le sport : un outil politique a) un outil puissant au service de la politique. Après la Seconde guerre mondiale, la défaite du fascisme et du nazisme n’enterre pas la fin de l’instrumentalisation du sport. Dès 1948, Eric Honecker - alors secrétaire général du Parti communiste de la RDA - déclarait : "Le sport n’est pas un but en soi ; il est un moyen d’atteindre d’autres buts". Le