La Moquerie Au Théâtre

Au XVIII° siècle, à une époque où la culture française dominait en Europe, Voltaire dominait la culture française. Son œuvre comprend un vaste ensemble d'écrits dans tous les genres littéraires, dont 56 pièces de théâtre,des dialogues, des ouvrages historiques, des romans et des contes, des vers et de la poésie épique, des essais, des articles scientifiques et culturels, des pamphlets, de la critique littéraire et plus de 20 000 lettres. Voltaire était né le 21 novembre 1694 et vécut jusqu'à l'âge

31) mais, mené par son désir, il ne comprend pas qu’il vient d’être l’objet de la moquerie de sa femme et de sa servante. Cette scène repose sur une palette de comiques : comique de situation, de mots, de caractère et de gestes. Le Comte est drôle malgré lui parce qu’il pense maîtriser ce rendez-vous alors qu’il ne s’illustre que par son attitude ridicule. La moquerie du maître est un motif récurrent au théâtre que nous retrouvons un siècle plus tôt chez Molière et plus particulièrement dans

les mœurs et l'esprit des nations (1756), Candide (1759), Traité sur la tolérance (1763), Dictionnaire philosophique (1764), Jeannot et Colin (1764), L'ingénu (1767), La princesse de Babylo « Bibliographie » : * Zaïre : Est une pièce de Théâtre de 1732 Voltaire s’inspire d’Othello mais l’adapte pour écrire cette pièce qui évoque don le même sentiment qui est la Jalousie cette pièce connu un grand succès lors de sa sortie. * La Henriade : Voltaire a écrit ce poème en 1718, il s’agit

rieur : la désignation de la victime dépend en grande part du rieur, de celui qui va déclencher un rire plus général. Ce pouvoir est décrit dans les Doc. 2 et 4 cette capacité à provoquer le rire ne se fonde pas uniquement sur la légitimité de la moquerie : le rire est perçu comme une mécanique (Doc. 4) ; le rire arrive avant la parole, il n’a donc pas besoin d’être justifié, on peut aussi parler d’une forme de contagion initiée par le rieur (Doc. 2). la motivation du rieur peut être tout à fait

séduit par le discours pour faire tomber la femme qu’il désire, promet mensongèrement le mariage, déshonore les femmes ; * Défi : fier et orgueilleux, Don Juan veut affirmer sa supériorité sur tout et tous, y compris la morale et la religion, moqueries constantes ; * Antisocial : totalement opposé aux devoirs qu’impose la vie sociale, totalement opposé au respect de l’autre et à la charité chrétienne ; * Matérialisme : libertin, athée, il vit dans l'instant, rejette toute morale ou religion

bruit ; il roule les yeux en mangeant ; la table est pour lui un râtelier4 ; il écure5 ses dents, et il continue à manger. Il se fait, quelque part où il se trouve, une manière d'établissement, et ne souffre pas d'être plus pressé7 au sermon ou au théâtre que dans sa chambre. Il n'y a dans un carrosse que les places du fond qui lui conviennent ; dans toute autre, si on veut l'en croire, il pâlit et tombe en faiblesse. S'il fait un voyage avec plusieurs, il les prévient dans les hôtelleries, et il sait

situation familiale. Ces moqueries et sa séparation avec sa mère lui a amené à construire multiples sentiments et pensées qui ont éventuellement inspiré ces histoires. En 1844, Alexandre Dumas Fils rejoint son père à Saint-Germain-en-Laye pour qu’ils vivent ensemble. C’est à cet endroit où il rencontre la courtisane, Marie Duplessis. La jeune courtisane qui a été une grande inspiration de son histoire: La dame aux Camélias. Plus tard, il a adapté son roman en pièce de théâtre et l’a nommé «Camille»

physique est ridicule. La construction du film par le metteur en scène doit être bien calibrer il faut savoir en faire beaucoup pour susciter le rire mais pas trop pour ne pas agacer. « Les meilleur blague sont celles qui sont les plus courte ». Au théâtre, les mise en scène sont plus restreinte car les décors son moins perfectionner, on ne peut pas utiliser des changements de cadre etc… Il faut donc que les metteurs en scène joue avec ce qu’ils ont, qu’ils jouent avec les décors, les actions des acteurs

parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur et instaure, dès le début du texte, un climat de moquerie. -les absurdités de la guerre. Dans un premier temps, il insiste sur les similitudes entre les deux armées, par exemple en disant que « les deux rois faisaient chanter des Te Deum ». Par ailleurs il aborde la stupidité des troupes par le biais

de Maupassant qui retrace l'histoire d'un jeune garçon sans père qui subit des moqueries de la part de ses camarades de classe. Alors qu’il décide de mettre fin à ces jours,  il fait la rencontre d’un forgeron qui va l’aider et viendra à épouser sa mère. Dès ce moment, ces camarades jaloux, vont alors cesser de le tourmenter. Il y a ici comme toute histoire ce finissant bien un élément perturbateur qui sont les moqueries incessantes de ces camarade car il n'a pas de père ; et une résolution du problème