La Morale Est Elle Nécessaire

claire d’une morale. Ensuite, nous observerons que les contes peuvent être difficiles à interpréter et que ces genres présentent des fois une certaine ambiguïté. Les contes de fées et les nouvelles ont de nombreux aspects adaptés à la transmission du message. Ils se caractérisent tout deux d’une concision. Les contes de fées sont souvent peu détaillés, avec une description minimale au niveau des personnages et du cadre, l’écrivain ne fournit pas plus d’information que ce qui est nécessaire à la compréhension

être conscient d'avoir un manque -Nécessaire : Obligation imposée par une voie de conséquence -Souffrir : Douleur physique ou morale > L’enjeu : Le Désir a pour conséquence une souffrance > Reformulation : La manifestation d'un manque a-t-elle pour conséquence une douleur ? II-Plan élaboré : Thèse Anti-thèse Synthèse Le désir est synonyme de souffrance - Le désir se forme de deux parties majeur qui sont : -les désirs Naturel et Nécessaire - les désirs vains ce qui nous ramène

délits sont toujours des infractions intentionnelles.L’exigence d’un élément moral en matière de crimes et délits constitue un principe à valeur constitutionnelle (Conseil constit. 16 juin 1999).S’agissant des contraventions : pas de démonstration de l’existence d’une faute intentionnelle ou non-intentionnelle à la charge du contrevenant. Mais, les contraventions, comme toutes les infractions, comportent un élément moral (cf libre arbitre). ET la définition de certaines contraventions fait apparaître

Informations générales (Pistes d’analyses) -Preuves de l'existence de Dieu Alors que la théologie peut prendre l'existence de Dieu comme absolument nécessaires sur la base de l'autorité, la foi, ou la révélation, de nombreux philosophes et des théologiens, ont cru qu'il était possible de démontrer par la raison qu'il doit y avoir un Dieu. Saint Thomas d'Aquin, au XIIIe siècle, a formulé le fameux «cinq voies» par lequel l'existence de Dieu ne peut être démontré philosophiquement: * 1. Le

qu’elle permet au professionnel de réfléchir sur les fondements moraux de ses actions. Elle favorise chez celui-ci la mise en exergue des valeurs morales universellement acceptées. Sans éthique aucune profession n’a sa raison d’être, en définitive, elle favorise l’humanisation des soins. Ce cours permettra, nous l’espérons, aux futurs professionnels de la santé et à ceux qui sont déjà sur le terrain, de parvenir à des normes morales universelles durant la pratique de leurs professions respectives

culturelle du monde. Cela marquera la philosophie par une crise d’identité. Les questions morales par rapport au bonheur vont donc se poser. Les philosophes voudront avoir leur propre théorie qui justifiera leur morale.   SCEPTICISME Les sceptiques veulent renoncer au dogmatisme et pratiquer le doute comme principe philosophique. Ils sont des relativistes comme les sophistes. Caractéristiques : -       ils cherchent la morale la plus efficace possible (parfois égoïste) -       ils accusent le dogmatisme intellectuel :

être heureux. C/ Le désir comme marque de la misère humaine Une vie sans désir, c’est peut être une vie de bonheur total Désir ≠ Besoin but : plaisir but : survie pas nécessaire (corps) (esprit) Cf. Platon (le Banquet) D’après ce mythe, le désir chez l’homme est le signe d’une imperfection, d’une blessure propre à notre nature. Il y a à l’homme « un manque d’être ». Ce manque va chercher à être

« cognitiviste » : éthique qui ne nie pas d’emblée la validité possible des jugements moraux Impératif catégorique : renvoie à l’idée du caractère impersonnel ou universel des commandements moraux valides. Il est explicité par un principe d’universalisation  Transcendantal : qui est connu comme une condition à priori et non comme une donnée de l’expérience. Qui constitue la condition nécessaire à toute connaissance possible.  De facto : de fait

nous est utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur. Mais est bon aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques, bref ce qui est moral Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Le sens du problème Il s'agit de savoir si pour être heureux et si pour être moral il faut admettre la règle, le précepte, de satisfaire tous ses désirs sans exception ou si, au contraire, il convient de maîtriser certains d'entre

utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur. Mais est bon aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques, bref ce qui est moral Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Le sens du problème Il s'agit de savoir si pour être heureux et si pour être moral il faut admettre la règle, le précepte, de satisfaire tous ses désirs sans exception ou si, au contraire, il convient de maîtriser certains d'entre