La Morale Peut Se Passer De Conte

lecture d’un conte Echanger autour des représentations du genre / Identifier les différents niveaux de lecture d’un conte Acccroche : Qu’est-ce qu’un conte ? Chaque élève amène en classe un objet, un texte, une image qui est pour lui représentatif du conte A partir de l’objet, écrire un acrostiche qui permette de donner une première définition du conte. Lecture des textes et confrontations des représentations ( argumentation orale) Elaboration d’une première définition du conte Second

complément circonstanciel de temps "Et tôt" fait écho à "tout soudain" vers 8 soulignant l'imminence de la situation. - L'emploi du futur "serons étendu" vers 11, "serons morts" vers 13 rend cette mort inévitable et certaine : on ne peut y échapper. - Tout au long du poème, on peut remarquer un crescendo: "chutes" vers 4, "cherrons" vers 7, "périront" vers 8, "étendus sous la lame" vers 11 conduisant vers la "mort" écrit pour la première fois dans le vers 13, accentuée par son placement à l'hémistiche.

Le conte et la fable : deux genres dont les affinités et les entrecroisements paraissent évidents au xviie siècle. Le Dictionnaire de Furetière a recours à la même terminologie pour les définir : « fiction », « chose inventée », « plaisanterie », « plaisant ». Pour les contemporains de La Fontaine, les deux genres participent également de la « feinte » — la fable par statut, le conte par prédilection — et leur finalité avouée est celle de « plaire », de « divertir ». Bien sûr, il existe aussi des

génération classique (1661-1685) C’est sur cette 20taine d’années là) que s’étend principalement le classicisme, les plus belles du son règne. Les tendances demeurent mais on va dans le sens de la discipline, de la rigueur. Pendant ces années là on peut dire que triomphe l’ordre et le « goût » Le règne de l’ordre L’autorité royale Louis 14 : C’est un monarque de droit divin. Il ne doit rendre qu’à Dieu, tous les autres sont à ses ordres. Il s’arrange tout les pouvoirs et c’est pour ça que

domaine de la connaissance. -1- Toutes ces finalités isolées ou combinées donnent naissance à une variété de formes et de tonalités qui rendent chaque tentative d’argumentation très originale et parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître • lâche ou serrée, • courte ou longue, • formelle ou informelle, • lourde ou subtile, • produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, • classique ou novatrice, • un long siège ou un coup d'audace

Aujourd’hui, l’extrait étudié est tiré du conte philosophique Candide ; il s’agit de l’incipit du conte ou l’auteur nous donne l’image du « meilleur des mondes possible » avec des préjugés sur l'innocence et plein d'illusions sur la réalité. PB ? I) Un incipit de conte merveilleux a) Incipit traditionnel Présentation des personnages principaux ; Présentation du lieu, du contexte, de l’histoire, du cadre, du décor mais surtout de l’intrigue. b) Incipit de conte merveilleux Déterminant « icelui

en quoi La Fontaine défend habilement son point de vue – et son art. Si ce dernier s’appuie avant tout sur un art du conte, c’est pour mieux assurer l’efficacité de sa stratégie argumentative, qui se développe d’autant mieux qu’elle met en œuvre les canons esthétiques en vigueur, aptes à sensibiliser les lecteurs contemporains. * * * [Première partie : l’art du conte] La Fontaine est sans conteste un admirable conteur. Ses fables présentent de petites histoires délectables déroulant

va innover ?Les histoires sont transmises de manière orale. On a un petit moral pour préfinir aux enfants des différents périls qu’on trouve dans la vie entière. Le but de Charles Perrault est plaire mais aussi instruire VLADIMIR PRORP. Il a découpe des histoires de transmission orale. Dégager le structure essentiel qu’on va trouver dans tous les contes. Appliquer ces structures dans des contes d’autres cultures. On peut faire des parallélismes. Tous les contes suivent le même chemin. Quel a changé

[pic] Introduction Le conte philosophique, nommé aussi « espèce de petit roman » ou « coïonnerie » par son chef de file, Voltaire au cours des années 1760 et 1774, est un récit imaginaire inspiré de la forme du conte pour transmettre des idées et des concepts à portée philosophique. C’est une histoire fictive produite par l’auteur dans le but de peindre une critique sociale, religieuse, politique et philosophique. C’est un texte rédigé sous l’allure d’un conte pour échapper à la censure.

équilibre. L’épilogue du conte décrit cette installation et souligne l’évolution des personnages. La fin du conte n’est elle pas l’affirmation de l’avènement d’un monde ou l’homme prend enfin son destin en mains ? I. Une clôture du récit 2 A. Clôture Spatiale La formule par laquelle débute le conte : « Il y avait en Westphalie » nous permet d attendre une clôture du conte du genre « Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants » comme horizon narrative du conte. Mais en fait, c’est un horizon