La Mort Chez Ronsard

description du soldat Soldat : bagarre, mort (risques du métier) ≠ dormeur « soldat jeune, bouche ouverte, tête nue » = rythme ternaire → repos, pas au travail, a posé les armes « cresson » : se situe à fleur d’eau voire dans l’eau. « bleu » : cresson vert mais dans l’eau = bleu V6 : marque détente à priori (ex : frais, baignant, bleu) mais la position du soldat indique qu’il y a un problème. Termes poétiques : La nature, l’herbe forment son lit définitif = de mort. « la nue » : le ciel « Pâle » ≠ « vert

provoquent chez le poète de la fascination et de la peur. - Le poète se sacrifie pour la beauté. - Carpe diem : vie de l'homme limitée par la mort --> « Vivre comme s'il n'y aurait pas du lendemain. » Symbolisé par la rose : la fragilité de la vie. - Memento Mori : toutes les connaissances et le matériel se perdent. « Souviens-toi que tu vas mourir. » Seul conte la virtuosité de la vie. Lectures complémentaires : - « A Cassandre » et « Quand vous serez bien vielle » de Pierre de Ronsard. Introduction

maximale des ressources de la langue, comme a dit Paul Valérie : 1% d’inspiration pour 99% de travail. . Baudelaire et la Figure Féminine Baudelaire Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 à Paris. Il est l'un des poètes les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l'esthétique classique ; il est aussi celui qui a popularisé le poème en prose. Il a définit les principes

volumineuse de Jean-Baptiste Chassignet intitulée Mépris de la vie et consolation contre la mort qui contient plus de 400 sonnets, écrits sur une période de six mois selon son auteur. LE THEME RECURRENT DE LA MORT Cette œuvre s’inscrit dans ce courant poétique de la fin du XVIe siècle sensible aux images de la mort, de l’agonie et du pourrissement de la chair, comme on les trouve dans les Derniers Vers de Ronsard, contemporain de Chassignet. Cette sensibilité est sans aucun doute alimentée par le

I. Un tableau qui choque → choix du sujet inhabituel « Une charogne » → Cadavre animal ? ou cadavre humain ? → rappel que la mort est là , tout près « mémento mori » → Baudelaire veut choquer puisque dans les deux premiers vers il met en place un cadre idyllique puis il casse la scène avec une « charogne infâme » → vocabulaire sordide et très réaliste, assez concret et choquant. Ces éléments insistent sur le phénomène de décomposition . → vers 10,11,12 :la femme est comparée à ce cadavre

formes et d’images qui représente chacun une époque, c’est d’ailleurs pourquoi, Une organisation chronologique a été choisie … J’ai porté une attention toute particulière au choix des auteurs et ai-je ainsi retenu : François VILLON, Pierre de RONSARD, Pierre de MARBEUF, Victor HUGO, Charles BAUDELAIRE, Henri MICHAUX et enfin Fabien MARSAUD alias Grand Corps Malade … Je regrette de n’avoir pu insérer Jehan de MEUG, auteur de chanson de geste incompréhensibles pour nous aujourd’hui, Clément MAROT

coteau vert ! La plaine brille, heureuse et pure ; Le bois jase ; l'herbe fleurit. - Homme ! ne crains rien ! la nature Sait le grand secret, et sourit. CARTE D’IDENTITE Nom de l’auteur : Victor HUGO Né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris Auteur du XIXème siècle Titre : Spectacle rassurant Recueil : les rayons et les ombres (1840) – XVIIème poème du chapitre I (fonction du poème) Thèmes dominants : la nature, les animaux, la joie, le bonheur et le rêve

Pétrarque « je ne trouve la paix » Structure: un huitain (deux quatrains) suivi d'un sizain (deux tercets). La rime dans un sonnet italien n'est pas si normalisée que chez Shakespeare. Ici ABBA ABBA CDE CDE. 12 syllabes par vers. Le sujet est le cœur de l'amant. Puisque la dame le dédaigne et ne l'accepte pas, il ne peut pas le trouver aussi valoreux qu'avant. Il veut même le banir! Pour empêcher une autre dame d'en profiter!! Si sa dame ne le sécourira pas dans son exile, elle lui fait faute

C'est une élégie (le regret face à toute perte), c'est un poème de regret amoureux. Le poète exprime son regret d'avoir perdu cet amour. Un amour qui nous décrit comme s'enfuyant sous le Pont Mirabeau. Ce pont, Apollinaire le traversait en rentrant chez lui après avoir passé la nuit avec Marie.  Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les

déroulant en a, b, a, b, puis, c, d, c, d, etc. De chaque unité, à la fois ample et resserrée, peut jaillir une plainte, un cri, une protestation, une menace, un glaive. Il recourt à des allusions mythologiques. Ainsi, le commissaire, « Le messager de mort, noir recruteur des ombres », rappelle un personnage des Enfers (Hadès) antiques, quelque divinité funeste, ou Charon, le sinistre passeur des eaux de nuit du Styx ou de l'Achéron. D'ailleurs, le mot « ombres » évoque les âmes errant à jamais le long