La Mort D Hiram

vient donc de l'hébreu et signifie « Il établit ,il affermisse » et la Colonne J :. symbolise le soufre, l’énergie expansive ; elle est masculine, rouge. Jakin est ainsi que boaz, selon la Bible hébraïque, 2 noms de colonnes de bronze fabriquées par Hiram et placées par le roi Salomon à l'entrée du Temple de Jérusalem la colonne du nord, la colonne du 2° Surveillant : Dieu investit le roi Salomon par l'intermédiaire de son père le roi David, à la construction d'un somptueux et merveilleux temple

sur, on ne peut demeurer sans réflexion à la réception de notre mot du compagnon : mot de passe SHIBOLET, avec ses 40 000 morts dans la journée. Ensuite notre élévation où nous somme mort et ressuscité, puis persévérant, la cérémonie de réception au premier Ordre où nous sommes le bras vengeur. Tout est violence et mort. On ne peut terminer cet incipit sans une touche d’humour dans cette noirceur en pensant qu’un MYTHE est à l’attention des Mythos mités. Mais la définition de Mythos se traduit par

révélé son secret à ses assassins... Une fois de plus nous remarquons que la concupiscence de certains a fait le malheur des autres. Hiram était supposé détenir le secret des maitres ferronniers, secret qui était transmis aux compagnons suite à leur formation et aux travaux qu’ils avaient accomplis. Ayant refusé de transmettre ce secret à trois compagnons Hiram fut massacré et son corps enterré. Voilà la première lecture que l’on peut faire de ce mythe, mais si nous prenons le temps de réfléchir

pierres tombales soient évocatrices du corps perdu –, mais le signe de l’absence d’un corps substitué. Le tombeau est donc le signe d’un corps absent : sur le tombeau, il y a une stèle dressée, comme un menhir ou un xolossos, destiné à fixer l’âme du mort. Aucun trait n’est indiqué sur la stèle en Grèce antique : elle n’a pas de valeur représentative. C’est cette dimension des colosses de Memnon en Egypte qui avait tant impressionné Flaubert : il écrivait que, lorsque le vent s’engouffre dans ces deux

siècle en France, et c’est Anne de Poitiers qui fit du noir, la couleur ou non-couleur, du deuil pour assortir ces tenues à son teint de blonde. Le blanc dans le deuil est une porte qui aide le passage de l’âme d’un monde qui est la vie physique à la mort qui est la fin d’une vie pour le début d’une autre mais spirituelle, divine…. Le blanc est également une antithèse, une contradiction : il représente 2 extrêmes : la somme des couleurs primaires que l’on retrouve dans l’arc en ciel tout comme l’absence

La mort d'Hiram : le mythe fondateur de la franc-maçonnerie transposé par Gérard de Nerval.   Toute association humaine a besoin d'un mythe fondateur pour se développer comme l'a brillamment démontré le penseur roumain Mircéa Eliade. Le mythe fondateur de la franc-maçonnerie est l'assassinat d'Hiram par trois mauvais compagnons. Hiram Abi est brièvement mentionné dans la Bible au premier "livre des rois" : Le roi Salomon fit venir de Tyr Hiram qui travaillait sur l'airain. Hiram était rempli de

présager ce drame que vous venez de vivre ce soir. Vous avez été introduit dans un lieu de désolation, dans un lieu ou l'on pleure le maître disparu. Trois compagnons l'ont assailli successivement, le blessèrent et le dernier d'entre eux tua HIRAM. Notre Maître HIRAM refusa de livrer le mot de reconnaissance des Maîtres. Roger Dachez dit : « avec un mot, un signe, une légende et un secret, on a tous les matériaux nécessaires pour créer un grade maçonnique ». L’homme en général et le FM( en particulier

et le Compas à l’Orient, aux pieds de celui-ci. Le récipiendaire passe liUéralement de l’Equerre au compas lors de la marche du Maître en enjambant le cadavre d’Hiram dont il va prendre la place et renaître pour que se poursuivre l’œuvre. Quand Hiram vient d’être assassiné, nous sommes plongés dans les ténèbres. La faible lumière qui brille dans les ténébres est la Vérité qui ne parvient plus à s’imposer car l’ignorance, le fana7sme et l’ambi7on déréglée l’ont vaincue. Nous nous retrouvons face

en psychologie Pourtant, qu’on se rassure si inquiétude il y avait, mon propos est mythologique. Il s’agit pour moi de formuler une hypothèse quant au sens profond du rituel d’élévation, tout au moins une lecture possible parmi d’autres. Ainsi, la mort puis le relèvement d’Hiram aurait à voir avec la fondation du Soi, envisagée comme la réunion des constituants épars de l’individu. Ces constituants seraient dans mon hypothèse les éléments conscients ainsi que les déterminants spirituels de nos parcours

continu de rectification au niveau de MS ? » Les éléments de réponse se trouvent dans le rituel du 4ie, qui rappel que la loge déplore la mort d’Hiram, deuil acté par le décor de la loge, la représentation des personnages, les communications TFPM et 1er Inspecteur, et les symboles. De même, le récipiendaire est censé passer de l’équerre au compas et voit Hiram renaître en lui. Rituel ouverture travaux : TFPM : êtes-vous Maitre Secret ? 1er Insp : je m’en glorifie TFPM : Comment avez-vous été reçu