La Mort D Hiram

grandes et 3 petites lumières. Le temple de Salomon, construit par 3 hommes ( Salomon, David et Hiram ). Dans ce temple, s’il en manque un, les travaux s’arrêtent et le Nom ( Du grand architecte de l’Univers ) ne peut plus être communiqué. Ceci montre aussi que le symbole du trois n’est pas que positif : Trois coups portés à Hiram par trois mauvais compagnons par ignorance fanatisme et ambition. La mort d’Hiram fera perdre la Parole et le Nom.   Le rectangle en bas, c’est l’expression de quaternité

de sa science. Elle donne ainsi l'ordre : « Voyagez mes Sœurs, de l'Occident à l'Orient, par le Septentrion, et de l'Orient au Midi, jusqu'à ce que vous ayez découvert le lieu sacré où d'infâmes meurtriers ont déposé le corps de notre Maître Hiram ». Par cette injonction, elle s'assure que ce voyage couvrira la superficie intégrale de la terre et ne s'arrêtera qu'avec le succès de la quête. Cela nous laisse entrevoir l'importance de cette marche. Les neuf Maîtresses: la Maîtresse

Ulysses S. Grant (né Hiram Ulysses Grant ; le 27 avril 1822 à Point Pleasant dans l'Ohio et mort le 23 juillet 1885 à Wilton (en) dans l'État de New York) fut le 18e président des États-Unis. Après une brillante carrière militaire au cours de laquelle il commanda les armées nordistes durant la guerre de Sécession, il fut élu président en 1868. Sa présidence fut marquée par ses tentatives visant à réintégrer les anciens États confédérés, à éliminer les vestiges du nationalisme sudiste et à protéger

l’intérieur du cabinet de réflexion, caverne alchimique où se déroule un rite de purification. L’épreuve de la terre subie par le postulant, moment privilégié de méditation, permet de faire le bilan et de connaitre par anticipation une mort virtuelle qui comme toute mort sera un passage vers un nouveau commencement. Unique moment, dans le cheminement initiatique, où l’on reste seul, face à soi même, isolé dans la pénombre. « Mourir c’est passer d’un monde d’existence à un autre ». Dans les anciennes

Bonaparte | > Il y a trois sortes d'intelligence : l'intelligence humaine, l'intelligence animale et l'intelligence militaire. |   | [Aldous Huxley] | | | | > On n'est pas d'accord avec la vie tant qu'on n'est pas d'accord avec la mort. |   | [Alexandre Vialatte] | | | | | | > La confiance, d'accord, mais c'est quand même ce qui fait les cocus. |   | [Jovette-Alice Bernier | > Avant une guerre, la science militaire fait figure de science, comme l'astronomie

possible, puis, ensuite, reconstituer le sens. Après son apprentissage et son compagnonnage, le franc-maçon est invité à regarder la passion d’Hiram. La légende d’Hiram est le centre de l’enseignement de la franc-maçonnerie. Elle se résume ainsi : Hiram est assassiné par trois compagnons impatients de posséder le «Mot» de Maître et pensant d’ailleurs que seul le « mot » pouvait leur donner le pouvoir d’être Maître. Après avoir accompli leur forfait, ils dissimulent le cadavre. Les Maîtres le cherchent

son plafond. Symbole du Ciel, de l'immensité de l'univers sous laquelle le Franc-Maçon travaille. En Franc-maçonnerie, le Temple qui nous intéresse et qui constitue la référence, c'est celui qui a été conçu par Salomon et qui a été construit par Hiram, le fils d’une « veuve de Nephtali » célèbre en son temps pour sa connaissance de l’Architecture et de l’art de fondre les métaux. Le Temple maçonnique, c'est d'abord un espace clos, à l'abri de la vie profane et animé par la réflexion et par 1'échange

son séjour en Prison, il s'enfuit à Paris et écrit sa dernière œuvre La Ballade de la geôle de Reading. Il meurt ainsi en novembre 1900, à l'âge de 46 ans. Il fut inspiré par John Ruskin ou Walter Paker (professeur à Oxford). Les personnages : Hiram Otis : Père de quatre enfants, c'est un homme calme et posé. Il est courageux, intrépide et ne s'énerve que si le mal concerne sa famille. Avec sa femme, ils incarnent le rationalisme. Ils ne croient pas au paranormal et trouvent une preuve matérielle

point de vue culturel, social, religieux, moral, qui continue au présent de son existence de la faire perdurer, par-delà la finitude humaine, par delà notre mort individuelle. Il y a tradition, transmission, parce que nous sommes mortels. La tradition est indissociable de la notion d'héritage, et il n’y a d’héritage que parce qu’il y a mort ! La tradition forme la communauté des individus qui en héritent, et cette communauté héritière garantit la continuité de la tradition. C’est un fonds commun

Parole perdue par la mort d’Hiram que l’on cherchera en équipe car il est nécessaire de poursuivre ses travaux sur le