La Mort dans les nuages

cette pluie de fer 
De feu d’acier de sang 
Et celui qui te serrait dans ses bras 
Amoureusement 
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
 Oh Barbara 
Il pleut sans cesse sur Brest 
Comme il pleuvait avant 
Mais ce n’est plus pareil et tout est abimé
 C’est une pluie de deuil terrible et désolée
 Ce n’est même plus l’orage
 De fer d’acier de sang
 Tout simplement des nuages
 Qui crèvent comme des chiens 
Des chiens qui disparaissent
 Au fil de l’eau sur Brest
 Et vont pourrir au

Jacques Prévert Jacques Prévert est né le 4 février 1900 et est mort le 11 avril 1977. Il a eu beaucoup de mal à se faire reconnaître des critiques car on lui reprochait la trop grande simplicité de sa poésie. A présent, il est considéré comme un des plus grands poètes du XXème siècle et il est publié dans la collection de La Pléiade, c'est une place d’honneur pour un écrivain. La poésie Barbara est extraite de Paroles, paru en 1946. C’est un texte qui se réfère aux 165 bombardements

Turner La vie de Turner Joseph Mallord William Turner est un peintre , un aquarelliste et un graveur britannique. Il est né le 23 avril 1775 à Covent Garden , à Londres et il est mort le 19 décembre 1851 au domicile de sa compagne , Sophia Caroline Booth , à Chelsea. Il est le fils d’un barbier , William Gay Turner. Sa mère s’appelle Mary Marshall. A 15 ans , il est admis à la Royal Academy. Il aime beaucoup l’architecture. Il suit des cours de perspective avec le dessinateur en architecture

Élévation Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ses miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu

refuge. Il n’y a qu’ici qu’il se sente bien, lorsqu’il est figé sur son banc, tel une statue, qu’il écoute son MP3 et qu’il peut admirer les choses qui l’entourent. Il contemple chaque arbre, chaque feuille, chaque insecte volant, chaque fleur, les nuages et les enfants qui jouent. Aujourd’hui il remarque qu’il y en a plus que d’habitude. Il ferme les yeux, se laissant aller sur une de ses chansons préférées : ‘Mad World’ de Gary Jules. Il se sent presque heureux. Presque. Soudain, il sent quelque

L'aube qui embrassait la nuit. L'aube absorbait les étoiles de la nuit faisant apparaître les premiers rayons de soleil et quelques nuages orangés. La nuit traînait des pieds avec son immense sac d'étoiles à la main et parcourait les terres et océans à la conquête de nouveaux pays à obscurcir. La transition entre ces deux ciels était magnifique ; j'aurais pu rester allongé dans l'herbe mouillée regardant les heures défiler, ne me souciant plus de rien mais j'ai préféré admirer les couleurs du

La Lune se cachait derrière les sombres nuages qui voguaient sous la fine brise qui soufflait ce jour-là... Les ombres de tout les arbres environ, s'allongeaient et se raccourcissaient en fonction de ces petites rafales, qui secouait les branches des sapins de la forêt de Gorgoth. Aucun bruit ne se faisait entendre. Pourtant, un sentiment de menace flottait dans l'air. Une chouette s'envola, en hululant, de la sombre forêt. Un cri retentit. Les Loups étaient là ! Leur crocs étincelaient de

les coups de l'artilleries ennemis . Nous avons peur et nous oublions même le froid glacial de cette fin d'automne .Les arbres restant pleurent en silence leur fin prochaine . Un petit rayon de soleil perce de temps en temps le ciel voilé de gros nuages noirs ; il fait sombre et une odeur cadavérique envahi nos narines irrités pas les bombes et nous ramene a la dur réalité de notre sort . Je profite de cette accalmie / de ce moment de répit pour vous écrire ces quelques mots . Plusieurs de nos

d'une voix sinistre : venez, déesses qui punissez les crimes, venez avec votre chevelure de serpents en désordre, et des torches funèbres dans vos mains sanglantes, venez telles que vous parûtes autrefois à mes noces ; apportez-moi la mort pour cette nouvelle épouse, la mort pour son père et pour toute cette race royale, et laissez-moi vous demander un supplice plus terrible pour l'époux. Qu'il vive, mais pour errer dans des villes inconnues, pauvre, exilé, tremblant, détesté, sans asile; réduit à regretter

qu'est-ce qui est enterrer pour lui en même temps que le père Goriot ? 1.Évolution de Rastignac Rastignac vit la mort du père Goriot comme une perte, il est triste, seul et qu'il se sent humilier ''la dernière larme versée'' est le symbole de l'innocence du personnage enterrer en même temps que le père Goriot. Rastignac est prêt à tout pour réussir ''il se croisa les bras contempla les nuages'', ''il fit quelque pas en dehors du cimetière'', ces citation montre cette posture de conquérant qui plonge