Société mondaine

« sage de la pièce », au tempérament « si doux » et « si modéré », il dénonce en Philinte une attitude néfaste pour le genre humain, une attitude qui ne ferait qu’encourager les vices de la société mondaine, qui ne vit à cette époque que pour l’image, l’apparence qu’elle renvoi à autrui. Cette politesse mondaine à laquelle Philinte à recours est caractérisée par Rousseau, non pas d’une attitude reflétant la sagesse, mais plutôt d’une hypocrisie sociale, pas seulement égoïste, et va jusqu’à la malhonnêteté

l’acte une entrevue entre les deux marquis Clitandre et Acaste qui présente clairement les caractéristiques de la société mondaine notamment à travers la tirade d’Acaste v. 781 à 804 qui présente le caractère du marquis celui-ci étant en effet prétentieux et orgueilleux, il se complimente, se distinguant ainsi comme « un courtisan achevé » (cf. texte de L. Marcou Tableau de la vie mondaine), ces deux personnages tiennent une place importante dans le Misanthrope car la pièce met en scène des gens appartenant

1) « Le misanthrope » est une comédie de Molière, parue en 1667. 2) Résumé de la comédie en 10 lignes maximum : Alceste est un jeune homme qui hait la haute société mondaine, hypocrite et frivole. Il critique sincèrement un poème en présence de son auteur ou préfère perdre un procès honnêtement que d’influencer le juge, comme le fait son adversaire. Malheureusement pour lui, il est très amoureux de Célimène, une jeune veuve coquette et adepte des salons qui adore médire dans le dos des gens

roman, Zola mystifie Nana, ainsi elle joue le rôle de Venus. Tout d’abord, on cherchera à dresser le portrait de nana en montrant la domination de Nana envers les hommes puis nous montrerons le vide qui l’entoure, enfin on cherchera à décrire la société dans laquelle évolue Nana dans le but de répondre à la problématique « Comment Zola arrive t-il a créé le mythe de Nana ? Tout d’abord on remarque que Nana existe grâce à son souci de plaire, le « souci  sa beauté, un soin continuel de se

problématiques possibles. Travail de recherche à effectuer : le bottin mondain. Séance 1 : analyse du document 3 avec confrontation de documents Le bottin mondain Il convient sans doute d’expliciter avec les étudiants les termes « bottin » et « mondain » Cet annuaire est ainsi présenté sur le site http://www.bottin-mondain.fr/qui-sommes-nous/ : « Paru pour la première fois en 1903, le Bottin Mondain réunissait dans sa liste mondaine 12 000 familles exclusivement parisiennes, sélectionnées de l'Annuaire

laisse approcher, à la suggestion d’un ami, par une demi-mondaine connue, puis il transforme cette liaison banale et facile en élection amoureuse dont il se trouve piégé. En d’autres termes Odette apparait comme un personnage composite, assemblage syncrétique de deux figures du roman du XIXe siècle, la maitresse entretenue et la belle indifférente. II) Odette une femme entretenue ? 1) Amour ou profit ? Commençons par définir le terme Mondaine qui signifie appartenir au monde attaché aux vanités

Œuvre autobiographique[modifier] Marie Duplessis Pour son roman, Alexandre Dumas s’inspire de ses propres relations avec la demi-mondaine Marie Duplessis. Mis en pension très jeune, il vit très mal son statut d’enfant « bâtard » comme il le dit lui-même, et lorsqu’il rencontre Marie Duplessis en 1844, elle lui apporte la stabilité dont il a besoin. Elle devient sa maîtresse et le sujet de son roman. Ce que disait Dumas à propos de son roman[modifier] * « N’ayant pas encore l’âge où l’on

14), « air » (l.16), « expression » (l.18), « physionomie » (l.20), « observais » (l.26)… Société mondaine de l’époque : règles de bienséance (« j’étais vouée par état au silence et à l’inaction » l.7-8), ne jamais montrer ses faiblesses, toujours faire bonne impression donc apprendre à mentir => vie en société = lutte. c. Art de vivre Mme de Merteuil tire sa réputation de ses masques => société mondaine où le regard de l'autre est une menace constante. Lutte intellectuelle, mais amusement, jeu

colliers, coiffures...) qui semblent être heureuses. Derrière elles se trouve une route traversée par des voitures tirées par des chevaux (diligences). On peut donc en déduire grâce aux habits des femmes qui correspondent à la mode parisienne du milieu mondain au XIXème siècle et aux voitures que lʼaction se passe vers le début du dix-neuvième siècle et à Paris dans les quartiers aisés. De lʼautre côté de la route, on voit un homme accroché à un lampadaire. Il est lui aussi habillé chiquement. Cependant

dans la voie de la morale pourrait remettre en question l'ordre établi. Il doit "savoir entrer dans le mal, s'il y est contraint". La vision de ce penseur est donc totalement réaliste, rationnaliste, et rien n'est accordée aux valeurs morales de la société, jugées coupables d'un grand nombre d'erreurs faites par le passé. Par ce texte, Machiavel réfute donc la pensée générale, qui postule que le Prince doit agir en son royaume avec un sens aigu de la justice. Il distingue deux moyens, deux instruments