La Mort De Danton

La « terreur judiciaire » s’appuie sur la loi des suspects (27 septembre 1793). Les tribunaux révolutionnaires sont établis à Paris ainsi qu’en Province. La mise hors-la-loi, votée par la Convention, annule toute procédure et implique la peine de mort dans le jour suivant de l’arrestation. Les sociétés populaires reçoivent des pouvoirs délégués qui sont la surveillance et la police. Il existe aussi une « terreur économique » (loi sur le maximum des salaires et des prix, loi obligeant commerçants

dimension éthique et collective, fondée sur la raison et l’humain. On peut alors retenir les noms de Danton , Victor Hugo, Jean Jaurès … Jean Jaurès à la tribune, dessin de Eloy VINCENT, 1910Emile Zola et sa lettre dans l’Aurore. 13 janvier 1898A CCUSCece ¢ LETTRE AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE Par EMILE ZOLA Partout ou la peine de mort est prodiguée, la PETROS COON EM Ke CMU ORG Caroma enn s (Victor Hugo) QOcitations ARISTOTE Naissance:

le roi et le condamner à mort. Il sera exécuté le 21 janvier 1793. IV)1793 , l'année terrible : En 1793, les Républicains sont dans une situation très compliquée : la France est attaquée par les Etats voisins (Angleterre, Autriche, Espagne, Hollande, Prusse...) et de nombreuses révoltes ont éclaté en France contre les révolutionnaires (pour soutenir la monarchie ou une autre vision de la république). Les Républicains alors au pouvoir sont les Montagnards (Robespierre, Danton...). Ils vont alors appliquer

forment d'abord l'esprit de ses ouvrages dramatiques, bientôt ses ouvrages dramatiques forment son esprit31. » La pièce fut finalement représentée en novembre 1789, avec le tragédien François-Joseph Talma dans le rôle principal. Assistant à la Première, Danton aurait eu ce mot révélateur : « si Figaro a tué la noblesse, Charles IX tuera la royauté32. » Trois ans plus tard, en janvier 1793, la représentation de L'Ami des lois de Jean-Louis Laya provoqua des remous encore plus graves : ce furent les canons

à l'idée de représentation (Jacobins). La morale de Rousseau, du citoyen simple qui se sacrifie pour la volonté générale n'aura d'influence que plus tard avec la Terreur. B) Les lumières contre la révolution. La plupart des grands penseurs sont mort lors de la révolution, ils ne peuvent donc la juger. Certains seront témoins de la révolution, et ils la critiqueront (Morellet). Il représente une idée commune. Cependant, les critiques ne vont pas à l'encontre du but qu'affiche la révolution, mais

sous influence des députés Girondins 21 janvier 1793 >Exécution de Louis XVI 2 juin 1793 > Coup d’Etat des députés Montagnards : arrestation des Girondins Eté 1793 >Révoltes royalistes et fédérales suite à la mort du roi et l’arrestation des Girondins 27 juillet 1793 > Le Montagnard Robespierre entre au comité du Salut Public 5 septembre 1793 > Proclamation de la Terreur pour faire face aux révoltes intérieures 16 octobre

de leurs idées. -Principaux auteurs: . Voltaire: né en 1694 à Paris et mort en 1778 à Paris. Lettres philosophiques (1734) Traité sur la tolérance (1763) Il écrivait surtout des contes.   Zadig (1747) Candide (1759) Micromégas (1752) L'ingénu (1767) Voltaire critiquait les injustices sociales, défendait les libertés de croyance, la tolérance et la justice. . Rousseau: né en 1712 à Genève et mort en 1778 à Ermenonvielle. Du contrat social(1762) Émile ou De l'éducation1762)

de mort Dates décroissantes    Titres seulement    (5 réponses)  1786 | 30 novembre  La Toscane abolit la peine de mort  Sous le règne de Pietro Leopoldo, le Grand Duché de Toscane est le premier Etat à abolir la peine de mort et la torture. C’est à cette époque que Cesare Beccaria avait publié son traité « Desdélits et des peines » qui prônait la suppression de la peinecapitale, alors que l’abolitionnisme n’était que très peu répandu. Voir aussi : Traité - Histoire de la Peine de mort - Histoire

élimine tous ceux qui le gênent : Danton, Camille Desmoulins. Les succès militaires de la République des années 1793 1794, en renforçant la position du nouveau régime, rendaient la dictature de moins en moins nécessaire alors que les robespierristes semblaient la recommander. Beaucoup de députés, surtout depuis la mort de Danton, avaient peur d'eux ; cette tension précéda et prépara le 27 juillet 1794. La crise éclata pour dissiper une atmosphère où la menace de mort semblait planer sur tant de têtes

de la violence montagnarde et symbole d'égalité: face à la justice, «tout condamné à mort», malgré le crime commis et le statut social, aurait, d'après la loi du 5 juin 1791, «la tête tranchée» . Le roi en fut l'une des premières victimes; cependant, parmi les nombreuses victimes du «rasoir national» et du Tribunal Révolutionnaire, se trouvent quelques-uns des députés sous la Convention Montagnarde, tels Danton, Camille Desmoulins, Saint-Just et Robespierre lui-même.  Le coup d'état du 18 brumaire