La Mort Intime Personnages

celui-ci ne prenne la parole, ainsi que (le Horla, deuxième version). Dans cette version le narrateur, le narrateur qui souffrait de troubles mentaux, raconte sa folie et la terreur qu’il subissait. Le conte se présente sous la forme d’un journal intime écrit à la première personne du singulier, celui d’un homme hanté par son double, invisible, un être surnaturel qui agit à son insu ; le Horla , dont il perçoit chaque jour la présence de plus en plus obsédante. Cette folie le conduira à de nombreuses

récit fantastique sous forme de journal intime. Le texte commence le 8 mai et se termine le 1o septembre, l’année n’est pas précisée. En cinq mois, le personnage subit de multiples péripéties et ne termine pas son journal. Les derniers écrits, le 1o septembre, laisse supposer que celui-ci se sucide. Maupassant, ayant terminé sa vie dans une clinique et un état végétatif, l’on peut donc se demander si l’état mental de l’auteur est lié à la folie du personnage ou à l’écriture de cette nouvelle. Comment

activites qui s~ rejoigm~nt a travers ses a:uvres : l'engagement dansl'action politique et I'ecriture. En effet Ie livre La condition humaine fait Ie recit de communistes prom is a I~ex6cution par des nationalistes. Le personnage Kyo fait partie du groupe de communiste et attend la mort. 11s'agira de se demander comment l'auteur tire parti d'une situation historique pour conduire une reflexion universe lIe en etudiant d'une part l'episode tragi que et d'autre part la retlexion sur la condition humaine

roman dans un style spécifique, on peut néanmoins l'examiner d'une manière atypique. En analysant chaque personnage, on découvre l'importance de leur rôle dans la création vianesque. Colin joue le rôle du musicien, Nicolas représente le chef d'orchestre, Chloé est la groupie, Chick incarne le thème de l'obsession, Alise personnifie l'amour malheureux et la souris sert de lien entre tous les personnages : le pouvoir incroyable de la création artistique. Dans cette optique, Vian a écrit non seulement une

offusquer le temps. L’histoire de Michel, le narrateur personnage de L’immoraliste, se confond avec celle de son auteur. En effet, comme son personnage, Gide a séjourné à Biskra pour soigner une maladie qui pouvait être mortelle. C’est d’ailleurs peut-être ce séjour passé en sanatorium pour lutter contre la tuberculose qui incite l’auteur à évaluer le prix de l’existence. Comment peut-on apprécier la vie lorsque la peur incessante de la mort nous guette ? Pour répondre à cette question, le narrateur décide

raconte sa mort) et non à l’art fantastique (qui est ici, le maintien de l’hésitation au-delà de la lecture). L’art fantastique est pourtant bien présent puisque Théophile Gautier nous propose un narrateur parlant à la première personne ce qui laisse le lecteur s’identifier au personnage sans même qu’il s’en rende compte. Ce procédé, très classique dans la littérature fantastique, permet au fantastique d’être plus prenant puisque le lecteur se sent plus concerné par ce qui arrive au personnage, il sent

ce paragraphe est déterminant pour la suite de la lecture puisqu'il nous renseigne avec exactitude sur le cadre de la rencontre entre Mme de Clèves et *duc de Nemours. La part de description du texte B indique que l'action se situe à Nancy, où le personnage de Lucien Leuwen du roman éponyme se rend en suivant son régiment. Le cadre spatio-temporel est dépourvu d'indication datant les faits, et d'une seule information concernant le lieu. Il comporte donc un intérêt modéré pour la suite de la lecture

dans un studio, avec une pose du personnage très recherchée ; l’univers rerpésenté par la photo ne renvoie donc pas à la réalité. La jeune femme, représentant la cible, n’est ni tourné vers la gauche (ce qui pourrait être interprété comme le passé), ni tourné vers la droite (ce qui pourrait être perçu comme le futur). Il est ancré dans le présent, car elle est vu de face. Le personnage prend toute la place. Le lecteur se retrouve dans une zone intime du personnage qui s’impose en fixant son regard

rues de Paris. Dans ce poème , V. Hugo met en place des stratégies persuasives basées sur l’énonciation, la théâtralisation et les registres pour révolter le lecteur et blâmer Napoléon. Axe 1: Deux situations d’énonciation 1) récit Narrateur personnage - utilisation du « on » Effet d’identification 2) discours - séparation entre les deux par un blanc typographique - Double destination : narrateur s’adresse à la grand-mère (« mère ») mais aussi à un lecteur potentiel - Ironie et humour

très concise de la situation, de l'enfant. > créé le choc initial. Enfance > mort. Construction à l'hémistiche du vers 1. - v.2 et 3 : Présentation du contexte, du cadre > insiste sur simplicité du logis. Détail réaliste v. 3 : le rameau béni > fait vivre le décor ; confirmé par l'armoire en noyer. Jugement moral avec " honnête " > contribue au pathétique et à la dénonciation. - v. 4 et 5 : apparaissent personnages : grand-mère, narrateur et amis. - v. 5 à 11 : enfant. Insiste sur apparence physique