La Mort Rend Elle La Vie Absurde

définir comme un homme n’appartenant pas à la nation, à la famille, au groupe… La lecture de cette œuvre nous laisse découvrir un personnage principal absurde qui cohabite avec des personnages secondaires. Notre étude s’articulera autour de deux axes principaux. D’une part nous nous intéresserons au personnage principal absurde et d’autre part nous évoquerons les personnages secondaires et leurs relations avec les personnages principaux. I- LE PERSONNAGE PRINCIPAL Le personnage

notion de Spleen, (reprise ensuite par le mouvement Dada : no future). Pour les existentialistes (Sartre, Merleau-Ponty, Camus, Cioran) la vie repose sur un non-sens, l'existence humaine est absurde, le bonheur est une illusion. (Déjà Pascal, au 17° siècle avait parlé de la misère de l'homme mais pour lui il y avait une issue : Dieu) or depuis Nietzsche, "Dieu est mort". Cette réactivation est liée aux facteurs historiques attestant de la tragédie humaine : - Après, la der des der a eu lieu l'holocauste

Commentaire de texte Extrait de Les Bonnes (1947) de Jean Genêt (1910-1986) Jean Genêt est un écrivain, poète et auteur dramatique français du XXè siècle, qui s'est engagé dans ses œuvres et dans sa vie en faveur des opprimés du monde entier. Dans Les Bonnes, publiée en 1947, Genêt dénonce la condition des domestiques du XXè siècle opprimés par les classes bourgeoises. C'est également une pièce de théâtre tragique et violente inspirée d'un faits divers

Celui-ci est issu d'une grande famille germanophone installée à Prague. En 1908, après des études de droit, il occupe un emploi dans une compagnie d'assurances. Il commence à écrire très jeune et l'écriture prend une place très importante dans sa vie. A partir de 1910, Kafka commence à tenir son Journal et ensuite écrit d'autres œuvres comme Le Verdict en 1912, La Métamorphose en 1913 et Le Procès en 1914. En 1917, il apprend qu'il est atteint de la tuberculose. Puis il s'installe à Berlin, où

ignorance. Nul n’est méchant volontairement. Platon L’essentiel n’est pas de vivre mais de bien vivre. Tout ce qui vit provient de ce qui est mort. Il est tout à fait d’un philosophe ce sentiment : s’étonner. Si tu cherches bien, tu trouveras. C’est l’amour qui, dans le présent, nous rend le plus de services, en nous menant à l’état qui nous est propre. Plus ils ont d’estime pour la richesse, moins ils en ont pour la vertu. Le beau

de Meursault et de l’absurde (à partir de l’extrait du meurtre, de l’enterrement) ; comparaison incipit / fin ; gestion du temps (journal + mémoires) ; thèmes du travail de groupe (soleil, mer, mère / femme, justice, communication difficile, mort / peine de mort) ; question écrite. - Commencer par la séance par demander un résumé du texte ; conserver les premières impressions. En lire quelques-uns. Les élèves mentionneront certainement qu’il se passe très peu de chose dans le roman, voire qu’il

correctement de lui. Sa mère et épouse, elle, se suicide en apprenant l'inceste. A la suite de la mort de leur père, Etéocle et Polynice obtiennent tous deux le trône, qu’ils doivent se partager à tour de rôle. Après un an de règne, Etéocle refuse de céder le trône à son frère, et celui-ci lève donc une armée pour le lui prendre. Les deux frères vont jusqu'à s’entre tuer et leur oncle Créon reprend le pouvoir. Il rend alors hommage à Etéocle en lui offrant de grandes funérailles tandis qu'il laisse le corps

Dans Humour noir et homme en blanc, l’image caricaturale de la médecine permet de dédramatiser un phénomène inévitable tel que la mort, le titre en lui-même Humour noir prévient en quelque sort le lecteur, et comme dirait Bergson, il faut ce faire « quelque chose comme une anesthésie momentanée du cœur » pour s’amuser de l’image et dédramatiser. En effet, s’amuser de la mort demande une petite anesthésie qui ouvrira les portes à plusieurs formes d’humour. Gustave Flaubert dans Madame Bovary

la mère de Mersault est à Marengo mais il n’y a aucune description des lieux. Les indications géographiques sont rares. Sa mère est morte, elle était dans une maison de retraite. Il n’y a pas d’intrigue, on apprend seulement la mort du personnage principal et qu’il se rend à son enterrement. Le lecteur n’est pas très séduit et a le sentiment qu’il ne se passe pas grand-chose. Aucun événement ne parait important ou surprenant. On ne peut pas émettre des hypothèses sur la suite. Les personnages ne

autre chose qu'un rêve utopique construit par un individus malheureux ? S'il est possible d'être heureux pour l'homme qu'est ce que cela veux dire ? De quel bonheur l'individu humain est-il capable ? Autrement dis que peut faire l'homme de sa vie dans sa vie. De la difficulté d'être heureux. Le bonheur est impossible. Le bonheur comme aspiration nourri par 'être humain signifie que ce dernier n'est pas heureux d'emblée. S'il cherche a l'être c'est parce qu'il connais d'abord le malheur