La Mort Rend Elle La Vie Absurde

lui-même ? Dans le récit où il narre la disparition des poilus, devenus si étrangers à l’émotion qu’ils sont indifférents à la mort ou à la souffrance, comme celle du messager, Céline nous place au cœur d’un univers infernal où tout n’est qu’éclatement. L’auteur se trouve alors dans une double impasse, incapable de partager son expérience avec un autre combattant, puisque ce vécu le rend justement étranger à lui-même et aux autres, et encore moins avec le lecteur qui ne peut imaginer la violence du choc tant

Meursault y rencontre l’un des « Arabes » qui sort un couteau. Meursault, qui a encore sur lui le revolver de Raymond, tire, tire encore, sans même prendre conscience de son geste, aveuglé par la lumière, la sueur, l’air brûlant… Il sera condamné à mort. ❖ Détermination du genre Roman court ❖ Détermination du sujet  L’Etranger, est donc un roman dont le personnage principal est mystérieux, ne se conforme pas aux normes sociales et semble étranger au monde et à lui-même

1945, il s'engage pour essayer de sauver l'écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort; en vain. Cette exécution le marque profondément. Il écrira encore plusieurs pièces dans les années soixante-dix, dont certaines lui vaudront le qualificatif "d'auteur de théâtre de distraction". Il n'en reste pas moins qu'il a bâti une œuvre qui révèle un pessimisme profond. Anouilh est mort en 1987. Edition : Le texte de référence est celui publié par les Éditions de la Table Ronde, en

inhumain, le problème de surpopulation ainsi que la famine et la pauvreté.Recherches sur l’auteur : Jonathan Swift, né le 30 novembre1667 à Dublin en Irlande et mort le 19 octobre1745 dans la même ville, est un écrivain , satiriste , essayiste , pamphlétairepolitique , poète

façon bien différente. Le condamné à mort de Victor Hugo (texte A) et Edmond Dantès (texte C) refusent leur situation. Le premier s’enferme dans ses pensées et ne cesse de passer du souvenir à la réalité, opposant le plaisir et la liberté de l’un au désespoir et à l’emprisonnement de l’autre (« j’étais libre. Maintenant je suis captif ») pour finir obsédé par la seule « pensée infernale » de sa condamnation à mort, qu’il répète par trois fois : « Condamné à mort ! » Dantès, n’est pas en meilleure

après la mort d’Oedipe, ses deux fils, Polynice et Étéocle, décidèrent de régner chacun un an. Mais Étéocle, au terme de la première année, refusa de quitter le trône. Après une guerre terrible où ils se sont entretués, Créon, leur oncle, prit le pouvoir, ordonna des funérailles somptueuses pour Étéocle, mort en défendant sa patrie, tandis qu’à l’égard du traître Polynice, à titre d’exemple, il promulgua que «Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort» et décréta

brièveté de la vie fait-elle de l'existence une chose sans valeur ? Le problème cherche à savoir si la brièveté de la vie a un rapport de cause à effet avec la valeur de l’existence, si elle peut déterminer l’existence comme une chose sans valeur. Hors le terme de vie et le terme d’existence s’opposent, ils ne peuvent pas avoir le même sens. En effet, le terme de vie renvoi d’avantage à une activité biologique. L’expression : «  La brièveté de la vie » renvoi au fait d’avoir une durée de vie limitée :

l’angoisse, le sens de la fatalité, l’attente de la mort : ils étaient des hommes eux aussi, fait de chair et de sang »[1] Cette gradation démontre une atmosphère plutôt sombre nous montre que les gens vivent continuellement dans la peur, attendant que le pire se produise suite a l’attaque des américains, et donc que la mort survienne. À cela s’ajoute, le fait que les habitants des deux pays en guerre vivent avec la crainte de perdre leurs habitudes de la vie quotidienne qui leurs sont cher. À la veille

personnages sont tous réunis dans la métairie. Ils paraissent enfermés dans leur monde. Ils sont voués à vivre dans ce petit espace jusqu’à la fin des jours, et voués à travailler pour pouvoir survivre. D’ailleurs certains n’acceptent pas cette nouvelle vie en communauté, car ils n’ont pas l’habitude de devoir mettre la main à la pâte. C’est après la rencontre d’avec le vieillard que tout s’arrange et que chacun des personnages trouvent enfin sa place au sein de la communauté, ainsi l’expression « cultiver

véritable désert où tout semble avoir disparu, tout semble mort (d'ailleurs, dans la pièce en version anglaise, la réponse de Clov lorsqu'on lui demande ce qu'il voit dehors est « Zero », ce qui se passe fort bien de traduction) ; Quant à Hamm, il raconte l'histoire d'un enfant et d'un homme qu'il pourrait peut-être recueillir. La pièce s'achève sur un monologue de Hamm, après que Clov ait quitté la scène. On se demande alors si Nell est mort, et si cette journée était vraiment « comme les autres »