La Mort Sociale

été créé par le philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626), qui estimait que le rôle du médecin était non seulement de guérir, mais d'atténuer les souffrances liées à la maladie et, lorsque la guérison était impossible, de procurer au malade "une mort douce et paisible". Cette pratique a été complètement rejetée après la Seconde Guerre mondiale car l'exercice d'un " bio- pouvoir " du régime nazi a entraîné l'élimination de milliers d'enfants mal formés ou handicapés. Puis est apparu le problème

divers de la période contemporaine où il est écrit qui sont : l'affaire Laffargue (un ébéniste est condamné à mort pour avoir commis le meurtre de sa maîtresse), ainsi que l'affaire Berthet (Stendhal respecte avec précision le déroulement de cette affaire dans sa chronique). Le héros du roman se nomme Julien Sorel, il est issu d'une famille modeste, fils de charpentier, son milieu social n'est pas des plus méprisants, mais il ne fait pas parti des plus riches hommes de son époque. Le jeune homme

le début du roman, Julien s'affirme comme appartenant à une autre race que celle de Sorel. Et parce qu'il sait qu'il appartient à une autre race (c'est un savoir viscéral), il va esquisser tout un trajet qui le conduit d'une façon inexorable vers la mort; il s'agit pour lui de mourir pour être ce que l'on est. Ce que Julien cherche ce n'est pas à parvenir, c'est à oublier Sorel, pour faire advenir une race nouvelle. Julien, au plus profond de lui-même, a choisi d'effacer Sorel, chose qui explique

du roman, Julien s'affirme comme appartenant à une autre race que celle de Sorel. Et parce qu'il sait qu'il | |appartient à une autre race (c'est un savoir viscéral), il va esquisser tout un trajet qui le conduit d'une façon inexorable vers le | |mort; il s'agit pour lui de mourir pour être ce que l'on est. | |            Ce que Julien cherche ce n'est pas à parvenir, c'est à oublier Sorel, pour faire advenir une race nouvelle

1995), sans s’y substituer. Dans le premier, il analysait de manières inaugurale et parallèle, les activités à risque (notamment les sports de l’extrême) et les conduites à risque (tout particulièrement des jeunes générations) au regard de liens sociaux distendus. Dans le second, il proposait déjà, mais succinctement comme l’exige la collection, une étude du statut du risque dans les sociétés contemporaines. La somme qu’il nous propose aujourd’hui va au-delà de la synthèse. En effet, on perçoit

Le romantisme est un mouvement né en Angleterre et en Allemagne au tout début du 19ième siècle. Il touche ensuite la France et s’étend sur toute l’Europe. En France, il correspond à une époque de déséquilibres sociaux et politiques et de malaises dans les milieux intellectuels. Dans le romantisme comme mouvement littéraire se dégage la figure du héros romantique. Contrairement aux héros classiques, le héros romantique ne se bat pas contre un ennemi physique et ne cherche pas la gloire au combat.

 Des indices spatiaux précis : « à Marengo » « à quatre-vingt kilomètres d’Alger » « à deux kilomètres du village » : Algérie française. Les nombres et les chiffres rendent l’évocation précise.  Des lieux sont évoqués : évocation de la cellule sociale : centre hospitalier / maison de retraite : « asile de vieillards » (lieu de vie en communauté) ; « restaurant, chez Céleste » (lieu de rassemblement) « asile » : progression sur le plan chronologique.  Les indices temporels : 2 types d’indices :

la  mort de ce dernier. Elle raconte d'une part le souvenir des scènes auxquelles elle a assisté, les gestes qu'elle a observés, et d'autre part sa perception intérieure de la situation, perception elle-même dédoublée, puisqu'elle a été un temps en accord avec cette mentalité bourgeoise, puis en révolte ouverte contre elle. On assiste donc à la description de l'agonie et la mort du père ainsi qu’aux déceptions de l'enseignante. Ce livre rend parfaitement compte de la déchirure sociale vécue

du romantisme, ambitionne de décrire la société telle qu'elle est, sans l'embellir. Le réalisme est fondé sur la recherche du vrai. L'épigraphe du roman est d'ailleurs « l'humble vérité ». On ose parler d'argent, de sexe, de crasses, et de milieux sociaux pas toujours reluisants... Ainsi, Une vie relate les désillusions de Jeanne, la fille d'un baron qui n'a longtemps imaginé sa vie qu'au travers "du prisme idéalisant de ses rêves" et qui sombre dans le malheur. C'est un roman pessimiste. ANALYSE

Les Burgraves (1849). * Romans: Burg-Jagal (1818) Le Dernier Jour d'un condamné (1829) Notre-Dame de Paris (1831), Les misérables (1862), Les travailleurs de la mer (1866), Quatre-vingt-treize (1874) • Ses combats Politiques et Sociaux Combat Politique Sa pensée politique va évoluer, quitter le conservatisme et se rapprocher du réformisme. En effet , dans sa jeunesse, Victor Hugo est proche du parti conservateur. Pendant la restauration, il soutient Charles X de France. En