La Morte Amoureuse Plan

abandonne le plan d’assassinat à la dernière minute Chap. X - Vengeance de Flore- déraille le train dans lequel JL & S - JL & S sortent indemnes - 15 morts et 32 blessés graves - Suicide de F - S. installe JL dans sa maison de la Croix-de-Maufras Chap. XI - Convalescence de JL en bonne voie - C. secrètement amoureux de S. - JL pulsions de plus en plus fortes = mal à l’aise en présence de S. - JL & S tente de tuer R. de nouveau mais des imprévus contrecarre le plan - JL frustré

ventre putride. D’où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. (v. 17 à 20) Ici, Baudelaire donne à voir le nombre incalculable de mouches et de larves qui s’affairent sur la bête morte; elles sont comme une armée en train de la nettoyer, faisant leur besogne d’une manière disciplinée. En plus, c’est comme si l’animal est habillé, recouvert de mouches, tellement il y en a; le lecteur ne peut que visualiser la carcasse, grouillante

intéressée par ses études ; elle doit repasser son bac. Elle sait prévoir la réaction des gens à l'avance : elle a imaginé un plan et il a marché ! « ses acteurs » ont réagi comme elle l'avait prédit. C'est elle aussi qui, avec ses beaux mots, a poussé Elsa à vouloir retrouver Raymond. L’héroïne - Elle à 17ans au début du roman, elle vit avec son père veuf depuis 2ans, sa mère est morte 15ans plutôt et elle à été élevé en pension. Elle considère son père comme son meilleur ami, accepte ses maitresse comme

et de l'autre. Macrostructure -Le passage est de type narratif. -Le genre est romanesque. -Les registres sont : -pathétique ( Attitude de Lancelot à l'annonce de la mort de la reine ) -élégiaque ( Plainte adressée à la Mort et à sa déception amoureuse ) l-e narrateur est extérieur au récit (récit à la 3ème personne) et la focalisation est de type zéro (sentiments des gardes de Lancelot). -Le discours est direct (même si les paroles de Lancelot sont rapportées). -Le niveau de langage est soutenu

dans le sonnet, et la tonalité particulière du texte, qui allie souffrance | | |et dérision. | |Annonce du plan. | | | |

dans un second temps nous nous intéresserons à la poésie qui est un instrument d'immortalité et enfin, nous étudierons le rôle du poète, "être maudit". Annonce des axes Etude I - Un poème soumis à la tradition - sonnet/mètre régulier  poésie amoureuse (Pétrarque, Ronsard…)                                     dédicace, don - références à l'Antiquité : "malédiction", "mémoire", "vaisseau", "tympanon", "airain", "aquilon", mais aussi à la tradition poétique : "fables incertaines"            

des temps modernes dans lequel se reflète le « poète impeccable » aux fleurs maladives. Pour clore notre analyse, nous nous pencherons sur la figure de Tahoser comme étant une égérie aux splendeurs infinies. Nous discernerons à travers cette sublime morte, une femme fatale funèbre qui malgré sa posture inerte fait l’objet d’un commun accord artistique. Gautier, peintre dans l’âme nous dévoile un tableau ancré dans le tableau romanesque. « J’ai un pressentiment que nous trouverons dans la vallée de

Plan de commentaire« une Charogne »Baudelaire 1857Eléments d'introduction -Une charogne est le 31ème poème de « Spleen et Idéal » , partie du recueil les Fleurs du Mal dont les textes oscillent entre ces deux extrêmes que sont le Spleen, état d'angoisse, de malaise très fort représenté souvent par des images de mort, de gouffre, des couleurs sombres, et l'Idéal, espace de rêve, qui rappelle des paysages d'Europe du Nord ou, au contraire, des pays chauds plus

la cuisine ». Marianne a une grande sœur « qui a quitté la maison » et un grand frère Jan. Marianne est très intelligente, ne fait pas de fautes et les adultes ne s’en plaignent pas. Elles sont « amies de cœur ». On soupçonne Nina d’être amoureuse de Jan (Marianne reproche à celui-ci d’être plus distant depuis qu’il est dans le supérieur). Sur le chemin de l’école, elles prennent au passage Peter et Lasse. Répétition de « het was een doodgewone dag ». Chapitre 2. De blauwe fiets

son célèbre roman La Bête humaine, de la série des Rougons-Macquart, publié en 1890, met en scène un personnage tragique, d'une famille type, victime de forces qui le dépassent contre lesquelles il ne peut pas lutter. Celui-ci tient une relation amoureuse avec Séverine Roubaud, le femme d'un de ses collègues de travail. Au chapitre onze, les amants s'attendent à La Croix-de-Maufras, donnée à Séverine suivant la mort de Grandmorin, en pensant pouvoir tuer Roubaud, le mari de Séverine. Cependant, au