La Morte Amoureuse

la regarde pas avant d’avoir quitté son royaume. Mais la tentation est trop grande et Orphée se retourne près de la sortie des Enfers, la perdant à jamais. Fou de douleur, il se rend à un sacrifice organisé par des possédées afin de rejoindre son amoureuse dans la mort. 6°). Les personnages Orphée Orphée est le fils de la muse Calliope et du roi Œagre. Il a reçu de sa mère le don merveilleux du chant et de la musique. Hermès, le messager des dieux, lui a fait cadeau d'une lyre.

Mai est un poème lyrique du recueil Alcool, écrit par G. Apollinaire et publié en 1913. Après sa rupture avec Annie Pleydon, Apollinaire laisse l’image d’un homme mal aimé. La déception amoureuse deviendra alors l’un de ses principaux thèmes poétiques. L’auteur allie ainsi la tradition romantique à la modernité. (Thèmes traditionnels : amour, temps et eau) Pour répondre à cette question, nous étudierons dans un premier temps l’écoulement du temps et les mouvements, avant de nous intéresser à la

gardes-barrières de la Croix-de-Maufras, amoureuse de Jacques et jalouse, provoque avec une charrette de pierres le déraillement du train Le Havre-Paris que conduit Jacques. Le moment est d’une exceptionnelle intensité dramatique : Jacques est dégagé, mais La Lison, « souillée de terre et de bave, vautrée sur le dos dans une mare noire de charbon, avait la fin tragique d’une bête de luxe qu’un accident foudroie en pleine rue ». « La géante éventrée » est morte. Jacques reconnaît Flore comme l’auteur

développé En début d'octobre 1864, Denise Baudu, une jeune Normande de 20 ans originaire de Valognes arrive à Paris avec ses frères Jean et Pépé. En effet, leur père, qui a tenu une teinturerie, est décédé, il y a un an des suites d'une maladie dont est morte leur mère un mois avant lui. C'est justement à la mort de leur père que leur oncle, Baudu, écrit à Denise qu'il y aurait bien une place pour elle dans sa boutique et comme Jean a trouvé une place d'apprenti chez un ivoirier à Paris, elle s'est décidée

cousin de Alise. -Chloé : Elle est jeune et elle va devenir la femme de Colin. Elle va par la suite tomber gravement malade. -Alise : Elle est jeune et elle va fréquenter Chick. Elle aime aussi les textes de Jean-Paul-Sartre. -Isis : Elle est amoureuse de Nicolas. Elle semble riche. -La souris : Elle est grise et a des moustaches noires. Elle vit dans la maison de Colin. Elle tien compagnie de temps en temps Colin et Chloé à travers le roman. 2-Thèmes : Musique : Pages 13, 32 Amour : Pages

fragile, fugace, fulgurant et qui vient décolorer les visions de la nuit. Le paysage qui ouvre le poème est celui d'un clair-obscur immobile, celui la même que déteste le poète toujours en quête de mouvement, de voyage. L'eau est figée comme une morte, les respirations lentes, les ailes sont repliées. Cette immobilité n'est qu'apparence, la vie reprend joyeuse au seul passage du promeneur qui ranime les énergies. Chaque matin est ainsi une renaissance. "les ailes se levèrent", et on notera la référence

souffrance amoureuse : Albertine, qui vivait en concubinage avec le narrateur, le quitte et fuit son domicile. Le narrateur tente tout pour qu’elle revienne, en vain : ce non retour devient alors l’occasion pour Proust de décrire les ressorts du jeu amoureux (indifférence, chantage, comédie de la rupture,.. .). Plus tard, le narrateur apprend la mort accidentelle d’Albertine, mais en même temps qu’elle l’aimait toujours et souhaitait revenir. La seconde phase de la souffrance amoureuse vient alors :

traîner par les rues un sabre et tout un appareil de guerre. De loin en loin, quelques personnages à turban passaient en longeant les murs, et aucune tête de femme ne se montrait derrière les grillages discrets des haremlikes ; on eût dit une ville morte. Je me croyais si parfaitement seul, que j'éprouvai une étrange impression en apercevant près de moi, derrière d'épais barreaux de fer, le haut d'une tête humaine, deux grands yeux verts fixés sur les miens. Les sourcils étaient bruns, légèrement

premier En début d'octobre 1864, Denise Baudu, une jeune Normande de 20 ans originaire de Valognes arrive à Paris avec ses frères Jean et Pépé. En effet, leur père, qui a tenu une teinturerie, est décédé, il y a un an des suites d'une maladie dont est morte leur mère un mois avant lui. C'est justement à la mort de leur père que leur oncle, Baudu, écrit à Denise qu'il y aurait bien une place pour elle dans sa boutique et comme Jean a trouvé une place d'apprenti chez un ivoirier à Paris, elle s'est décidée

d’être soldat il sera donc prêtre. Avant cela, l’abbé Chélan lui propose de devenir précepteur chez monsieur de Rênal, le maire de la ville. Très vite le jeune homme devient la coqueluche de la famille. Madame de Rênal, bien que très pieuse, tombe amoureuse de Julien. Ils deviennent amants. Mais la bourgeoisie de petite ville du Jura jalouse la réussite de ce jeune homme aux origines modestes. Une lettre anonyme dénonce cet adultère. Julien doit quitter son emploi et rejoindre le séminaire de Besançon