La Muse Malade Résumé

(V). Le premier chapitre définit le type de beauté nouvelle, Baudelaire invente ici une beauté nouvelle, aléatoire et fugitive. Il oppose une beauté classique fondée sur l’antique à une beauté nouvelle. En effet, il critique les gens visitant les musées qui « se plantent rêveurs devant un Titien ou un Raphaël (…), puis sortent satisfaits. » Il s’agit ici d’une caricature en choisissant les grands maitres du dessin et du colorie. Baudelaire définit ainsi le beau par l’association « d’un élément éternel

charnel, entre deux individus, nous fait oublier nos maux. C’est une force extraordinaire. Lèvres sur lèvres, mains dans mains, corps pénètre corps. Nous assistons à une fusion rare et sincère loin de la parole et des mots futiles. Se regarder résume tout. Nous parlons par nos yeux et gestes. Dans une situation intime, les yeux et les gestes sont les moyens de communication, la langue simple composante du corps humain. Sous l’effet de la substance charnelle, le masque s’évapore, tombe. Le

dénommés parce qu'ils ne donnent pas lieu, lors de leur consommation, à une transaction monétaire. L'entretien des routes, la signalisation urbaine, l'école publique, la protection des services de secours, la Défense nationale, l'éclairage des rues, les musées publics sont quelques exemples des « services publics » mis à la disposition de la population. Ces services sont soit gratuits, soit partiellement payants (mais la participation financière demandée est alors très inférieure au coût du service rendu)

sagement le long de pontons.La mer, l'odeur iodée, le bruit des mâts des voiliers quand le vent souffle fort, j'aime tout cela.Cela me rappelle mon enfance, si heureuse ; les vacances sur le bâteau de mes grands-parents.J'adorais ça, je n'étais jamais malade, pas de mal de mer ! Particulièrement, je me souviens du jour où, en voulant pêcher des crevettes, j'ai laissé tomber mon épuisette et je l'ai regardé, impuissante, s'enfoncer dans l'eau sale du port ! J'étais effondrée ! Ma belle épuissette toute

un ailleurs, un rêve. Il en tire une expérience sensorielle dont il va parler dans son célèbre recueil pour décrire ce qui est pour lui son endroit utopique. A son retour, en 1841, il tombe amoureux de Jeanne Duval qui devient sa maîtresse et sa muse. Jeanne Duval était une comédienne, à l’époque, un métier mal vu, considéré comme de la prostitution, cependant, pour l’auteur, elle était la femme rêvée, décrite comme une Vénus Noire, elle lui permet d’atteindre l’ivresse amoureuse. Une femme tentatrice

en poésie. Rien que son abondance en est une preuve irréfutable. Ceci s’explique par plusieurs raisons. Tout d’abord, le voyage est pour l’auteur souvent source d’inspiration. Ainsi, c’est en découvrant des paysages de rêve que le poète voit sa « Muse » s’épanouir comme c’est le cas pour Rimbaud durant sa période d’errance. Le voyage peut également être source d’inspiration lorsqu’il déplait : c’est l’absence de la maison, de la patrie, d’un chez-soi qui fait languir le poète et entraine chez lui

adressé à la ville de Paris, vous étonnera vous-même, si toutefois je le mène à bonne fin ». Dans son projet, il déclare son amour pour la ville de Paris pendant les grand travaux du Second Empire (« Je t’aime, ô capitale infâme !, débauches…») ce qu’il résume à la fin par le terme « boue » : « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ». Dans le rôle d’un alchimiste, le poète opère ainsi une transmutation de la boue, une réalité déplorable, en un or poétique. Cette citation de l’épilogue détermine-t-elle

pas avec l’amour, comédie en 1834; Lorenzzario, en 1834, son chef-d’oeuvre du drame, Les nuits, quatre longs poèmes lyriques, 1835-1837 ; En 1836, il publie un roman aurobilographique La Confession d’un enfant du siècle. Dépressif , alcoolique et malade, au delà de trente ans, il écrit de moins en moins, mais Musset reçoit quelque honneur: Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852. Sa santé est gravement ruinée par l’alcool, la maladie et les plaisirs, il est

musical, je mettrai en lumière les musiques écoutées pendant la période de la domination allemande. Nous verrons que la musique fut très présente autant dans les moments festifs que ceux atroces. Je poursuivrai en parlant du cinéma et ferai un bref résumé de l’aspect théâtral et littéraire de l’époque. Pour terminer ce travail, j’ai choisi de vous parler d’un peintre allemand qui a attiré ma curiosité par ses œuvres qui ont décrié les horreurs de la guerre. p.3 Le nazisme

d’art dégénéré toute œuvre ne correspondant pas aux critères esthétiques, et (nous le verrons par la suite) idéologiques, des nazis. En principe, tout art moderne était condamné par le Reich. De nombreuses rafles s’effectuèrent dans les différents musées allemands. On estime à près de 5000 le nombre d’œuvres, peintures, sculpture ou dessin détruit sur ordre de Goebbels à la veille de la guerre. Le gouvernement organisa en 1935 une exposition d’art dégénéré à Nuremberg. La même année, furent promulguées