La Muse Vénale

........................ 20 Une Charogne........................................................................................ 48 La Muse malade........................................................................................ 22 De profundis clamavi........................................................................................ 50 La Muse vénale........................................................................................ 23 Le Vampire..................................

Aguado, formées sous l'Empire, Louis-Philippe s'était constitué une collection de peinture espagnole, qu'il prêtait au Louvre: voir J. Baticle et Chr. Marinas, La Galerie espagnole de Louis-Philippe au Louvre, 1838-1848, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 1981, en particulier p. 18 à 26; cf. aussi P. Guinard, "Baudelaire, le Musée espagnol et Goya", Revue d'histoire littéraire de la France, n° spécial Baudelaire, avril-juin 1967, p. 312 à 328. 24. Mon coeur mis à nu, Pl. I, p. 701; cf.

Baudelaire parle du talent d’Ingres, Il souligne son goût pour la peinture du nu. Mais il lui reproche « sa peinture robuste, nourrissante, comme l’amour antique », sa vision trop idéale de la Beauté. N’oublions pas que chez Baudelaire l muse est « malade » ou « vénale ». 3. Les Peintres que Baudelaire n’aime pas : les Ingristes, les académistes • Jean-Léon Gérôme (1824-1904) : Un combat de coqs, 1846 (salle 1) 4 Que représente ce tableau ? Que peut selon vous reprocher Baudelaire à ce type de

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. . . . . . . . . . . . . . . . 26 V. J’aime le souvenir… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .27 VI. Les Phares . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .29 VII. La Muse malade . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 VIII. La Muse vénale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .33 IX. Le Mauvais Moine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .34 X. L’Ennemi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

..............................................................................................20 VI. – Les phares......................................................................... 22 VII. – La muse malade .............................................................. 24 VIII. – La muse vénale .............................................................. 25 IX. – Le mauvais moine ............................................................ 26 X. – L’ennemi ................................

................................................................................ 13 VI. – Les phares ................................................................................. 14 VII. – La muse malade....................................................................... 15 VIII. – La muse vénale....................................................................... 16 IX. – Le mauvais moine..................................................................... 16 X. – L’ennemi.............

..............................................................................................20 VI. – Les phares......................................................................... 22 VII. – La muse malade .............................................................. 24 VIII. – La muse vénale .............................................................. 25 IX. – Le mauvais moine ............................................................ 26 X. – L’ennemi ................................

Puis série de poèmes qui relèvent du spleen : la muse malade, la muse vénale (par leurs titres même donnent une idée du renouvellement poétique accompli par B : muse figure traditionnelle de l’inspiratrice, l’emblème d’une poésie inspirée et de la poésie de la Pléiade. Tjrs présentée comme de jolies figures et associées à l’idée de beauté or celle de B est dégradée, Mal ade, une muse des fleurs maladives ou encore vénale : prostitué et non pas figure exceptionnelle qui accorde

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