La Nage indienne

est un : a) monument b) cheval c) poisson d) La lotte est : a) une tortue b) un poisson c) une jupe e) Le sloughi est un : a) mille pattes b) bœuf c) chien f) Le sifilet est un : a) astre b) oiseau c) lac g) L’isba est une : a) habitation b) nage c) arme h) La morille est une : a) sorte de buffle b) sorte de champignon c) sorte de chapelle i) La fustanelle est une : a) sorte de jupon b) sorte de boisson c) sorte de bouton 6 Regroupement Bouches à Oreilles Cahier 17/Le dictionnaire Maîtrise

centuple. Ruby : est-ce possible ? Tous mes vœux t’accompagnent. Explique, qu’y a-t-il de si abominable ? Rosie : par où commencer ? Voyons… primo, il est au premier étage, au-dessus de plusieurs bou ques, dont un salon de tatouage et un traiteur indien, tant et si bien que mes vêtements sont déjà imprégnés d’un fumet de sauce tikka masala. Deuzio, les murs sont recouverts d’un splendide papier peint, style années 70, à grosses fleurs vertes sur fond gris. Naturellement, il se décolle. Et, cerise

cours des choses a remarqué qu'en un seul repas il pouvait absorber du pain fait avec du blé de Russie, da bœuf d'Écosse, des pommes de terre du centre de l'Angleterre, du sucre de l'île Maurice, du sel de Cheshire, du poivre de la Jamaïque, du carry Indien, du vin de France ou d'Allemagne, du raisin sec de Grèce, des oranges d'Espagne, sans compter des épices et des condiments de toute provenance ? S'il recherche l'origine du verre d'eau qu'il vient de boire, il remontera à travers le réservoir, le

documentaire, mais sans oublier la valeur universelle de cette représentation. d’un Texte 2 J.-F. Marmontel, À l’autre Les Incas ou la Destruction de l’empire du Pérou ➜  p. 172 3. Conquistadors = victimes : hommes de main étranglés par les Indiens ou entretués (l. 26-28) ; Valverde est capturé par les Anthropophages (l. 29) et dévoré par lambeaux (l. 30) ; Pizarre est assassiné (l. 34). => morale : nul n’est à l’abri de la violence et de la haine / le monde n’est pas manichéen : la violence

décida que j’irais passer quelques jours à Frapesle, château situé sur l’Indre entre Montbazon et Azay-le-Rideau chez l’un de ses amis, à qui sans doute elle donna des instructions secrètes. Le jour où j’eus ainsi la clef des champs, j’avais si drument nagé dans l’océan de l’amour que je l’avais traversé. J’ignorais le nom de mon inconnue, comment la désigner, où la trouver ? d’ailleurs, à qui pouvais-je parler d’elle ? Mon caractère timide augmentait encore les craintes inexpliquées qui s’emparent des

décida que j'irais passer quelques jours à Frapesle, château situé sur l'Indre entre Montbazon et Azay−le−Rideau chez l'un de ses amis, à qui sans doute elle donna des instructions secrètes. Le jour où j'eus ainsi la clef des champs, j'avais si drument nagé dans l'océan de l'amour que je l'avais traversé. J'ignorais le nom de mon inconnue, comment la désigner, où la trouver ? d'ailleurs, à qui pouvais−je parler d'elle ? Mon caractère timide augmentait encore les craintes inexpliquées qui s'emparent des

aussi de vilaines et visqueuses choses, avec des yeux protubérants et aveugles, en train de se tortiller dans l'eau. Il est d'étranges êtres qui vivent dans les mares et les lacs au coeur des montagnes : des poissons dont les ancêtres pénétrèrent à la nage, il y a Dieu sait combien d'années, et ne ressortirent jamais, tandis que leurs yeux devenaient de plus en plus grands àforce de scruter les ténèbres ; et puis il y a d'autres choses plus visqueuses que les poissons. Même dans les tunnels et les cavernes

s’est laissé entraîné avec elle dans une chute sans fin ni retour. Un poème comme La Destruction ne laisse aucun doute sur l’inspiration nihiliste et finalement janséniste ou pascalienne de Baudelaire : « Sans cesse à mes côtés s’agite le Démon ; / Il nage autour de moi comme un air impalpable ; / Je l’avale et le sens qui brûle mon poumon / Et l’emplit d’un désir éternel et coupable. // […] Il me conduit, ainsi, loin du regard de Dieu, / Haletant et brisé de fatigue, au milieu / Des plaines de l’Ennui

considérables aux fins de l’éga‑ lité entre les sexes et l’autonomisation des femmes et des jeunes filles. Au nombre des athlètes ayant à leur palmarès des succès remarqua‑ bles, on peut citer : Helene Madison (États‑Unis), première femme à nager le 100 yards nage libre en une minute aux Jeux olympiques de 1932; Ma‑ ria‑Teresa de Filippis (Italie), première femme à participer à une course auto‑ mobile européenne du niveau « Grand Prix » en 1958; Nawal El Moutawakel (Maroc), première femme d’un pays is‑ lamique

progressives. Son intuition centrale est que la conscience collective est significative. Elle inscrit dans le social un sens profond qui se lit dans les pensées et les conduites individuelles. Qu’on observe les pratiques éducatives, les techniques du corps, la nage, la marche, la course ou la respiration et le sommeil, le constat ethnologique est constant : chaque société possède une technique particulière qui s’imprime dans le corps des individus. Afin de montrer le rôle de la conscience collective, Mauss cherche