La Nature Humaine Est Elle Responsable De La Violence Entre Les Hommes De Rousseau

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt)

Apprentissage de la maîtrise des passions, des pulsions, émotions. C'est lui faire connaître son pouvoir de se gouverner lui-même. L'école est le lieu de la construction de l'homme. Pédagogie de la rupture. L'enfant doit faire la part des choses entre le moment de jeu et le moment d'étude. Prône la méthode sévère. Enseignement rigoureux, exigeant pour que l'enfant apprenne à se maîtriser et acquiert sa propre personnalité. Méthode ferme pour lutter contre le niveau médiocre. Pédagogie de contrainte

distinguer trois phases dans la création d'un Etat : pouvoir diffus (pas d'incarnation du pouvoir politique). Puis le pp est incarné dans une personne, le chef, qui a réussi à conquérir le pouvoir (fondé sur le prestige, la force, la violence..) Il y a confusion entre l'exercice du pv et la propriété du pv. Enfin, le pp s'institutionnalise : on passe d'un pouvoir de fait à un pouvoir de droit. Règles de transmision, d'accession du pouvoir. Celui qui exerce le pouvoir n'en est pas titulaire (il exerce

. . . . . . . . . . . . . 164 ➜ Pour l’égalité politique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166 ➜ Le conte philosophique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168 ➜ Les lettres fictives 170 ➜ Le dialogue philosophique J.-J. Rousseau, Discours sur l’inégalité 4 Contourner la censure Voltaire, Candide ou l’Optimisme . Montesquieu, Lettres persanes D. Diderot, Le Rêve de d’Alembert . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Parcours d’oral Jeu de rôles Débattre dans un salon

bien que par l'intervention de la loi. L'émancipation tend plusspécialement à l'affranchissement légal de la femme, au sein • db la famille et de la société * Abolir la puissance maritale et fonder le droit de famille sur le principe de l'égalité entre les époux ; concéder aux femmes le droit do faire un honnête usage de leurs facultés et rendre accessibles à tous, sans aucune distinction de sexe, les métiers, les emplois, les professions libérales, les car rières industrielles et autres ; enfin

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt)

A partir de ce qui est (la « nature »), peut-on déduire ce qu'il faut (la norme) ? Le droit doit-il être juste ? • Machiavel : cassure : « Le ∆t vous sert à conquérir le pouvoir et à la garder ! ». ∆t positif et c’est tout, ce qui est marqué dans le Code. Savoir si c’est juste ou pas, c’est le travail des philosophes. Faut-il obéir à une loi injuste ? • Oui : Socrate • Non : Antigone Le fondement est la volonté de Dieu, les exigences de la nature, de la raison, du respect d’un «

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté

caille. (Femme ardente) | |Capacité |-Un défaut qui empêche les hommes d’agir, c’est de ne pas sentir de quoi ils sont capables. BOSSUET | | |-Les hommes ne croient jamais les autres capables de ce qu’ils ne le sont pas eux-mêmes. | | |Paul de GRONDI, cardinal

ne compte point assez parmi les hommes pour être le but enviable des efforts sérieux de toute une vie »47. « Vauvenargues hésite et résiste longtemps, car il espère toujours pouvoir s’employer plus utilement là ou l’on a prise sur les hommes d’une manière tangible. Il préfère l’action à la méditation »48. 47 48 « réunir en lui la double qualité d’écrivain et de diplomate qu’il admirait chez Richelieu, chez d’Ossat, chez William Temple. Mais il sentait entre le monde de l’action et celui de