La Nature Nous Dicte T Elle Notre Morale

"Fais ce que tu voudras" ; abbaye définit en négatif pour insister sur l'absence de contraintes. - Liberté et le choix thèmes majeurs (citations 1ere phrase, "gens libres"...) : vie dictée par simples désirs des habitants. - Selon R., c'est de l'absence totale de contraintes que naît la vertu car l'homme libre a par nature une inclination pour la vertu = si on lui donne le choix il optera forcément pour le bien. 2. L'éloge de l'abbaye - nbrx termes mélioratifs + l32/35 : énumération des 3 qualités avec

règles qui régissent la vie en société. C’est ce qu’on appel le droit objectif, aussi épelé « le Droit ». La morale, la bienséance et la religion sont d’autres règles qui régissent elles aussi la vie en société. La question se pose donc de savoir si une règle est juridique ou non. Par exemple, la règle édictant « tu ne tueras pas » contient des aspects religieux, juridiques et moraux. Qu’est qui fait donc la singularité des règles de droit ? SECTION 1 : LA SINGULARITE DES REGLES DE DROIT

Sujet d’invention : Essai sur l’homme à l’état de nature (inspiration : Rousseau) Il suffit d’observer les hommes tels qu’ils sont aujourd’hui : individualistes, narcissiques, cupides et ambitieux. Pour se faire une idée de la véritable nature de l’homme. Certes, l’homme moderne s’est entouré d’une multitude d’artifices aussi bien moraux que matériels, mais ce n’est que pour mieux dominer son tempérament infernal et contenter son oisiveté. De tout temps les hommes n’ont eu pour priorité que le

I) Illusion de la vie 1) Une vision pessimiste Destruction des illusions de la vie dans une méditation sur la mort. - Champ lexical de la mort v 1, 2, 4,6, 7, 8, 12,14 - Personnification vie/mort (v1-2) - Champ lexical de la nature qui se meurt v 3, 5, 8, 9, 10, 11,12 - Chaos - Verbes au futur au service de l’absence d’espoir : certitude des faits pour mieux détruire le monde - Champ lexical de l’anéantissement et allitération en « r » - Accumulation de verbes

pour nos décisions à la majorité, la tradition, ce que vont penser de moi mes parents, ou les autres en général) à l’aliénation : ex = qqu’un qui rentre dans une secte perd sa lucidité, son jugement personnel, son pouvoir de décision (on lui dicte quoi penser et quoi faire = il n’est plus libre (il n’est plus libre de décider de ce qu’il va être ; la 1ère liberté c’est de décider qui je vais être, par mes actes, mes choix, mes décisions), aussi au sens où il s’est perdu lui-même (il a posé sa

conventions logiques,morales et social qui leur oppose les valeurs du rêve,de l'instinct,du désir et de la révolte,dans l'expression du «fonctionnement réel de la pensée». Le Surréalisme,annoncé par Apollinaire(l'Esprit Nouveau,1917)et défini par André Breton,animateur et théoricien(Manifeste de surréalisme,1924),prolonge le mouvemen de Tristan Tzara. Se voulant une «dictée de la pensée,en l'absence de tout contrôle exercé par la raison,en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale»,le surréalisme

JC : code du roi Hammurabi (code dicté par le Dieu Samas), c’est le plus développé (code pris vers 1954 avant JC) -> Tous ces codes mésopotamiens ont un lien très puissant avec la religion, tous les rois sont institués par les dieux donc origine divine du pouvoir, ce sont les dieux qui instaurent, révèlent la législation. Pour autant ce n’est pas un droit sacré, ce n'est pas un droit religieux, on ne retrouve pas principalement des règles religieuses et morales mais des articles à valeur juridique

d’intolérance. - La réflexion sur la vie, la rencontre entre la conscience, la raison et le monde : L’imaginaire permet une réflexion sur l’homme, les aspects de la condition humaine. Les concepts abordés relèvent d’une réflexion philosophique. - La morale, comme dans l’apologue : Les récits aboutissent à une leçon d’humilité envers Dieu ou l’univers et à l'acceptation de sa propre condition. Elle montre le danger de tout fanatisme ou tout abus de pouvoir. 2. L'univers du conte philosophique • Qui

événement heureux ou malheureux, un dieu était alors responsable ; la mythologie 1 régnait. Les hommes oubliaient de se mettre en cause. Justifiée, elle le fut encore pendant les siècles au cours desquels les vérités et les règles de conduite étaient dictées par les seuls textes sacrés. L'incitation à s'interroger sur soi-même ne s'impose pas moins aux temps modernes. Les fanatismes religieux persistent, et de plus les esprits accaparés par la Science et par la Technologie négligent la réflexion sur

naturel Au même titre que tous les êtres de la nature, l'homme est soumis aux lois physiques, déterminé par son patrimoine génétique et prisonnier de sa condition d'être mortel. Il arrive parfois que certaines personnes naissent avec des infirmités qui les différencies physiquement ou psychologiquement des autres. Ce facteur de différentiation est un frein à la liberté puisqu'elle ne permet pas de jouir d'une liberté totale. En l'état de nature les hommes n'avaient tous les mêmes capacités physiques