La Nature Nous Donne Elle Des Regles Pour Bien Vivre

III. La secte Ramtha Ramtha, pourtant une secte américaine bien connue aux Etats Unis est depuis quelques temps en plein essor ici, en France. Elle commence à faire parler d'elle et apparaît depuis peu officiellement dans le registre de la Miviludes. De par sa puissante influence et l'orat de sa fondatrice (Judy Zebra Knight) elle préoccupe beaucoup et de plus en plus la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires. 1) Ses origines : a) Râma et les

: INTRODUCTION : Le droit occupe dans le monde « occidental » une place de premier plan. Il est considéré comme le grand régulateur de la vie sociale. Le droit, nom masculin, vient du latin directum. Le droit est l'ensemble des règles et des normes générales qui régissent les rapports entre les individus et définissent leurs droits et prérogatives ainsi que ce qui est obligatoire, autorisé ou interdit. Le droit est susceptible de voir son exécution appliquée de manière contraignante

exigences du politique . Dans la pensée antique, la politique était une science noble, c’est le lieu du bien vivre, l’homme peut atteindre le souverain-Bien. Avec Machiavel, la politique ne permet plus à l’homme de réaliser l’excellence de sa nature , mais un mal nécessaire , une nécessité imposée par la nature de l’homme ou la nature de la société. De Machiavel à Hobbes, se développe un nouveau courant de pensée, dont nous

poètes antiques dans sa "librairie" du château familial, au mouvement de redécouverte des textes et savoirs antiques caractérisant l'humanisme. Au travers de l'écriture de ses essais, Montaigne fait vagabonder son esprit au gré des sujets qui veulent bien se prêter au jeu, conversant avec lui-même, prenant le lecteur à témoin, il écrit pour lui sans autre but que l'introspection. Offrant ses pensées à ceux qui pourraient y trouver de l'intérêt, son œuvre forme une composition impressionnante de sujets

naturellement l’Etat. L’état de nature est un état de guerre permanent et la création de l’Etat par un pacte social permet justement de mettre fin aux violences. II l’excès et l’abus de pouvoir de l’état fort et puissant par l’art de la rhétorique III réciprocité entre état et individu qui se complètent mais ne s’opposent pas ( Equilibre ) Si l’Etat peut être considéré comme l’ennemi de l’individu, il convient donc de se demander ce qui pousse les hommes à vivre dans une société régit par

Organise les relations sociales. Etant donné que l’homme ne peut vivre isolé et que celui-ci vit par nature en collectivité (d’après Nietzsche « un homme ne peut vivre seule que s’il est une brute ou un Dieu »), il doit respecter certaines règles communes Sinon instinct sauvage (Rousseau). Organise l’économie : production des richesses, distribution équitable des richesses, participe à une distribution équitable des richesses Règles de droit tentent de régler conflits d’intérêt : si pas de droit alors

volonté individuelle et de rendre esclaves les individus qui la composent. Le propre de l'être humain semble être de toujours s'apitoyer sur son sort, quel qu'il soit; mais le propre du philosophe est de réfléchir et de juger si ce même être humain a bien raison de s'apitoyer... C'est ce qu'a tenté de faire Jean-Jacques Rousseau en analysant notre société et les lois auxquelles nous sommes soumis. Suite à ses réflexions, il est arrivé à dire qu'«obéir aux lois, c'est être libre», citation qui en surpris

ou est passée pour lui, ressemble à un homme qui dirait que l'heure d'être heureux n'est pas encore venue pour lui ou qu'elle n'est plus. Le jeune homme et le vieillard doivent donc philosopher l'un et l'autre, celui-ci pour rajeunir au contact du bien, en se remémorant les jours agréables du passé; celui-là afin d'être, quoique jeune, tranquille comme un ancien en face de l'avenir. Par conséquent il faut méditer sur les causes qui peuvent produire le bonheur puisque, lorsqu'il est à nous, nous

arrivée ou est passée pour lui, ressemble à un homme qui dirait que l’heure d’être heureux n’est pas encore venue pour lui ou qu’elle n’est plus Le jeune homme et le vieillard doivent donc philosopher l’un et l’autre, celui-ci pour rajeunir au contact du bien, en se remémorant les jours agréables du passé ; celui-là afin d’être, quoique jeune, tranquille comme un ancien en face de l’avenir. Par conséquent il faut méditer sur les causes qui peuvent produire le bonheur puisque, lorsqu’il est à nous, nous

LA RESPONSABILITE : UN SENTIMENT DE L’ HONNEUR « Dans l’horizon occidental un acte peut changer la vie » (Jules Monnerot « Les lois du tragique ») : telle est bien la signification de la responsabilité ainsi qu’elle apparaît déjà dans la tragédie grecque. Cette conception renvoie à l’idée d’une conscience humaine qui sait qu’elle peut tirer mentalement des enseignements de ses connaissances pour agir et se doit d’assumer les conséquences de ses actes. La notion de responsabilité