La Noce Chez Les Petits Bourgeois

parisien, en visite dans le Roussillon, il est accueilli par M. de Peyrehorade et sa famille. Celui-ci souhaitant seulement satisfaire sa passion de l'archéologie, il se retrouvera ,malgré lui, au cœur du drame. M.de Peyrehorade (vieillard) est un bourgeois de province ayant pour profession: antiquaire. C'est lui qui découvre la Vénus dans sa propriété, c'est aussi lui qui accueille très chaleureusement le narrateur. Il mourra quelques mois après la mort de son fils, sans doute de chagrin. Alphonse

pas combler toutes ses dépenses. Marguerite confie a Armand qu'elle a le désir de passerdu temps avec lui à la campagne.Armand pense que Marguerite le trompe et décide de lui envoyer une lettre pleine de haine et de condescendance avant de rentrer chez lui au près de sonpère et de sa soeur. Ne voyant aucune réponse lui parvenir, il s'inquiète et regrette ses mots. Marguerite ne se souvenait pas de sa première rencontre avec Armand. Les quatre amissoupent ensemble, boivent beaucoup et s'amusent, mais

toile, marchait le chapeau en arrière, le gilet déboutonné et sa cravate à la main. Le plus petit, dont le corps disparaissait dans une redingote marron, baissait la tête sous une casquette à visière pointue. Quand ils furent arrivés au milieu du boulevard, ils s’assirent, à la même minute, sur le même banc. Pour s’essuyer le front, ils retirèrent leurs coiffures, que chacun posa près de soi ; et le petit homme aperçut, écrit dans le chapeau de son voisin : Bouvard ; pendant que celui-ci distinguait

autour de la spéculation. " Au Bonheur des Dames " nous montre le monde des petits commerçants qui se font peu à peu "avaler " par le grand commerce et les grandes surfaces. Enfin, "L'Assommoir " met en scène le peuple ouvrier de Paris qui souffre beaucoup destransformation de la ville car le quartier de la Chapelle où se déroule l'action se trouve à la limite des travaux, comme encore plus exclu des riches et des bourgeois. Même s'il est arrivé à Zola de changer certains faits pour les besoins de

l’irrésistible désir de l’égorger. Comme Roubaud, comme Séverine après le meurtre de Grandmorin, son acte le laisse dépourvu de regrets. Cabuche : C’est un carrier (chargé du transport des pierres), qui vit dans un cabane au fond de la forêt de Brécourt. C’est chez lui qu’est venue mourir Louisette, victime des sévices de Grandmorin. Comme il ne cache rien de sa haine, il devient très vite le principal suspect, d’autant que ce violent a déjà tué en état d’ivresse. C’est pour s’être trouvé par malheur par deux

Chapitre 2 L'écrivain Sandoz ( reflet de Zola) est l'ami d'enfance de Claude, il lui sert de modèle pour peindre son tableau " Plein air". Dubuche est n autre ami de Claude , il veut devenir architecte. Tout 3 sont originaires de Plassans , un petit village de province. Ensemble ils évoquent les souvenirs et les espoirs du passé. Chapitre 3 De nouveaux amis de Claude arrivent dans l'histoire : le sculpteur Hahoudeau et les peintres Chaîne et Bongrand. Claude est en train de peindre le tableau

Prosper Mérimée, né le 28 septembre 1803 à Paris et mort le 23 septembre 1870 à Cannes1, est un écrivain, historien et archéologue français. Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître et lui vaudront d'être élu à l'Académie française en 1844.

1870, c’est un écrivain, historien et archéologue français. Il est issu d’un milieu bourgeois et artistique. Il a fait des études de droit avant de s’intéresser à la littérature. En 1844 il est élu à l’académie française, en 1831 il entre dans les bureaux ministériels et devient inspecteur général des monuments historiques en 1834. Proche

Il est une autre cause aux fâcheux mariages d'aujourd'hui, sur laquelle je veux insister, avant d'arriver aux exemples. Cette cause est le fossé profond que l'éducation et l'instruction creusent chez nous, dès l'enfance, entre les garçons et les filles. Je prends la petite Marie et le petit Pierre. Jusqu'à six ou sept ans, on les laisse jouer ensemble. Leurs mères sont amies ; ils se tutoient, s'allongent fraternellement des claques, se roulent dans les coins, sans honte. Mais, à sept ans

de Rosalba, jeune lion Hélène, fille de Nonancourt Anaïs, femme de Beauperthuis La Baronne de Champigny Clara, modiste Virginie, bonne chez Beauperthuis Une femme de chambre de la Baronne Un Caporal Un domestique Invités des deux sexes. Gens de la noce. La scène est à Paris. Domaine public – Texte retraité par Libre Théâtre 1ACTE I Chez Fadinard Un salon octogone. — Au fond, porte à deux battants s’ouvrant sur la scène. — Une porte dans chaque pan coupé. — Deux portes aux premiers