La Nuit Juste Avant Les Forets Koltes

Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement de textes extraits du manuel : –

• Rencontre dans la forêt de Sabine Assouline. (Niveau CP/CE1) 25 acteurs. Comment des sorcières des monstres, des enfants humains et des fantômes deviennent amis … • Des représailles dans la fourmilière de Brigitte Saussard. (Niveau CE) De 5 à 14 acteurs. Une cigale frappe à la porte de la fourmi pour lui demander l’aumône, mais cette cigale est une sorcière. • La forêt ensorcelée de Janick Fiévet. (Niveau CE2/CM1) 10 acteurs. Trois enfants se promènent dans la forêt et se perdent … dans

Thème 1 Thème 1 propos 1 propos 2 propos 3 propos 4 La montagne semble étouffer sous la chaleur . 9 Elle n’apporte plus la fraîcheur des sommets . Elle attend des pluies qui ne viennent pas . La montagne est menacée par les incendies de forêts . Schéma pour comprendre la progression thématique éclatée ( ou dérivée) Hyperthème Ou mot englobant Thème 1 ______________________Propos 1 Thème 2_______________________Propos 2 Thème 3 ______________________Propos 3 Thème 4 ______________________Propos

D’où vient cette déchirante propension à se sentir, au moindre ralentissement, écarté de la vie ? […] Ce qu’ils vivent n’est pas l’oubli de soi. C’est au contraire l’obsession de soi et l’inévitable oubli des autres Yasmina Reza. L’Aube le Soir ou la Nuit, p. 99-100 J’ai senti docteur, de façon subite, un désordre… non … une douleur… non, ce n’est pas une douleur… une dislocation, oui, une certaine dislocation, comme si mes vaisseaux docteur se séparaient de l’artère et allaient s’éparpiller sans but

metteurs en scène contemporains 22 VI. Les grands auteurs dramatiques 23 a) Sophocle 23 b) Shakespeare 25 c) Molière 29 d) Corneille 30 e) Racine 31 f) Marivaux 36 g) Beaumarchais 36 h) Hugo 37 i) Musset 40 j) Strindberg 41 k) Brecht 41 l) Beckett 42 m) Koltès 42 VII. Lexique 43 a) Accessoire 43 b) Comedia dell’Arte 43 c) Comédie 43 d) Décor 43 e) Didascalie 43 f) Double énonciation 43 g) Improvisation 43 h) Intrigue 44 i) Personnage 44 j) Quatrième mur 44 k) Réplique 44 l) Théâtre à l’italienne 44 m)

évolution du genre romanesque du xviie siècle à nos jours xviie  : La Princesse de Clèves, premier grand roman d’analyse Le récit de Mme de Lafayette s’ancre dans l’histoire réelle, le xvie siècle, sous le règne d’Henri  II, environ 120 ans avant sa rédaction. Les personnages sont inspirés de personnalités réelles de la Cour d’alors, mêlant ainsi réalité historique et fiction (ce qui offre aux lecteurs le plaisir du «  décryptage  »). La langue est extrêmement classique – absence d’oralité

l’humanisme : éducation, religion, guerre. L’essentieL du Cours œuvres clés : La Princesse de Clèves, premier grand roman d’analyse Le récit de Mme de Lafayette s’ancre dans l’histoire réelle, le xvie siècle, sous le règne d’Henri II, environ 120 ans avant sa rédaction. Les personnages sont inspirés de personnalités réelles de la Cour d’alors, mêlant ainsi réalité historique et fiction (ce qui offre aux lecteurs le plaisir du « décryptage »). La langue est extrêmement classique – absence d’oralité et

évolution du genre romanesque du xviie siècle à nos jours xviie  : La Princesse de Clèves, premier grand roman d’analyse Le récit de Mme de Lafayette s’ancre dans l’histoire réelle, le xvie siècle, sous le règne d’Henri  II, environ 120 ans avant sa rédaction. Les personnages sont inspirés de personnalités réelles de la Cour d’alors, mêlant ainsi réalité historique et fiction (ce qui offre aux lecteurs le plaisir du «  décryptage  »). La langue est extrêmement classique – absence d’oralité

mérite, un sort misérable »), qu’il n’a pas à expliquer ses actes : « Vraiment, j'ai des comptes à te rendre », l. 6, s’écrie-t-il. De même, Arlequin rappelle dans ses propos les justifications de son maître, l. 15 : « et tu disais que cela était juste, parce que tu étais le plus fort ». Dans La Marmite, la servante se plaint en aparté de son maître : « Mieux vaudrait que les dieux m'eussent fait pendre, que de me donner un maître tel que toi » l. 9-10. L’exagération de ces propos, adressés à un

sont saisis dans l'instant, surpris par un regard qui devient – après coup – le premier. Mais rien n'est plus difficile aux amoureux que de saisir ou de retenir la vérité de ce trouble de leur nature sensible. L'instant se perd, se cache dans les forêts du langage ; l'amour est victime des pièges et des leurres ; le cœur ne se satisfait pas de la présence même de l'autre. Pour conduire l'autre à l'aveu délicieux, tous les mensonges sont bons, aucune cruauté n'est de trop. Intrigues subtiles et