La Névrose Traumatique

nomme affects. Les expériences émotives, causes de symptômes sont destraumatismes psychiques. Les traumatismes sont déterminés par des scènes (telles que celle du petit chien) dont ils sont les résidus. Les symptômes sont des résidus d'événements traumatiques douloureux auxquels les hystériques restent attachés, dont ils ne se libèrent pas et pour lesquels ils négligent la réalité présente. Cette répétition du passé ne peut disparaître que par le traitement cathartique qui reproduit chronologiquement

possibilité d'une action indirecte sur les mécanismes du corps. Cela s'établit à travers 3 cas : – la parole : il y a des habitudes du corps qui peuvent correspondre aux mouvements de la pensée -> virtuosité du corps – le dégoût : un événement traumatique peut d'un seul coup transformer une association qui était formée dans notre corps. Les réactions du corps ne sont pas immuables, il est possible de les transformer. – Le dressage : nous montre que les instincts naturels peuvent se voir remplacés

symboliser, la mentaliser et se la réapproprier. Pour Ciccone (professeur psychopatho), une telle répétition laisse supposer une fixation au traumatisme. Pour Daniel PUSKAS il y a phénomène de répétitions : - soit d'un même problème qui a valeur traumatique. - soit de questions mal résolues ou cachées dans les générations précédentes qui toujours actives, posent problème aux génération suivantes. II. Les mécanismes à l’œuvre 1. Traumatisme et CRT Selon schuntzenbager (pionnière en psychosoc, inventeur

Pédi => c’est un fantasme. Cette idée en soi n’est pas délirante mais elle est incompatible avec son mode de pensée (in congruente.)Il pense qq chose qu’il ne contrôle pas, rejette cette pensée mais elle le trouble quand même. C’est une pensée traumatique, en rupture, qui fait effraction. Pour Freud => cette pensée est liée à un certain nombre de conflits intérieurs tels que : la question de l’homosexualité + subir c’est être en position passive de la sexualité de la femme, de la sexualité

interne d'oppression et de resserrement ressentie au niveau du corps. Elle a ici valeur de symptôme pouvant être corrélée à d'autres signes particuliers pour former un syndrome, ou se présenter de manière isolée à travers l’anxiété généralisée, ou névrose d’angoisse. Dans certaines situations cliniques, une absence d'angoisse peut-être aussi alarmante qu'un excès. Angoisse et conflit intrapsychique Dès la naissance et la vie durant, nous sommes aux prises avec un conflit entre la connaissance

une compulsion de répétition l’acte manqué, et l’acte manqué devenu situation permanente, devient une forme de névrose. Qu’il y ait ainsi des tendances qui semblent travailler à part de la conscience était pour Freud une preuve qui justifiait l’hypothèse de l’inconscient. Par inconscient pathologique nous désignons l’inconscient en tant qu’il porte la trace d’un passé traumatique et qu’il abrite en lui des conflits psychiques. C’est une définition classique de l’inconscient dans la psychanalyse

Mademoiselle Anna O. », comme Breuer devait l'appeler plus tard, souffrait de multiples symptômes extrêmement spectaculaires, mais Breuer avait constaté qu'il pouvait les faire disparaître un à un en lui faisant raconter, sous hypnose, les incidents traumatiques qui avaient été à leur origine. Intrigué par cette « talking cure » (c'est le nom que lui avait donné la patiente elle-même), Freud en avait parlé à JeanMartin Charcot, le grand maître de l'hystérie et de l'hypnotisme dont il était allé suivre

défense normale survenant souvent suite à un événement traumatique. Des enfants maltraités devenus ado ou adultes peuvent évoquer les sévices subis sans émotions et ne pas s'en souvenir. Il y a dès lors un risque de répétition trans-générationelle alors que le souvenir de la souffrance réduirait ce risque. On rencontre aussi ce MD lors de la perte d'un être cher quand cela se retarde ou se bloque au niveau du w du deuil. Présent dans les névroses obsessionnelles → Fréquent « vide émotionnel ».

d'anorexie. De plus une remarque blessante sur leur physique , d'un entraîneur sportif, d'un proche pousse la personne déjà atteinte d'un mal être psychique à sombrer dans l'anorexie . L'anorexie peut aussi être liée à une période traumatique récente ou lointaine , parfois oubliée. Être victime ou spectateur d'un accident grave, perdre un être cher sans pouvoir en faire le deuil, être victime d'une agression quelle qu'en soit la gravité, toutes ces situations ont la particularité d'amené

qu’il a. On peut à ce moment là répondre à 2 niveaux, dont une n’est pas un déni de l’autre, et une n’est pas meilleure que l’autre. Au niveau de la connaissance, on peut dire qu’il y a des obsessions, compulsion etc. donc on peut dire qu’il a une névrose obsessionnelle, ou TOC. C’est une façon de poser un diagnostique. Donc c’est universalisable. Au niveau du savoir, ce n’est pas le docteur qui va répondre, mais celui qui est supposé savoir, il va rendre possible que l’homme au rat en vienne à formuler