La Névrose Traumatique

d’autrui qui sont recherchées »[1]. Ce fonctionnement, qu’il relève de la perversion sexuelle ou de la perversion narcissique, serait un noyau commun à toutes les perversions, et se distinguerait du fonctionnement psychique de la névrose (conception freudienne de la névrose comme négatif de la perversion) et de la psychose. En psychanalyse, ce terme de « perversion » désigne à la fois des éléments du développement normal de la sexualité infantile, et des conduites pathologiques de l'adulte : -

fleuve pour parler du refoulement , des aiguilles magnétiques pour parler des pulsions, des strates supérieures des idées dans la mesure que ces analogies illustrent mieux son argumentation. Mais, ce qui fait signe et renvoie à une signification traumatique intéresse véritablement Freud. Demandons-nous, est-ce que cette manière de recherche rend son enquête plus scientifique, moins littéraire ? Freud a constamment dans sa recherche une orientation vers un traumatisme originel qui, en le faisant

l'individu avec son milieu, soit le résultat d’une épigénèse interactionnelle, ce qui nous est donné à voir, c’est comment la structuration psychique de chacun des membres de la famille abouti à une impasse relationnelle, ici amplifiée par un évènement traumatique. La notion cyclique de cette assertion n’est pas sans appeler à prendre en compte un aspect psychogénéalogique… Conrad n’a manifestement pas eu de modèle lui permettant d’apprendre à mettre des mots sur ses ressentis. Ce qui lui aurait permis

construction de l'enfant. La capacité de mentir s'acquiert très tôt, permettant à l'enfant de faire ses expériences, construire son jardin secret, et de se positionner en tant qu'individu. Concernant le mensonge d'enfants, Freud, dans son ouvrage, Névrose, psychose et perversion, nous livre un court texte, Deux mensonges d'enfant. Il introduit son texte par une sorte d'avertissement pour les éducateurs en leur disant que un certain nombre de mensonges d'enfants bien élevés ont une signification bien

puerpérales B. Schizophrénies C. Psychoses paranoïaques D. Paraphrénies E. Troubles bipolaires 2. Les psychoses se distinguent des névroses sur les aspects suivants (3 réponses exactes) A. Rapport à la réalité B. Conscience du caractère pathologique des troubles C. Caractéristiques de l’angoisse D. Caractéristiques du stress post-traumatique E. Etiologie organique 3. La dissociation schizophrénique concerne les sphères suivantes (3 réponses exactes) A. affective B. intellectuelle

définitive) perverse, mode de fonctionnement pervers, organisation perverse. Ne convient-il pas également de distinguer les perversions narcissiques (morales) des perversions sexuelles ? Peut-on penser aujourd’hui la perversion comme structure entre névrose et psychose ? Pas si simple, quand on pense au noyau mélancolique de la perversion ou à la perversion comme fonctionnement limite. Il faudra donc discuter la perversion, même a minima , sous ces différents angles, en veillant

est la conséquence de la maladie mentale. Le handicap psychique se définit plus particulièrement par l’atteinte d’une pathologie mentale avérée. La maladie mentale relève de deux catégories qui sont : Les psychoses : schizophrénie, paranoïa… Les névroses : dépression, tocs, phobies Le handicap psychique se traduit par un disfonctionnement de la personnalité, les personnes qui en souffrent conservent leurs facultés intellectuelles et peuvent voir leur état s’améliorer si elles sont suivies par un

cognitives, science commune à la psychologie et à la médecine. Freud rend la parole au patient, la souffrance existe, pas d’homme standard. 3 façons de faire, relation aux autres impliquant une jouissance une référence aux objets. Manière du névrosé Manière du psychotique Manière du pervers Pour Lacan, 3 structures. Loin de relever de la maladie, le symptôme est la solution a un problème, à un conflit. La maladie mentale CF. Foucault Linge et Cooper (auteur anglais)

pourrait-il faire autrement, par rapport à ce repère que Freud situe son observation: "Nous ne savons qu'une chose, c'est que la qualité de mobilité des investissements psychiques recule de façon frappante avec l'âge" "A partir de l'histoire d'une névrose infantile" ( FREUD, 1914a) ... Freud postule l'existence "d'un caractère particulier" de la pulsion: la viscosité, "qui jusqu'à présent n'a pas encore été mis en corrélation avec un autre caractère" et dans lequel il voit quelque chose d'irréductible

pur, souverain, surpuissant face à l'ignorance. Tout le monde n’y arrive pas ce qui entraîne une baisse de l’estime de soi, un sentiment d’infériorité. Il y a donc un sentiment de déficit, qui correspond aux pathologies du narcissisme. À côté de la névrose, il y a dépression (pathologie narcissique aussi). La fragilité du déprimé est bien connue. La dépression est ressentie comme un défaut dont il a honte. Le déprimé a peur de l’infériorité. C’est une maladie de l’insuffisante, où il y a un manque de