La Névrose Traumatique

psychologie, sociologie, anthropologie * L’unité d’enseignement 1.3 législation, éthique, déontologie * L’unité d’enseignement 2.1 biologie fondamentale * L’unité enseignement 2.2 cycle de la vie * L’unité l’enseignement 2.4 processus traumatiques * L’unité d’enseignement 2.10 infectiologie, hygiène * L’unité d’enseignement 3.1 raisonnement et démarche clinque infirmier * L’unité enseignement 4.1 soin de confort et de bien être * L’unité d’enseignement 6.1 méthode de travail

comportementales – dérèglements émotionnels. I) Introduction. Les personnalités limites (ou Borderline) apparaissent en psychiatrie dès 1884. Mais c’est Stern qui utilisera ce terme en 1938 pour décrire les troubles mentaux qui ne relèvent ni de la névrose ni de la psychose, mais se situent à la frontière. Le trouble de la personnalité limite se caractérise par une surémotivité, une hypersensibilité, des comportements impulsifs, une instabilité de l’identité et des relations, et une incapacité à gérer

traumatismes psychiques et sont victimes de réminiscences. Leurs symptômes sont les résidus et les symboles de certains évènements traumatiques. La maladie est due à une fixation de la vie mentale à un moment du passé. Le problème étant qu’il ignore l’existence de ce passé. Les névroses sont liées à des souvenirs coincés dans la mémoire. Deuxième leçon : La névrose n’est pas due à une dégénérescence congénitale, mais à une histoire individuelle (≠Pierre Janet). L’hystérie est l’effet de conflits

|raison, nous avons appelées plus tard traumatismes psychiques ; leur caractère particulier s’apparentait à la scène traumatique qui les avaient| |provoqués. Selon l’expression consacrée, les symptômes étaient déterminés par les scènes dont ils formaient les résidus mnésiques, et il | |n’était plus nécessaire de voir en eux des effets arbitraires et énigmatiques de la névrose. Cependant, contrairement à ce que l’on attendait, | |ce n’était pas toujours d’un seul événement que le symptôme résultait

analyses. Pour les médecins d'autrefois les névroses étaient des effets gênant de troubles non décelables et il fallait s'en débarrasser au plus vite. En 1924 O. Rank fait dans son travail Le traumatisme de la naissance une affirmation dans ce sens en disant que la naissance est la source de toute névrose du fait que la « fixation primitive » à la mère ne soit pas surmontée créant ainsi un « refoulement primitif ». Ainsi donc Rank espérait guérir toutes les névroses en faisant une simple et brève analyse

psychanalyste au sujet de l’éducation. Freud trouve qu’il y a un dénominateur commun de la psychanalyse et de l'éducation : toutes deux reconnaissent l'importance décisive de l'enfance dans l'évolution de l'homme. A chaque fois qu’il devait traiter un névrosé adulte, il parvenait à pressentir la cause de ses symptômes, tout était ramené à l'époque de sa petite enfance (situant l'enfance comme le lieu de fixation des blocages névrotiques ultérieurs). La première vérité dégagée par la psychanalyse, n'est

techniques dans la cure psychanalytique. - Article : la notion de normalité : J. BERGERET. CANGUILHEM conclue que l’homme normal est celui qui reste adapté à son milieu. FREUD : il n’existe aucun fossé fondamental entre l’individu réputé normal et le névrosé quant aux grandes lignes de la structure profonde. De même pour les psychotiques. Aujourd’hui, les psychopathologues pensent qu’un bien portant est celui * qui n’a pas rencontré de difficultés internes et externes supérieures à son équipement affectif

Chap : HYSTERIE D’ANGOISSE ET NEVROSE PHOBIQUE I. Introduction : des maladies de la peur à l’hystérie d’angoisse Antiquité : Phobos, dieu de la peur → Médecines traditionnelles : herbes, colliers d’ail, confections fétiches → 1880 avec Freud : nouvelle place de la phobie. Premiers apports sur l’hystérie d’angoisse. Sexualité au cœur de la phobie → XIXe siècle : différenciation entre craintes irrationnelles et crainte isolée. II. Evolution des théories sur la phobie et conception psychanalytique

Celui-ci se caractérisant par les affects pénibles qu'il peut déclencher et que le sujet ne peut abréagir. L'abréaction est à entendre comme une décharge émotionnelle par laquelle un sujet se libère de l'affect attaché au souvenir d'un événement traumatique, ceci lui permettant de ne pas rester pathologique. Freud considérait que le traumatisme s'inscrivait sur un « continuum allant de l'excès de stimulation » qui dépasserait les capacités de défenses du psychisme à l'insertion de l'évènement, et

symptômes ont leur source dans des états émotionnels appartenant au passé ; ils sont devenus " inconscients", parce que la conscience les a refoulés, mais ils continuent à se manifester symboliquement ( dans les rêves, les actes manqués, les lapsus, les névroses, ect...). Pour soigner ses patients, Freud péfére la libre association d'idées. Par la parole dégagée des scrupules de la conscience moralen nous pouvons libérer les souvenirs douloureux, refoulés au fond de nous, et les intégrer à notre existence