La Névrose Traumatique

: les hystériques auraient-ils, auraient-elles fait une scène à l'analyse? Et si cette dernière est au lieu de l'hystérie, jusqu'à quel point peut-elle obvier à tel verdict de Lacan en 1966 : «Maintenant la psychanalyse a pris la succession de la névrose : elle a la même fonction sociale, mais elle aussi, elle la manque. »(2). D'où notre départ, car si l'hystérie est comme un art manqué, elle n'en défie pas moins l'analyse. Et l'interpelle, peut-être d'un : «Fais voir si t'es une science!». Paroles

sien, autrement dit, des malades dont il s'occupait, des pathologies originales qu'ils présentaient, et qu'il lui fallait expliquer. Au départ, ainsi que Freud le raconte ici, la psychanalyse s'était constituée autour des problèmes posés par une névrose bien particulière, l'hystérie. Et c'est en proposant une étiologie (c'est-à-dire une explication de ses causes) révolutionnaire, fondant un traitement qui ne l'était pas moins, que la psychanalyse avait conquis sa place dans le champ psychopathologique

Il parle également d'une possible guérison de ces deux syndromes, qui est aujourd'hui plus discutée. Dans son article, il ne traitera pas des obsessions intenses (« images altérées d'événements importants »). Il en parle comme des obsessions traumatiques se rattachant à l'hystérie. Il décrit ensuite la grande différence qui existe d'après lui entre obsessions et phobies. Il définit tout d'abord l'obsession par la présence d'une idée qui s'impose au malade associé à un état émotif. Il explique

Action/répétition = mécanisme primitif Jeu ds l’analyse : fiction/réalité – adaptation à la réalité Tte frustration est intolérable pour un enfant névrosé, qui supporte alors mal la réalité. Il la nie pour s’en protéger. + ou – grande tolérance aux frustrations d’origine oedipienne = rend possible ou non ses capacités ultérieures d’adaptation à la réalité. Névrose enfant / adulte = docilité et adaptation apparentes chez l’enfant / fuite du réel chez l’adulte →faciliter adaptation du très jeune enfant à

la conception classique de Charcot opposait l'hystérie post-traumatique à une hystérie dite simulée. S'appuyant sur la distinction entre « grande hystérie » (caractérisée par des convulsions et une hémianesthésie) et la « petite hystérie », et sur un cas pratique examiné à la Salpêtrière, Freud explique que l'hystérie masculine est plus fréquente que ce que les spécialistes observent habituellementD 21. Pour Freud, la névrose traumatique appartient au champ de l'hystérie masculine. La Société s'insurge

tableau clinique incontrôlable et incompréhensible que l'on soigne avec une fumigation d'herbes près du vagin tout en ayant pour consigne de "garder l'utérus occupé" avec des grossesses. C’est enfin avec Freud, au XIXème siècle que le terme de « névrose hystérique » entre dans le paradigme neurologique comme une maladie qui met en cause les sentiments que seule la femme peut éprouver. Alain Rey la définira comme « un ensemble de symptômes prenant l’apparence d’affection organique sans lésions décelables

de la Salpêtrière qui est l’une des deux grandes écoles ayant contribué à l’age d’or de l’hypnose en France de 1882 à 1892, le chef de file est Jean-Martin Charcot. Ces aides vont le conduire en premier lieu au concepts d’inconscien, de rêve et de névrose et ainsi proposer une technique de thérapie, qui est la cure psychanalytique (psychanalyse). Freud regroupe plusieurs psychotérapeutes qui, avec lui, élaborent la psychanalyse tout d’abord en Autriche, en Suisse, à Berlin, mais aussi a Paris et

Donc entre deux entre l’ancien et le nouveau, la vie et la mort. On va parler du traumatisme, de la notion des pulsions. La reviviscence interne à l’adolescence est un aspect central, une sorte de ressort à l’adolescence. L’adolescence peut être traumatique. Illustration clinique 16ans, 4e tentatives de suicide, jeune fille. Elle explique dans ces termes « j’étais dégouté de moi-même et je me sentais sale, plus jamais je ne laisserais un garçon posé sa main sur moi, je n’arrive pas à me rendre

Exposé sur « stress post-traumatique » : Evénement brutal, provient de la névrose traumatique * on distingue : stress post-traumatique aigus : trouble anxieux recouvrant ensemble des symptômes psychologique apparaissant dans la suite immédiate d’un événement . stress post-traumatique chronique : quelques jours après événement traumatisant ca va mais après le stress revient * selon DSM , quatres critéres : * évènement traumatisant * il faut qu’il y ait reviviscence (ex : rêves…)

            Du côté des victimes, les symptômes reposent sur les puissants processus inconscients provoqués par la menace de castration : refoulement, compulsion de répétition, déni, projection, non admission d'un symbole, caractéristiques de la névrose, de la perversion et de la psychose.     "Le premier qui vit un chameau                          "… et tu t'inventes des ennemis..." "S'enfuit à cet objet nouveau.                                                            Morice Benin "Le deuxième