La Parite Au Senegal Definition

regroupant 8 pays de l’Afrique Occidentale et la Communauté Economique et monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) regroupant 6 pays de l’Afrique Centrale. L’UEMOA compte le Benin, Burkina Faso, la Côte-D’ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo ; et la CEMAC le Cameroun, la République Centrafricaine, le Congo Brazzaville, le Gabon, la Guinée Equatoriale et le Tchad. Ces deux unions ont le même fonctionnement et sont liées à la France par les mêmes accords de coopération monétaire

ASPECTS DE LA FISCALITE DES OPERATIONS BANCAIRES AU SENEGAL Mémoire présenté par : Mme Aminata FALL NIANG Sous la Direction de : Monsieur Pape Alassane NDIR, ExpertFiscal. Président de la Section fiscale de l'Ordre National des Experts et Evaluateurs Agréés du Sénégal (ONEEAS) - chargé de travaux dirigés à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l'UCAD. 2 DE QUELQUES ASPECTS DE LA FISCALITE DES OPERATIONS BANCAIRES AU SENEGAL A Feu mon Père,, Pour tout et pour toujours

non plus une région composée essentiellement de pays classés parmi les moins avancés ou en voie de développement, mais un bloc uni et fort construit autour de la communauté économique régionale. Á l’image de l’expérience de l’Union européenne, la définition d’une série de critères de convergence macroéconomique, auxquels les États membres doivent se conformer dans des délais plus ou moins courts, est un élément essentiel de ces cadres d’harmonisation. Par ailleurs, le fardeau de la dette extérieure

aussi les moins industrialisés. 2) Les IDE manufacturiers sont très sélectifs, préfèrent l’Asie et l’Amérique Latine à l’Afrique et au Moyen-Orient. Ce « darwinisme de la mondialisation » creuse de fortes inégalités entre les PED. La zone franche du Sénégal, longtemps vide, prouve que le coût de la main d’œuvre n’est pas l’unique facteur d’attraction. Marx déjà se demandait s’il n’était pas préférable d’être « exploité » plutôt que « marginalisé ». B) Les IDE présentent des limites et des effets pervers

milliards de FCFA en 1989 à un excédent de 13 milliards de FCFA en 1993.La troisième phase amorcée après le changement de parité du Franc CFA en 1994 s’est d’abord caractérisée par un retour à la croissance dès 1994, et une consolidation à partir de 1995 avec des taux de croissance de l’ordre de 7 % l’an. Pour assurer ensuite les conditions de succès de ce réajustement de parité du franc CFA, un programme macro-économique avait été adopté, avec l’appui des institutions financières internationales,

international au cours des 30 dernières années. Ledit rapport propose une série de stratégies visant à renforcer les capacités nationales en matière de collecte et de présentation des données et de faire accorder davantage d’importance à la question de parité entre les sexes. Ce rapport est disponible sur le site : unstats.un.org Source : Pambazuka News 241 9 février 2006 ---------------------------------------------------------------------------------- |[pic]| IMPRIMER |[pic]|ENVOYER |

celles de la croissance, vers la deuxième moitié du 20ème siècle, sont justement nées de l’idée que le développement ne se réduisait pas seulement à la croissance. I – Notions de base  1-1 La croissance 1-1-1-Définition Selon Simon Kuznets (prix Nobel de Sciences Economiques en 1971), la croissance économique d’un pays peut être définie comme une hausse de long terme de sa capacité d’offrir à sa population une gamme sans cesse élargie de biens économiques. Cette

internationaux, L’incroyable succès des produits dérivés, La déréglementation, La renaissance des Hedge Funds, etc.  Caractéristiques classiques : - Les pressions sur les changes, - La hausse des taux d’intérêt, - Les défenses souvent vaines des parités, - La perte d’influence des banques centrales, - Le « marché » contre les autorités publiques.  Éléments nouveaux : - Contaminations des marchés financiers locaux, - La croissance vertigineuse des spreads sur les obligations internationales

échange d’un bien et/ou pour l’extinction d’une dette. Les choses se compliquent lorsqu’on sort des frontières d’un Etat ; la monnaie nationale se trouve alors confrontée aux monnaies étrangères ou devises, avec lesquelles il faut établir un cours de parité de change. Il a donc fallu trouver une référence universellement acceptée à laquelle chaque monnaie puisse se rapporter. Jusqu’en 1914 la référence universelle a été l’or, cette « relique barbare » selon Keynes, pour qui « l’or était déterré des

l’application de ce principe, d’où l’existence d’un système informel. Ce système à été crée pour ceux qui n’ont pas pu bénéficier du système éducatif classique. Il s’appuie sur les cultures et langues locales et attache une importance aux communautés (le Sénégal a été un des précurseurs de ce système, qui s’est rapidement répandu au Burkina Faso, au Mali et au Niger[3].) Un des principaux objectifs reste l’éducation de base, mais le taux de scolarisation reste encore faible aujourd’hui, le Burkina étant