La Passe du diable

réaliste. 3. Personnages : Alfonso Corticella, petit vieillard aux cheveux noirs, est le tailleur du costume. Il paraît sympathique d’abord, puis produit un malaise chez son client. Il ne fait jamais payer le costume et disparaît. C’est le « diable ». Le personnage principal, « je », dont nous ne savons rien sauf qu’il vit vraisemblablement à Milan et qu’il a une femme de ménage et une secrétaire. 4. Une nouvelle fantastique : a) Elle respecte le schéma narratif du fantastique : La

attachement aux lieux de son enfance, de son adolescence. Ainsi, dans Ile-de-France, île d'amour, prend-il la peine de donner forme cohérente à des souvenirs et impressions qui, à l'évidence, lui avaient servi pour la rédaction de son premier roman, Le Diable au corps. Mais "sa" rivière comme sa ville sont présentes aussi dans son œuvre poétique – écrite pour l'essentiel avant 1920 –, et surtout dans ses premiers recueils. Aussi le "train de plaisir", si souvent cité, évoque-t-il sans doute le fameux

DM alambic Texte 1 : 1) et 2) points de vue de coupeau : il est exprimé par un discours narrativisé. Ses propos sont résumés, le rythme est assez rapide car on relève des énumérations l 7-10 et 11-16. On passe rapidement d’un élément à l’autre. Coupeau décrit la machine telle qu’il la voit. Il joue le rôle du guide on relève des verbes qui montrent l’explication «  indiquant du doigt » l 8, montrant l9, lui expliqua l7. De plus, on remarque que coupeau fait une description assez détaillée de

depuis son arrivée il ne m'a point entretenu, mais par précaution, je t'apprends (inter nos,) que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure*, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons*. Tu me dis

Fiche de lecture de «La mare au diable » 1°) Présentation du livre -L'auteur de ce livre est George Sand. -La collection du livre est «folio classique». -George Sand a écrit ce livre en 1848. -Ce livre est un roman d'amour, une fiction. -Avant la lecture, le titre évoque un lieu maudit, démoniaque. Après la lecture, le titre évoque la mare dans la forêt où se perdent les personnages. L'analyse correspond donc à peu près avant et après la lecture. 2°) Petite biographie de

comparé à une jeune fille nue. Sauf que lui n’est pas une chose concrète : « il marche sur l’eau » tandis que « la jeune fille nue nage dans la mer ». Elle est présente et bien réelle. Dans Écritures saintes, il place Dieu et le Diable sur un pied d’égalité : « Le Diable regarde Dieu bien en face ». Pour finir dans la crosse en l’air, il dénonce les travers de l’Église en faisant rimer « seigneur » avec « mitrailleur » et « Jésus Christ » avec « Mussolini ». 0Pour vous présenter cette

d’enseigner, d’édifier, de consolider la foi des médiévaux par le moyen du spectacle théâtral en passant par une représentation, par l’incarnation de personnages censés donner l’illusion de la vie, mais aussi du sentiment humain. Le jeu d’Adam, Eve et le Diable Le jeu d’Adam c’est la pièce de théâtre qui fait la transition entre le drame liturgique et le théâtre français, nous pouvons la considérer comme l’aboutissement du drame liturgique et la première pièce du théâtre français. Elle est majoritairement

Dans quelle mesure peut-on dire du scandale du Diable au corps qu'il début ici ? L'ouverture du Diable au corps, court roman de Raymond Radiguet publié en 1923 et scandalisa à sa sortie : n'est-ce pas visible dès l'incipit ? Tout début de roman est chargé de donner des indications spatio-temporelles et d'engager l'intrigue. Radiguet donne à lire un véritable début de roman en indiquent rapidement les données essentielles pour situer l'action et les personnages. Il répond en cette première page

grand admirateur de Proust, Rimbaud, Mallarmé et Lautréamont. A 15 ans, il abandonne ses études pour se consacrer à sa passion : l’écriture. Il écrit plusieurs poèmes et essais, s’essaye même au journalisme avant d’écrire son premier roman : Le Diable au corps. Ce roman a obtenu un immense succès en 1923 mais déclencha une vive controverse. La guerre y apparaît comme la seule condition du bonheur des deux héros qui commettent l’adultère sans remords et sans honte. Le roman obtient le prix du Nouveau

Joseph Goebbels, grand ordonnateur et ministre de la propagande du parti nazi alors au pouvoir en Allemagne depuis 1933, et dirigée par Alfred Greven, elle produit une trentaine de longs-métrages entre 1941 et 1944, dont certains comme La Main du Diable et Le Corbeau sont devenus des classiques français, avant de disparaître à la Libération. Pour Goebbels, l'objet de cette société est avant tout politique, afin de garder la mainmise sur la production cinématographique des pays occupés : «notre politique