La Passion Destructrice

celle-ci qui a rejoint les deux protagonistes et c’est également celle-ci qui va les séparer. La nature peut même être considéré comme un personnage qui existe sous trois formes principales ; une nature exotique, une nature comme support et une nature destructrice. Ces trois facettes sont sur lesquelles nous discuterons pour enfin arriver à une réponse à cette question : Quelle est le rôle de la nature dans ce roman ? En premier lieu, nous découvrirons l’exotisme de cette île. Encore une fois, nous

vont donc mettre en valeur une passion dévorante, destructrice et compliquée dans ses histoires, en général, c'est une passion qui n'est pas réciproque. Les personnages vont donc être enfermés dans une grande solitude. De plus il n'y a pas de communication la plupart du temps entre les personnages secondaires (les confidents) et les personnages principaux. Le confident essaie de parler le langage de la raison mais il ne sera pas entendu ni compris par le passionné (aveuglé, celui-ci perd la raison)

yeux mouiller de larmes, / qui brillaient aux travers des flambeaux et des armes ; / Belle, sans ornement, dans le simple appareil / D’une beauté qu’on vient d’arracher au sommeil », ce n’est pas un simple amour qu’il éprouve, c’est une pulsion destructrice, un pur fantasme. Antoine Vitez disait « le personnage principal des tragédies de Racine, c’est le désir. ». La question politique est renvoyée dans la question, non pas amoureuse, mais dans celle du désir. Après cela Néron veut faire sentir à

est la veuve d'Hector (héros troyens tué par Achille). Ces personnages vont être déchirés par leur passion et vont finir vaincus par l'amour ou la folie, ce qui est caractéristique de la tragédie classique, et notamment des tragédies de Racine. 4/ Tout d'abord nous pouvons voir le registre tragique de cette pièce à travers le fait que les personnages ne peuvent se soustraire à leurs passions, ils sont privés de leur liberté par l'action de sentiments aussi destructeurs que l'amour et la jalousie

aujourd’hui, lié à la mort. notons la répétition de « désir » : soulignons l’adjectif « furieux » (= « en proie à la fureur au délire ») qui vient, depuis le nom dont il découle, « fureur », du latin furor, « folie ». « Fureur » renvoie également à la passion au Moyen Âge et le terme est fréquent dans la tragédie. > Les deux amants semblent entraînés par les Furies, ces divinités mythologiques nées du sang d’Uranus, déesses de la vengeance qui parcourent la surface de la terre en pourchassant sans

La vérité Textes "Quand nos passions prennent figure de vérités, de réalités dans le monde, d'oracles et de volontés surhumaines dans le monde, tout est dit. Le fanatisme est le plus redoutable des maux humains." Emile Chartier, dit Alain / 1868-1951 / Propos sur la religion, L'idée matérialiste, 22 juillet 1913 1 – Une conception de la vérité classique depuis Saint-Thomas d’Aquin (XIIIème) : La « vérité-correspondance ». VOIR TEXTE de Bertrand Russel1. Problèmes de philosophie 2 – La vérité réside

strophe, annonce l'élément perturbateur qui surprend le locuteur et le lecteur: la réciprocité de l'amour n'est plus évidente. Le bonheur laisse donc place à l'inquiétude, l'"amourette" devient une passion destructrice et le locuteur ne semble plus rien contrôler. Entre désir et souffrance, le passions le dévastent et il est tiraillé entre les deux aspects de la femme qu'il aime. En réalité, deux portraits antithétiques de la femme aimée se croisent dans notre texte. "La blanche colombelle" n'est

ces deux mythes indo-européens; la figure de la femme-séductrice y est associée dans les deux cas au motif de l'eau et au thème de la perdition. On peut y voir aussi, de manière plus indirecte et sous-jacente, une réflexion sur la force destructrice de la passion et sur le degré de responsabilité de la victime à demi-consentante face à la cause de ses tourments. La figure de la femme, dans ces deux mythes, peut aussi être considérée comme une simple allégorie de la mer/ du fleuve et des dangers de

que lui inspire cette femme : sa beauté est en fait un piège qui le perdra. Cela signale le caractère ambivalent de tout bonheur humain. Derrière la beauté se cache aussi la mort. Rostand évoque ainsi les souffrances engendrées par la passion amoureuse, destructrice et fatale. 2. c. Dans les vers 11 à 15, l'autre expression qui exprime cette idée de l'amour est : " un piège de nature ". Vous pouviez aussi relever : "se tient en embuscade". 3. a. Cette femme est comparée à deux déesses, Vénus,

la volonté de celui qui l’utilise. L’utilisation du levier nécessite une grande maîtrise. Sa force peut être dangereuse voire destructrice. Le levier ne doit pas être manipulé avec une force brutale. Il ne doit être qu’un point d’appui utilisé à bon escient. Les sciences peuvent être dangereuses si elles sont dévoyées. Elles peuvent être aussi une force destructrice, et certains savants tels Einstein n’ont certainement pas voulu que leur découverte soit utilisée comme arme de guerre. Le levier